Agnès Buzyn, Actrice du Buzz !

Depuis le 1er novembre 2019, les pauvres ont encore pris un coup derrière la calebasse. Presque pire qu’un coup de matraque des distributeurs automatiques casqués du samedi. C’est peu dire. 

Sonnez buccins et trompettes ! Le 25 septembre 2019, la Sinistre de la santé présentait à l’Assemblée nationale la nouvelle Complémentaire Santé Solidaire (CSS), remplaçant la CMU * et l’ACS *. Objectif et je cite : « … La couverture sociale ouverte aux plus modestes : combattre le non-recours aux soins… Une vaste campagne d’information sur le web, les ondes radio et les réseaux sociaux… » Libération : https://cutt.ly/SrDTUO4

Grande partition en « bémol majeur » pour pipeau et violon. – les deux seuls instruments dont les membres de La Régression En Marche sont des virtuoses accomplis –

Car en effet, pour ce qui est des informations largement diffusés, vous repasserez chère Agnès Buzyn. Récemment, une de mes amies a été chez son dentiste pour une prothèse dentaire. Mais elle a été priée d’attendre, car pour l’instant au niveau remboursement, c’est le flou intégral. Pourtant, cela fait 4 mois que cette « grande » réforme est passée.

Qui peut en bénéficier et dans quelles conditions ? Je vous branche sur mon décodeur, car c’est quand même assez touffu. À l’image des énarques…

Exemple : un couple de retraités de 70 ans touche 1400 € par mois de retraite. Trop haut pour bénéficier de la CMU-C*, car ce revenu dépasse le plafond qui est de 1245 € par mois. – Non, vous ne rêvez pas, on est bien en France dans un pays soooocial de gooooche -.

En revanche, ils pouvaient bénéficier de la CMU et de l’ACS. Pour cette dernière, l’état leur envoyait un chèque d’environ 1100 € qui correspondait à une mutuelle de base. Ce chèque étant bien entendu encaissable à cette dernière choisie par les retraités.

Une mutuelle gratuite qui ne remboursait pas beaucoup, mais au moins, les deux retraités étaient couverts. De toute façon, si vous voulez être bien remboursé par une mutuelle, il faut en mettre le prix.

La CSS est présentée de façon pernicieuse, comme d’habitude. Les garanties seront alignées sur celles de la CMU-C, sic la ministre de la Santé. Entièrement faux dans le cas de nos deux retraités, puisqu’ils ne peuvent pas bénéficier de la CMU-C. Et cerise sur le gâteau, ils viennent de perdre la CMU et l’ACS. Merci Arnaque Buzyn.
Car la CSS sera payante. Il n’y a pas de petits profits au sein de La Répression En Marche. À peine 1 € par jour clame Agnès Buzyn. Vu sous cet angle, ca parait insignifiant.

Mais cela fait 25 € par mois pour un senior entre 60 et 69 ans, et 30 euros par mois à partir de 70 ans. Pour ce couple de retraités, ils devront casquer 60 € par mois, soit 720 € par an. Pas mal, pour une mutuelle qui ne couvrira rien de plus que la mutuelle de base qu’ils avaient avec l’ACS et qui était financé par l’état.

Pas belle la vie ? Le racket des vieux selon le Macronavirus. – dangereux et contagieux, il sévit depuis peu… –

Évidemment, tous les articles des medias main stream vous présentent cette réforme comme une avancée spectaculaire. Un vrai coup de pouce aux pauvres. Levé le pouce ou inversé ?

Claude Janvier

* Définitions :
CSS : complémentaire santé solidaire
CMU : couverture maladie universelle
CMU-C : couverture maladie universelle – complémentaire
ACS : aide complémentaire santé

 

Technologie : l’essor des lunettes connectées

Entre divertissement, santé et ergonomie, le champ d’application des lunettes connectées est vaste. De nombreux acteurs se concurrencent sur ce secteur appelé à devenir l’un des marchés de demain.

Les premières Google Glass furent un échec (1). De nombreux acteurs se lancent pourtant sur le marché, au premier rang desquels les GAFAM et les BATX (2), des grandes entreprises comme Tesla ou Huawei, des start-ups et même les réseaux d’opticiens. D’autres sont en embuscade, tels Facebook avec le rachat d’Oculus ou Apple avec celui d’Akonia Holographics (3). Variées et croissantes, les offres de lunettes connectées et la réalité augmentée (RA) qu’elles proposent gravitent globalement autour de trois objectifs : le divertissement, la santé et l’ergonomie.

