Pornographie obscène – Les Anglais tirent encore les premiers !

 

Avertissement : Certaines lignes de cet article peuvent choquer et sont réservés à un public adulte et averti. Maintenant que vous avez cliqué sur, oui j’ai 18 ans, vous pouvez continuer. Mais avant une petite précision pour éviter tout malentendu. Le titre de ce texte, « Les Anglais tirent encore les premiers » n’a aucun rapport avec une possible éjaculation précoce de nos amis british.

Après le Brexit voici qu’il est question de Sexit de l’autre côté du tunnel, puisqu’il est question de censurer la pornographie obscène. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, faudrait s’entendre sur la définition de ce mot. Qui offense la pudeur ou inconvenant selon le dictionnaire. Or, comme vous vous en doutez, ce qui est obscène pour l’un ne l’est pas forcément pour l’autre, c’est d’abord une question de point de vue et dans le fond une position très personnelle.

Donc, le pays de Theresa May veut « censurer des vidéos en ligne d’actes sexuels non-conventionnels ». En effet « un projet de loi, la Digital Economy Bill, permettrait à l’organisme de classification audiovisuelle (la BBFC) d’infliger une amende aux sites web qui publient des vidéos pornographiques “obscènes”, voire de les bloquer. Il s’agirait de vidéos qui montrent, entre autres, “des fessées ou des bastonnades laissant des marques, des golden showers [douches urinaires], des éjaculations féminines, ou encore du sang menstruel”. 

Ce n’est pas précisé mais probablement aussi les relations sexuelles avec les animaux ; chat, chien, cheval, etc. Ne dit-on pas que tous les goûts sont dans la nature.

Cependant, s’il est parfaitement compréhensible de protéger la jeunesse contre la pédophilie qui est du domaine de la criminalité et d’interdire les images de viols simulés. Jusqu’où les Anglais iront-ils dans les restrictions ? Peut-être avez-vous entendu parler de la fameuse « Règle des 4 doigts » qui, comme son nom l’indique, ne permet pas aux films de montrer une pénétration de plus de quatre doigts dans un orifice ». Ou encore, comme dans certaines vidéos japonaises, le floutage de la zone sensible.

Toujours est-il que le gouvernement du Royaume-Uni envisage d’obliger les fournisseurs d’accès à bloquer des sites que la British Board of Film Classification (BBFC), organisme en charge de la classification des films, jugerait inappropriés ». De plus, « les sites qui ne mettent pas en place une vérification rigoureuse de l’âge des internautes seront tout simplement bloqués ».

La rentabilité du porno 

En réalité depuis l’arrivée du gratuit le porno est « en quête d’une nouvelle vigueur »

En France qui regarde les vidéos porno ?

Tout le monde ! Sauf ceux qui n’ont pas accès à l’internet ou un voisin sympathique et connecté aussi voyeur qu’eux. En réalité il est difficile d’avoir un chiffre précis sur la fréquentation des sites pornographiques.

Si « 7 Français sur 10 adhèrent à l’idée d’une consommation de pornographie à deux, et la moitié des sondés affirme l’avoir déjà fait. Elle « reste encore une pratique solitaire largement associée à l’activité masturbatoire », analyse François Kraus, directeur d’études au Département Opinion de l’Ifop ».

Selon le site pourquoi docteur « Les couples ont beau en parler plus, certains détails restent cachés. 5 % des femmes interrogées affirment que leur partenaire regarde des films porno une fois par semaine au moins… en réalité, 13 % des hommes le font. Il est moins surprenant de lire que, le plus souvent, c’est l’homme qui initie la consommation de porno dans le couple : 64 % des femmes en ont déjà vu, mais ce taux grimpe à 66 % chez les femmes en couple ».

Il semble que malgré le Brexit, les élites britanniques n’aient toujours pas compris les besoins d’un peuple en érection contre le politiquement correct.

 

Professeur ? L’ex plus beau métier du monde, qui était le mien…

 

 

L’actualité de ces derniers jours, ne manquera pas d’engendrer, commentaires contradictoires et polémiques diverses, quand on saura avec précision ce qui s’est passé, pourquoi surtout… Je pense bien entendu à cette tragédie aérienne, dont on sait déjà, qu’elle a été provoquée volontairement par un pilote à tendance dépressive…
La prudence veut, qu’il faille attendre quelques temps pour connaître les résultats de l’enquête…

