Comme un jour je perdis l’amour d’une époque,
Je pleurais sur mes notes…
Des ronds des points des barres des ponts
Coulaient mes lignes mortes,
Quand bientôt du ton glauque
Sortaient les si de mes sanglots bons…
Piquée à frôler les dunes
Je doublais les espaces…
L’impatience, mes doigts sur la trace,
Un désir fou d’aimer encore
Le pain la vie l’amour
Que me prêtait le ciel…
Comme en gris je collais le fond de l’air
J’accrochais mes appliques…
Des noir’ des blanch’ à mes soupirs
Des maux bémol en clé de joie
Trois pauses quatre sentences
Que me soufflait la vie…
Si vague mesure saoulait mes tierces
En la d’amour tendre,
Des quintes à l’épithalame,
Mon coeur suit le continent
Que marée brise à contre temps,
C’est le tango de mon âme…
C’est si beau Najia et moi j’aime !!
[b]Moi aussi, j’aime.
un peu de calme ne fait de mal à personne, oh que oui.
C’est très beau.
Mélomane Najia ?[/b]
Oui, j’aime la belle musique, et je compose un peu, juste pour moi, pour me détendre ou voyager…
Ce poème est une chanson qui m’est venue dans des moments de tristesse.
Merci à toutes les deux pour votre passage 😉
Bonjour Najia,
Magnifiques ces mots qui dansent sous votre plume!
Ce sont les maux de l’âme retranscrits par les mots de l’âme…
Ange
« Ce sont les maux de l’âme retranscrits par les mots de l’âme… »
Bonjour Ange, merci, jolie formule! 😉