Le divertissement

Les réseaux sociaux sont la plateforme privilégiée où les individus partagent leurs expériences, et plus particulièrement leurs « histoires », sous forme d’instantanés ou de clichés. Snapchat propose de communiquer et d’enregistrer des histoires vidéo en direct. Forte de son succès, l’entreprise s’est lancée dans le marché des lunettes connectées en développant ses lunettes Spectacles. Elles comprennent une caméra incorporée, peuvent prendre des photos et des séquences vidéo de dix secondes. Par ailleurs, elles intègrent des jeux en réalité augmentée que les utilisateurs du réseau peuvent partager (4).

Soutenu par IBM, MAD Gaze Vader se concentre notamment sur la réalité augmentée dans les jeux vidéo. Ses lunettes reposent sur un algorithme de RA et un gyroscope. Elles utilisent la technologie SLAM (localisation et cartographie simultanées), qui s’appuie sur le monde physique pour accroître le réalisme des jeux. Une interface intègre par ailleurs une fonction de contrôle des gestes de la main (5).

Mais avant l’e-sport il y a déjà le sport. Filiale d’Intel, Recon Instruments destine ses Recon Jet aux sportifs via un suivi de la vie sportive de son porteur afin d’améliorer sa pratique. L’écran projeté sur les verres lit la vitesse, la distance parcourue, la fréquence cardiaque et le temps. Le dispositif intègre altimètre, accéléromètre, thermomètre, gyroscope, magnétomètre et processeur informatique (6), informant sur sa santé de pratiquant.

La santé

Avec des technologies proches, ce n’est pas la question de l’effort mais du sommeil qui est actuellement soulevée par la start-up Ellcie-Healthy et l’opticien Optic 2000, qui commercialisent les lunettes Prudensee. L’idée est de prévenir l’endormissement au volant (8). Les montures comprennent des capteurs infrarouges, de température, de lumière et de pression atmosphérique, et une centrale inertielle avec accéléromètre et gyroscope. En cas de fatigue du conducteur analysée par les données collectées en temps réel, des leds clignotent et un bipeur situé à l’intérieur des branches se déclenche et sonne. Une application mobile liée aux lunettes est même en mesure d’alerter un tiers des signes d’assoupissement du conducteur. Récompensées à plusieurs reprises, aussi bien lors d’événements liés aux nouvelles technologies que par la sécurité routière, les lunettes connectées Prudensee pourraient rapidement s’imposer parmi les professionnels de la route : pour la première fois, un outil permet une gestion non pas de l’état d’une flotte de véhicules, mais de celui des conducteurs. Des poids lourds aux cars de transport scolaires, le produit pourrait se montrer particulièrement utile en prévention des accidents.

La prévention n’est pas le seul champ d’action possible et la santé n’implique pas toujours un acte médical a posteriori. La start-up AYO a ainsi créé des lunettes pour améliorer le sommeil en agissant sur le rythme circadien, fournissant plus d’énergie à leur porteur et annulant les effets du décalage horaire. Leur port se limite à une vingtaine de minutes par jour. Elles utilisent la lumière et la stimulation de certaines cellules des yeux et créent de la mélatonine, impactant positivement le sommeil et l’horloge interne (7).

Soigner par les lunettes n’est toutefois pas seulement dévolu aux personnes sans handicap. Google a développé des Google Glass pour l’autisme. Elles pourraient aider les enfants touchés à reconnaître plus facilement les émotions des personnes avoisinantes et donc à se socialiser (9). Ailleurs, OrCam utilise la vision artificielle pour autonomiser les déficients visuels grâce à sa technologie d’assistance portable My Eye2, capable de « lire des textes, reconnaître des visages, identifier des produits » (10), au dispositif fixé sur la branche des lunettes. Le soin se combine à l’ergonomie.

L’ergonomie

L’ergonomie est la première raison d’être des lunettes connectées. Vuzix a développé ses lunettes Blade. Elles combinent l’optique et l’électronique avec un pavé tactile au niveau de la tempe. L’utilisateur reste connecté et navigue par un affichage intelligent sur ses verres, affichant les informations d’un ordinateur. Les verres superposent de multiples informations, (travail, Internet, réseaux sociaux, météo…). Amazon s’est associé au projet et son assistant vocal Alexa est directement intégré aux Vuzix Blade (11).

Un autre GAFAM, Microsoft, a développé l’Hololens 2. À destination des entreprises, son casque de réalité augmentée immersive projette des hologrammes manipulables comme des objets réels, reconnaissant les articulations des doigts du porteur du casque. Les solutions proposées comprennent la communication pour collaborer par échange vidéo, la projection de guides d’instruction pendant les tâches, des conceptions d’espaces holographiques grandeur nature, pour la réalisation de projets (12).