Par contre, en ce qui concerne l’actualité, mettant à jour les agissements de cet enseignant pédophile, ou pédopornographe récidiviste selon les sources, qui imposait des fellations à ses petits élèves, il y a matière à s’insurger pour l’ex-enseignant que je suis, bien entendu envers cette brebis galeuse de l’enseignement, mais également face aux propos tenus par des membres du rectorat, dont franchement, on se demande comment ils ont été formés, pour oser débiter au grand jour, de telles âneries.
Comment ces personnages, peuvent-ils prétendre devant les micros de grandes chaînes d’informations, n’avoir été au courant de rien concernant cet homme !
Va-t-on encore longtemps, laisser passer le corps enseignant pour un panier de crabes, où évoluent de dangereux criminels, au casier judiciaire chargé ?
Ceci, sans que personne n’y trouve à redire chez les ronds-de-cuir du rectorat, qui n’ont d’ailleurs comme expérience du terrain, la plupart du temps, que ce qu’ils ont lu dans leurs livres de cours.
Premièrement, sachez que l’extrait du casier judiciaire est une pièce obligatoire, dans tout dossier d’enseignant, et que sans lui, aucune autorisation d’exercer la profession, ne lui est autorisée.
Ensuite, si cet extrait de casier reçu par un établissement scolaire, n’est pas vierge de condamnations gravissimes, comme des faits de pédophilie ou pédopornographie, l’enseignant est purement et simplement interdit d’enseigner, et pire même, banni de tout contact avec des enfants, dans un milieu scolaire, ce qui est semble-t-il normal…
De toute manière Va-t-on encore longtemps, laisser passer le corps enseignant pour un panier de crabes, où évoluent de dangereux criminels, au casier judiciaire chargé ? chaque enseignant et en quelque sorte "fiché", dans un dossier qui le suit partout, ou plutôt que l’Éducation Nationale fait suivre partout.
On y trouve tous les renseignements, relatifs au cursus scolaire de l’enseignant, les différentes formations qui sont les siennes, ses compétences relatives aux matières qu’il peut enseigner, les établissements dans lesquels il a enseigné, ses évaluations pédagogiques par des inspecteurs d’académie, ses blâmes éventuels, et bien entendu, tout ce qui peut être relatif à des dérives, incompatibles avec la profession d’enseignant, donc me semble-t-il à plus forte raison celles liées à des dérives pédophiles ou pédopornographiques…
Enfin ce que l’on appelle, une peine complémentaire d’interdiction de travailler avec des enfants, est, dans pareil cas ordonnée par un juge.
Voilà en tout cas ce qui se pratiquait du temps où j’enseignais, et qui selon certains de mes collègues, toujours en activité, est sensé encore être en vigueur.
De surcroît, je suppose que l’outil web, permet aujourd’hui aux responsables d’établissements scolaires, d’un simple clic, d’accéder à toute information sur un enseignant.
Je ne m’avancerai pas trop, mais il me semble avoir appris de quelques personnes, travaillant dans d’autres métiers de la fonction publique, que c’est la même chose chez eux.
Je préfère afin d’étayer quelque peu mes propos, vous citer le cas que je connais le mieux, à savoir, le mien…
Lorsque j’ai intégré l’établissement scolaire dans lequel, j’ai exercé à une époque, le Directeur que je connaissais, s’était amusé à me taquiner, en prétendant que je ne pourrais pas intégrer l’équipe d’enseignants à la rentrée, car mon extrait de casier judiciaire, que j’avais demandé au centre de Nantes d’envoyer directement dans mon lycée, n’était pas arrivé…
Puis, il m’avait dit également lorsqu’il l’avait eut en main : "vous ne m’aviez pas parlé de vos antécédents judiciaires !" Bref, il continuait sur le ton de la plaisanterie, ou encore voulait-il, tester les nerfs du dernier arrivé…
Ce que je veux vous dire, c’est que sans ce sésame vierge, reçu par l’établissement, et, le dossier enseignant visé par le rectorat, il n’est pas possible d’enseigner, en cas de litige avéré !
De plus, les mentions liées aux peines de droit commun, viol, pédophilie, pédopornographie, etc, restent visibles sur un extrait de casier judiciaire, (selon un policier en retraite de mes amis), en tout cas sont-ils obligatoirement notés, dans le dossier enseignant, dont je parlais plus haut.
Donc, rétablissons la vérité…
Ce qu’on nous a raconté, à grands coups de reportages sur les chaînes télévisées d’informations, est scandaleusement mensonger !
Impossible donc d’ignorer, quels ont été les agissements antérieurs de ce monsieur ! Forcément à un moment ou un autre de la "chaîne de vérification", les informations ont-elles été mises en évidence, et signalées en hiérarchie.

Je pense, que petit à petit, face à la pénurie de professeurs liée à des restrictions qui n’ont pas lieu d’être, les établissements scolaires, n’ont d’autre choix, que d’engager dans leurs rangs, du "n’importe qui, pour ne pas dire, du n’importe quoi", et, que nous nous dirigeons, si nous n’y sommes pas déjà parvenus, vers la fin d’une éducation scolaire de qualité.
Je déplore également, que des jeunes diplômés sans la moindre expérience, soient "jetés" littéralement, dans des classes parfois turbulentes, et ce, sans formation préalable "sur le tas" dirais-je, chose qui se faisait pourtant en d’autres temps. Mais c’est un autre débat…

Web et pornographie juvénile…

Si il est un fléau dont on peine à se débarrasser sur internet, c’est bien ce que l’on appelle la "pornographie juvénile".

En effet il est à l’heure actuelle des plus aisés de se connecter à des sites qui montrent des scènes de sexe, quand elle ne mettent pas en œuvre des mineurs. De plus à notre insu des images dégradantes viennent parfois polluer nos pages, alors que nous sommes  sur un site que l’on croyait de confiance.