Mais en dernier lieu, pour que les lunettes connectées soient utiles, encore faut-il ne pas les égarer. En 2015, l’opticien Atol a proposé ses lunettes Téou, équipées d’une application de géolocalisation – grâce à une puce. Trois couleurs distinctes s’y affichent selon la distance de l’utilisateur (jusqu’à trente mètres) : rouge, orange et vert. Un système « call back » localise le téléphone en le faisant sonner grâce aux lunettes (13).

Comparé à l’échec des premières Google Glass, ce dernier exemple met en lumière que l’essor des lunettes connectées ne dépendra pas uniquement du poids économique de ceux qui les mettront sur le marché. Le critère premier reste avant tout de répondre à des besoins précis des utilisateurs ou à des enjeux réels.

Notes
(1)https://trends.google.fr/trends/explore?date=today%205-y&geo=FR&q=lunettes%20connect%C3%A9es
(2) http://www.globalindustryjournal.us/31876/global-smart-glasses-market-2019-size-forecast-players-apple-google-glass-sony-samsung-newmine-baidu-glassess/
(3) https://www.realite-virtuelle.com/facebook-oculus-casque-vr-oeil-humain ; https://www.bfmtv.com/economie/cette-startup-va-aider-apple-a-creer-des-lunettes-de-realite-augmentee-1514438.html
(4) https://www.lesnumeriques.com/objet-connecte/snapchat-spectacles-2018-p44191/snapchat-lance-nouvelles-lunettes-connectees-spectacles-n73825.html ;https://www.objetconnecte.net/snapchat-spectacles-magique/
(5) http://madgaze.com/vader/ ; https://www.kickstarter.com/projects/1491829370/mad-gaze-best-ar-smart-glasses-for-work-and-entert?lang=fr
(6) https://www.smartmash.net/2018/06/27/top-10-smart-glasses-in-2018/
(7) https://www.goayo.com/ ; https://www.goayo.com/features
(8) https://www.optic2000.com/prudensee ; http://ellcie-healthy.com/wp-content/uploads/2018/02/CP_Optic2000_English-version.pdf
(9) https://www.objetconnecte.com/google-glass-autisme/
(10) https://www.orcam.com/fr/myeye2/
(11) https://www.vuzix.com/products/blade-smart-glasses
(12) https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/technologie-hololens-2-microsoft-passe-choses-serieuses-60025/ ;https://www.microsoft.com/fr-fr/hololens/apps+626
(13) http://www.opticiens-atol.com/generix/communiques-presse/CP-Atol-lance-exclusivite-lunettes-connectees-geolocalisables.pdf

Comment sortir de la malbouffe

 

Progressivement les gens prennent conscience que les bovins, ovins, porcins et autres gallinacées ne sont pas des morceaux de viande sur pattes, mais des êtres vivants doués de sensibilité. Nous avons découvert les conditions effroyables d’abattage des animaux, merci au courage et la persévérance de l’association L214.

Alors même si nous ne sommes pas tous des végétariens en puissance, apprenons à manger moins de viande pour notre propre santé et pour le bien-être animal.
Les animaux que nous consommons sont mal nourris, traités aux antibiotiques ce qui n’est pas sans effet néfaste sur notre santé et sur la planète, vive les gaz à effet de serre.

Nous apprenons à prendre soin de notre silhouette via le sport, le yoga, la méditation, alors apprenons aussi à prendre soin de notre assiette, la beauté extérieure est le reflet du bien-être intérieur. Il est temps d’apprendre à consommer autrement, apprenons à manger mieux et plus équilibré avec légumes, céréales diverses et fruits bio de préférence, ne nous privons pas d’œufs et de fromage à condition que les animaux qui nous les fournisse aient des conditions de vie décentes et sortons-nous de l’esprit que la viande est indispensable. Il est préférable pour notre environnement et notre porte-monnaie de consommer moins mais mieux.

Nous avons été formatés par une société de consommation dirigée par des industriels plus soucieux de leurs dividendes que de notre santé et celle de notre planète, nous ne sommes pas des moutons de panurge et j’ose encore croire à un libre arbitre de l’individu social.


Nos ados nous donnent l’exemple, suivons les !!!
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Années 1950, 1960… Années des pires périls !!!

 

J’avoue sans honte mon âge, n’ayant jamais connu les caps difficiles des 30 ans, 40 ans, 50 ans et bientôt 60 ans, car je pense avec une certaine philosophie qu’à tout âge, on peut vivre pleinement, comme on peut aussi le faire en crevant de jalousie, lorsque l’on louche sur ce que possède le voisin, bref passer son temps à se pourrir la vie et passer à côté des petits plaisirs simples du quotidien…
Par contre, il faut reconnaître que les personnes de ma génération, ont été les enfants de parents, qui n’ont en rien hésité à nous placer face aux plus terribles périls, donc à nous faire vivre dangereusement !

D’aucuns prétendront que les années 50 faisaient partie du « bon temps », je pense avec du recul, que finalement, nous devons être des rescapés, pour avoir été exposés à de graves risques sanitaires, et ingéré des produits certainement contaminés, qui conduiraient les services vétérinaires actuels à prendre des mesures massives de désinfection, voire des mises en quarantaine.

Bien entendu, ces constatations quelque peu catégoriques, me sont en fait inspirées par l’actualité, par ces médias qui nous parlent journellement de bactéries, de virus, de denrées polluées, d’abattage de volailles et autres crustacés infectés par des micro-algues, etc…
Ils nous incitent de surcroît, pour notre bien-être, à ne faire l’acquisition que de produits allégés, aseptisés, lyophilisés, désinfectés, vitaminés, pasteurisés et que sais-je encore, dont les vertus sur la santé (ce n’est plus à prouver !), sont plus que douteuses, mais auxquelles les nutritionnistes et diététiciens croient mordicus …

Étant curieux de nature, j’aimerais alors que l’on m’explique comment je peux encore être vivant à ce jour, après avoir ignoré les plus élémentaires recommandations, celles-là même dont regorgent les magazines de santé et autres émissions télévisuelles…

Permettez avant que (je l’espère), ne fusent les réponses de spécialistes aux questions que mes compagnons d’infortune et moi-même, nous posons depuis près de 60 ans, que j’expose modestement dans cet article, ce qui constituait le quotidien des « Rambo » en culottes courtes que nous étions dans les terribles années 50, en quelque sorte que je vienne vous parler, de notre survie en milieu hostile…

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– Chaque matin, nos mamans nous faisaient cuire des œufs, achetés chez le paysan du coin, et pondus sans la moindre précaution par des poules fermières qui toutes « caquetantes », se nourrissaient elles-même, avec ce qui pouvait bien leur tomber sous la dent (si je puis dire !), après avoir fini leur grain exempt d’OGM tout de même (mais si ça existait!)…
Ces œufs à ce que l’on dit pourtant aujourd’hui, n’étant contrôlés par aucun laboratoire, ni estampillés à la date de ponte, devaient être remplis de virus et couverts des pires bactéries…
Je n’ose imaginer les risques encourus par notre système intestinal, quand nos assassins de parents nous préparaient un bouillon avec ces poules, qui n’avaient jamais été traitées aux antibiotiques, et vaccinées !

Pourquoi ne sommes-nous pas morts ?

– N’est-ce pas un tour de force, que nous ayons pu nous développer dans de bonnes conditions, avec une nourriture qui ne contenait pas comme celle d’aujourd’hui, des vitamines ajoutées, des colorants si attractifs visuellement parlant, des glutamates, protéases, phosphates, dextroses, levures, lécithines, parfums de synthèse et autres agents de préservation ?

– Que dire de ces parents indignes, qui pour leur propre tranquillité, nous envoyaient jouer souvent pieds nus dans les champs avoisinants, parfois en plein vent et peu couverts…
Et surtout comment expliquer que nous n’attrapions jamais le moindre rhume ou que très rarement, encore moins la grippe, et que de toute manière au moindre petit « toussotement » de notre part, nous avions droit à une bonne friction d’huile camphrée, quand on ne brûlait pas la peau avec les cataplasmes de moutarde, car les médicaments soi-disant essentiels d’aujourd’hui, tels que les antibiotiques, cortisone et autres médications, n’étaient pas encore parvenus jusqu’à nos campagnes…

Pourtant dès le jour suivant, nous étions guéris ! Par quel mystère ?