Pervers, pédophiles et réseaux pornographiques en tous genres s’en donnent à cœur joie, du moins tant que rien ne sera fait pour les en empêcher.

 

On peut parler d’un véritable trafic !

 

Ce géant du web qu’est Google, vient d’être ouvertement critiqué par le premier ministre anglais David Cameron, qui lui reproche de n’avoir jusqu’à présent rien fait de concret en matière de protection des enfants.

Ce n’est d’ailleurs pas tout à fait exact, car Google avait travaillé longuement sur le sujet, en collaboration avec des associations à but non lucratif ou encore des organismes spécialisés dans l’application de lois de protection.

Google par exemple depuis les années 2008 "taguait" des images d’enfants mis dans des situations dégradantes, avant de les communiquer au National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC), organisme chargé de s’assurer qu’aucune autre copie ne soit faite.

 

Le géant du web, piqué par les attaques verbales acérées de David Cameron rapportées publiquement par The Telegraph, assure avoir immédiatement consacré 5 millions de dollars pour palier à ce fléau, en les distribuant à des organisations américaines, australiennes et européennes.

2 millions supplémentaires viendront encourager des initiatives, visant à développer des outils plus efficaces et éradiquer totalement la pornographie infantile sur le web.

 

Ainsi des réseaux sociaux connus tels que Facebook ou encore Microsoft, devraient avoir prochainement des moyens efficaces pour lutter contre tout contenu à caractère pornographique.

 

Il me semble qu’à une époque où la violence ne cesse de monter, où les phénomènes de viols et meurtres à caractères sexuels augmentent, ce type d’initiative est des plus nécessaires.

 

 

A 14 ans elle est accusée de pédopornographie

Une adolescente américaine de 14 ans est accusé de pédopornographie pour avoir mis 30 photos d'elle sur MySpace. Originaire du New Jersey, elle peut encourir une peine de 17 ans de prison, et figurer dans le registre des criminelles sexuelles. 

 

 

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Bilan de la traque aux sites pornographiques en Chine

L’agence officielle Chine Nouvelle a déclaré mercredi que, durant l’année 2007, les autorités chinoises ont fermé pas moins de 44.000 sites Internet à caractère pornographique et arrêté 868 personnes dans le cadre de la campagne de lutte contre la pornographie.

L’agence a ajouté que, suite à une réunion à laquelle des responsables du ministère de la sécurité publique et du département de propagande du parti communiste ont participé, cette campagne prendrait fin après les jeux olympiques de Pékin, c’est-à-dire dans le courant du mois de septembre.

Mais cependant, malgré des campagnes de lutte contre la pornographie à répétition, elle est encore largement répandue sur la toile en Chine.

La Chine, en seconde place en termes de nombre d’utilisateurs d’Internet derrière les Etats-Unis, devrait passer cette année en première place de par l’incroyable croissance de ce nombre. Voilà qui va augmenter le nombre de pervers sur la toile et rendre la lutte contre la pornographie sur Internet encore plus difficile.

Il faut dorénavant l’appeler Katsuni !

En janvier 2007, la célèbre actrice pornographique française "Katsumi" changea son nom en Katsuni afin d’éviter toute confusion avec une femme dont le nom de famille est justement Katsumi.

Katsuni est une actrice pornographique qui a tourné son premier film en 2001. Depuis ses débuts cette actrice connue a comptabilisé 27 awards. Katsuni a aussi joué dans des téléfilms érotiques pour M6 et participa à des tournages de clips.

Une femme dont le nom de famille est Katsumi a exigé que son nom ne soit plus utilisé par l’actrice pornographique. A la suite de cette requête, en janvier, Katsuni a du changer de nom et payer une astreinte de 500€ pour chaque infraction constatée. Depuis cette requête de justice 40 infractions ont été retenues pour un montant total de 20000 € payés par Katsuni.

Alors n’oubliez pas pour éviter toute nouvelle astreinte à payer pour Katsuni que son nom n’est plus Katsumi mais bien Katsuni.

Un réseau pédophile démantelé en Pologne.

Dans le cadre de la lutte contre les réseaux pédophiles, l'étroite collaboration entre les polices allemande et polonaise a permis, la semaine passée, l'arrestation de 49 personnes, dont de nombreux instituteurs et responsables religieux, la saisie de 92 ordinateurs et de plus de 2600 CD contenant de la pornographie infantile.

Les objets délictueux ont été saisis tant à domicile que dans des bureaux et des cafés Internet. À l'heure actuelle, 16 des personnes interpellées ont reconnu posséder du matériel pornographique à caractère pédophile, ce qui pourrait déjà leur valoir cinq ans de prison.

Tous les suspects pourraient être accusés de distribution de matériel pornographique infantile, un crime passible d'une peine maximale de huit ans de prison en Pologne.

PINK TV va devenir gratuit : une révolution dans les chaînes payantes

Dans les chaînes pornographiques, c'est une mini révolution qui est en marche … la chaîne Pink TV va devenir gratuite à horizon du printemps 2007.

Le bouche à oreil commence déjà à faire son chemin … bref une publicité peu chère !