– Pour celles et ceux qui vivaient à la campagne, ce que l’on appelle les « commodités » ne faisaient pas toujours partie de leur vie, certains n’avaient pas encore l’électricité, et une grande majorité, n’utilisait pas l’eau de la ville, car la « Compagnie des Eaux » ne desservait pas les endroits les plus reculés des régions…
Aussi « pompaient-ils » l’eau du puits, je m’en souviens parfaitement, pour en avoir bu chez mon grand-père… Cette eau n’était jamais analysée… Nul ne la faisait jamais bouillir, et pourtant dans mes plus lointains souvenirs, je ne me rappelle pas d’avoir entendu parler de la moindre contamination dans mon entourage propre, ou chez nos voisins…
Il m’est arrivé d’ailleurs de me désaltérer directement au tuyau d’arrosage, celui-là même qui traînait dans l’herbe.
Il faut savoir aussi, que cette eau servait à la préparation des biberons…

Mon Dieu ! Comment n,en somme, nous pas morts ?

– À la sortie de l’école, nous enfourchions nos bicyclettes, dévalions les chemins à tombeau ouvert, sans la moindre protection, sans casque… Au mieux, nos parents avaient-ils la gentillesse de nous emmener chez un copain, mais là encore dans des voitures sans ceintures de sécurité, et encore moins dotées d’un airbag…
Puis, nous passions des après-midi à boire une eau tiède à la « gourde en plastique » (certainement non-alimentaire aux dires d’aujourd’hui !).
De temps à autre, nos genoux étaient écorchés par de spectaculaires chutes sur les graviers de la route, l’alcool à 90° et le Mercurochrome entraient alors en action, pratique impensable de nos jours, interdite même !

Diable ! Mais comment n’avons-nous jamais été victimes d’infections ?

Une bonne étoile à n’en point douter, devait briller au-dessus de nos têtes blondes !

– Que dire du milieu scolaire ! Quand nos parents qui travaillaient, nous déposaient parfois une heure à l’avance, dans des salles où trônait un poêle à charbon, livrés à nous-mêmes, avec pour unique surveillante, la « femme de ménage » en blouse bleue, qui lançait au moindre bruit : « silence ! »
Que voulez-vous les garderies de l’État n’existaient pas !

Nos « Maîtres » quant à eux, usaient de méthodes pédagogiques, qui les conduiraient aujourd’hui devant les tribunaux pour maltraitance.
Taper avec une règle en bois, sur les doigts des indisciplinés, ou encore nous soulever par les oreilles de notre pupitre, jusqu’au tableau noir, au seul motif que nous n’avions pas récité correctement notre table de multiplication, étaient des pratiques courantes, validées par nos parents qui donnaient « tout pouvoir » au Maitre…
D’ailleurs, au sein de l’établissement, à qui donc aurions-nous pu aller, nous plaindre ou demander un simple conseil ! Nous n’avions point de psychologue, ni de conseiller d’orientation, et encore moins de sexologues !
Notre journée terminée, il ne nous restait plus qu’à rentrer chez nous, nos cartables sur le dos (qui contrairement à ce qui est prétendu), malgré leur poids excessif, ne nous ont pas détruit le dos, comme certains médecin le prétendent avec ferveur…

Comment ne sommes-nous pas devenus de dangereux psychopathes, ou encore des débiles profonds dans de telles conditions, dignes (l’ensemble du corps enseignant moderne s’accorde à le dire), du moyen-âge ?

Je me rends compte avec du recul, que ce vieux maître d’école tyrannique, prompt à jouer du « châtiment corporel », qui se plaisait à nous dire : « vous ne finirez pas tous prix Nobel, mais vous sortirez de ma classe en sachant lire, écrire et compter ! », avait raison !
Car quoi qu’on en dise, il est reconnu de façon formelle, que c’est bel et bien de cette génération de tous les dangers, que sont issus les personnages à l’origine des plus grandes innovations, ou inventions, et qu’en « remontant » un peu plus loin dans le temps, on s’aperçoit que les ancêtres de ces personnages des années 50, sont parvenus si l’on en croit les livres d’histoire, à traverser les années périlleuses de deux guerres mondiales, et d’une crise économique…

Finalement, d’avoir vécu dangereusement ne nous a non seulement pas tués, mais a contribué à faire de nous de solides battants, n’en déplaise aux scientifiques modernes, ou aux « ministres réformateurs », œuvrant de la Santé, à l’Éducation Nationale, en passant par d’autres Ministères prestigieux, et ce, sous les divers gouvernements successifs, autant de droite que de gauche…

Alors répondez-moi… Pourquoi ne sommes-nous pas morts !!!!!!!

Êtes-vous « assassins ou bienfaiteurs ? »… Votre alimentation nous le dit !

Qui n’a pas connu ces moments de détente conviviaux, passés en famille devant le poste de télévision, quelques tranches de pain de mie délicatement posées aux côtés d’un pot de pâte à tartiner, cette friandise au merveilleux goût de noisette chocolatée…
J’ai fait un temps  partie des adeptes !
Je me souviens aussi des « conseils santé » de mon père, qui je dois l’avouer voyait d’un œil critique ces produits industriels, et nous mettait en garde contre d’éventuels soucis de santé, liés aux ingrédients masqués entrant dans la composition du produit…
Ces conseils m’exaspéraient au plus haut point, puisque bien entendu mes 15 ans faisaient de moi un être exceptionnel, à la connaissance sans limite…
Je me ravise aujourd’hui, et me rends même compte que nos anciens étaient des visionnaires…

Des chercheurs de l’Université d’État de Saint-Pétersbourg, ont récemment démontré dans un rapport accablant, qu’une célèbre pâte à tartiner, sous la forme que nous lui connaissons, est un produit des plus dangereux pour l’organisme humain.
L’huile de palme qui entre massivement dans sa composition, est composée à 45 % d’acides gras saturés, connus pour provoquer de nombreuses maladies.
Les chercheurs soulignent, que l’huile de palme possède une température de fusion bien supérieure à celle du corps humain, ce qui revient à dire qu’elle est difficilement digérable par notre organisme, et en tout cas absolument impossible à expulser de notre système digestif, bref qu’elle stagne dans notre corps.

Mais pourquoi diable continuer à commercialiser ce produit, masqué sous des qualités gustatives en majorité synthétiques et hautement addictives ?
La raison en est simple et se résume en 2 mots : « le Profit ».
Il faut savoir que l’huile de palme, est pourrait-on dire partout, ainsi la retrouve-t-on dans d’anodins produits de notre quotidien, tels que des savons et des cosmétiques, donc peu dangereux, car utilisés en « externe », bien que l’on ignore les effets réels sur l’épiderme, mais, et là, c’est bien plus inquiétant, dans les soupes instantanées, les aliments congelés, et les margarines.
D’ailleurs, une simple expérience permet de se rendre compte par soi-même, à quel point les produits à base d’huile de palme sont « indestructibles », et d’imaginer ensuite sans être un scientifique de renom, comment ils peuvent se comporter à l’identique dans notre corps.
Placez un morceau de margarine dans une soucoupe, posez le tout sur l’étagère d’une cave, ou dans un endroit tempéré.
Revenez 15 jours, 1 mois plus tard, et vous constaterez que le produit n’aura pas subi la moindre dégradation, car aucune bactérie ne peut l’altérer ou le bonifier.
De plus, la couleur jaune des margarines est artificielle, car l’huile de palme conditionnée en pains est blanche, ce qui n’inciterait pas les ménagères à l’employer…
Le subterfuge est si parfait, que certaines personnes parlent de « beurrer » leur biscotte avec de la margarine.

Dérivée du fruit des palmiers à huile, l’huile de palme possède la même structure que la graisse de lait, mais est 40 % moins chère que cette dernière…

Vous commencez à comprendre ?
Je continue toutefois…
Une plantation de palmiers à huile, produit 10 fois plus que n’importe quelle autre de taille similaire.
Ainsi, la demande assassine des lobbies de l’industrie alimentaire, se fait-elle toujours plus importante et des pays comme la Malaisie ou l’Indonésie, face à cette manne financière inespérée, n’hésitent pas à détruire massivement des forêts tropicales, pour y planter des palmiers à huile.

Sachez que chaque jour, pour le plaisir de vos papilles (plaisir mortel rappelons-le), une superficie équivalente à 300 terrains de football, est détruite dans ces seuls pays toutes les heures !
Une véritable catastrophe environnementale, dont on ne parle pas…

De plus, une population dont nous sommes proches génétiquement parlant pour avoir 97 % de l’ADN en commun, est en voie de disparition… Il s’agit des orangs-outans qui signifie « Homme des Forêts », dont l’habitat naturel est justement les plantations de palmiers à huile…

Bien que l’on reconnaisse à nos sympathiques cousins, une excellente faculté d’adaptation, nul ne se soucie de les conduire ailleurs.

Ainsi dans des conditions indignes, meurent-ils de faim, ou encore sont-ils brûlés vif, lorsque les responsables forestiers embrasent leurs plantations, pour faire place nette à d’autres…
Un terrible cercle vicieux, une tuerie de masse, dont se rendent complices en toute connaissance de cause et dans le but unique de s’enrichir, des multinationales connues dans le monde entier, fabricant des dentifrices, sauces tomate, et autres barres chocolatées dont nos enfants sont friands, en utilisant sans scrupule comme liant l’huile de palme !
Ce qui va suivre, va peut-être vous inciter à ne plus être complices, du moins l’espère-je…
Savez-vous que les fabricants de ces « friandises malsaines », n’hésitent pas à masquer le contenu réel de leurs produits, en utilisant des subterfuges tels que le « flou de l’étiquetage ».

Par exemple, on peut lire sur les produits, des mentions mensongères telles que : huile végétale, graisse végétale, graisse hydrogénée, etc.
Il ne s’agit de rien d’autre, que des « tromperies marketing », et ce, au mépris de la santé humaine.

Ci-dessous les réelles proportions d’un pot de pâte à tartiner, qui démontre que l’huile de palme est l’ingrédient principal, pratiquement à égalité avec le sucre, le reste étant ridiculement présent, pour parfaire la couleur et un goût quasiment artificiel mais parfaitement trompeur…

Ceux qui sont venus lire mon article, comprendront aisément que seules 2 alternatives s’offrent à nous :
– Continuer à soutenir des pratiques barbares, tout en détruisant notre santé et celle de nos enfants.
– Où commencer à nous poser les bonnes questions, et à prendre un peu plus de temps dans les rayons des supermarchés, pour lire les étiquettes, et ainsi contribuer à réduire la consommation d’huile de palme.

Personnellement, mon choix est fait…

Dyonisos.

(Sources Futura Sciences et divers sites et forums du net)

Quelle crédibilité pour la fronde anti-Linky ?

Portée par des personnalités à la légitimité scientifique douteuse, laminée sur le fond par toutes les études sérieuses s’intéressant au sujet, la fronde anti-Linky commence-t-elle à s’épuiser ?

Des nouveaux compteurs qui font débat

Linky ne fait pas l’unanimité. Une minorité s’est lancée dans une véritable croisade contre la nouvelle génération de compteurs électriques, y voyant une technologie intrusive, portant atteinte au respect de la vie privée. Linky communique la consommation des ménages via une « courbe de charge », à partir de laquelle sera effectuée la facture, et qui permettra aux fournisseurs d’électricité de proposer des offres adaptées aux usagers. De quoi inquiéter la Commission nationale informatique et des libertés (CNIL), selon laquelle « une courbe de charge avec un pas de dix minutes permet de déduire de très nombreuses informations relatives à la vie privée ». Cet avis de la CNIL, daté de 2012, a été pris au sérieux par le gestionnaire du réseau Enedis, qui a décidé de recourir à un dispositif de sécurité particulièrement pointu, consistant à chiffrer tous les échanges.

Les données sont par ailleurs stockées sur des « modules de sécurité » dont le contenu sera automatiquement effacé en cas d’alerte. À titre de comparaison, ce standard est également utilisé dans l’informatique bancaire ou au sein des réseaux militaires (Critères Communs L4+). Le directeur territorial d’Enedis pour la Haute-Garonne, Léonard Dordolo, se veut donc rassurant : « on s’inquiète aussi de la sécurité des données qui transiteront par ces compteurs. Mais ces données sont chiffrées et toutes les garanties sont prises pour leur protection. » La très exigeante CNIL a d’ailleurs approuvé cette protection il y a plusieurs années (2012).

Il est vrai qu’une option permet de collecter des données payantes sur une durée de 5 mois, mais cela ne peut se faire sans le consentement de l’usager, qui peut choisir de revenir sur celui-ci à tout moment. Christian Buchel, président du directoire d’Enedis, précise que cette opération se fait « en toute transparence avec le consommateur, et seulement avec son accord, dans le respect de la CNIL et de la loi Lemaire (loi Lemaire pour une République numérique, créant « un cadre de confiance clair, garant des droits des utilisateurs et protecteurs des données personnelles », ndlr) ».

Mais le principal grief formulé à l’encontre de ces nouveaux compteurs concerne leur dangerosité supposée. La technologie du courant porteur en ligne (CPL) utilisée par Linky, qui permet de faire transiter les données directement sur le réseau électrique, serait émettrice d’ondes électromagnétiques à l’origine de cancers. L’association Robin des Toits soutient ainsi que le cumul des données envoyées par le compteur sur la fréquence électrique ferait « rayonner tout le réseau » en permanence.

Une étude approfondie réalisée par l’association 60 millions de consommateurs démontre toutefois que les affirmations des « anti », notamment celles de l’association Robin des Toits, n’ont jamais été appuyées d’études fiables, rigoureuses sur le plan scientifique. L’Agence nationale des fréquences (ANFR), en revanche, a fait des mesures et les a rendues publiques. Ces études révèlent un champ très faiblement supérieur lorsque le compteur communique, c’est à dire lorsqu’il transmet des informations au gestionnaire de réseau (à raison d’une minute par nuit à peine). Sa valeur relative est de l’ordre de 0,1 V/m à 20 cm de l’appareil. On ne le distingue plus à partir de 30 cm. Le Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem) présente les mêmes conclusions : « des champs électromagnétiques faibles ». L’ANFR a par ailleurs constaté que Linky « n’émet pas plus qu’un compteur classique ». Soit entre 150 et 350 fois en dessous de la limite réglementaire de 87 V/m. À titre de comparaison, cela représente 120 fois moins qu’un fer à repasser, 800 fois moins qu’un grille-pain et 150 fois moins qu’une ampoule basse consommation.

Des détracteurs pas très crédibles…

Ces faits sont néanmoins contestés par une poignée d’irréductibles qui continuent de voir en Linky un « mouchard » et un « assassin silencieux qui s’invite dans nos foyers ». Qui sont ces anti-Linky ? Parmi les opposants les plus actifs, on trouve Clotilde Duroux, une naturopathe qui vient de publier le livre « La vérité sur les nouveaux compteurs communicants – Écologie, économie, santé, législation… » paru aux éditions Chariot D’or. L’éditeur, qui est spécialisé dans la « Spiritualité orientale, le Tao et les techniques de bien-être », n’apparaît pas comme un gage de sérieux sur le sujet. Par ailleurs, selon les détenteurs de la collection « Les classiques de l’ésotérisme », le « talent de Clotilde Duroux» a permis de réimprimer l’ouvrage intitulé Jours caniculaires ou livre des divinations, paru aux éditions Trajectoires en 2007 et qui se présente comme « un reflet complet de la situation des arts divinatoires au XVIe siècle » – un domaine assez éloigné de la médecine ou de la science.

Afin d’afficher une légitimité scientifique, le livre sur les nouveaux compteurs communicants a vu sa préface rédigée par un membre du corps médical : Gérard Dieuzaide. L’expertise de ce chirurgien-dentiste en matière d’ondes électromagnétiques ne semble néanmoins pas pouvoir rivaliser avec celle de l’ ANFR. Son savoir-faire en posturologie – une méthode non conventionnelle d’étude de la posture – ne donne pas plus d’explications quant à sa récente prise de position dans un domaine ne relevant vraisemblablement pas de son champ de compétences. L’auteur de la préface a également publié des ouvrages dont les éditeurs appartiennent au groupe éditorial Piktos, tout comme les éditeurs des livres de Clotilde Duroux (Chariot D’or et Trajectoire). Autre fait intéressant, le nom de Dieuzaide a récemment été cité au côté de celui du cancérologue Henri Joyeux. Ce dernier, auteur de la postface du livre « Les maladies des ondes » écrit par Gérard Dieuzaide, a récemment été radié par l’ordre des médecins à la suite de propos polémiques sur la vaccination des enfants, une affaire qui a défrayé la chronique en juin 2015.

Un article de l’Express (Dr Joyeux, le Mister Hyde de la médecine) dressait d’ailleurs un portrait peu flatteur de celui-ci, le présentant comme un réactionnaire aux idées « bancales » qui s’exprime à tort et à travers sur des domaines « qui ne relèvent pas de son expertise » (de son opposition à la pilule contraceptive, à l’avortement et aux vaccins, aux ondes électromagnétiques). Il a également été fustigé par Daniel Floret, le président du Comité technique des vaccinations (CTV) au sein du Haut conseil de la Santé publique, ce dernier soulignant « qu’il n’avait aucune légitimité, n’ayant jamais publié de travaux sur le sujet ».

La fronde « Anti-Linky » n’apparaît pas comme étant véritablement légitime pour s’exprimer sur le sujet. Le manque de crédibilité scientifique de certains contestataires amène inévitablement à s’interroger sur la pertinence des arguments qu’ils avancent.
Nicolas Moinot

Geneviève Fioraso démissionne du gouvernement pour raisons de santé

 

 

La secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, Geneviève Fioraso, a présenté sa démission du gouvernement pour "raisons de santé", a annoncé jeudi l’Élysée dans un communiqué.

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Les troubles alimentaires, une conséquence des régimes amaigrissants chez les jeunes

 

 

 

 Les régimes amaigrissants causeraient de sérieux dommages physiques et psychologiques pour les jeunes adolescents. Véritables risques, les régimes amaigrissants se révèlent être les principales conséquences des troubles alimentaires chez les jeunes.  


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