Agnès Buzyn, Actrice du Buzz !

Depuis le 1er novembre 2019, les pauvres ont encore pris un coup derrière la calebasse. Presque pire qu’un coup de matraque des distributeurs automatiques casqués du samedi. C’est peu dire. 

Sonnez buccins et trompettes ! Le 25 septembre 2019, la Sinistre de la santé présentait à l’Assemblée nationale la nouvelle Complémentaire Santé Solidaire (CSS), remplaçant la CMU * et l’ACS *. Objectif et je cite : « … La couverture sociale ouverte aux plus modestes : combattre le non-recours aux soins… Une vaste campagne d’information sur le web, les ondes radio et les réseaux sociaux… » Libération : https://cutt.ly/SrDTUO4

Grande partition en « bémol majeur » pour pipeau et violon. – les deux seuls instruments dont les membres de La Régression En Marche sont des virtuoses accomplis –

Car en effet, pour ce qui est des informations largement diffusés, vous repasserez chère Agnès Buzyn. Récemment, une de mes amies a été chez son dentiste pour une prothèse dentaire. Mais elle a été priée d’attendre, car pour l’instant au niveau remboursement, c’est le flou intégral. Pourtant, cela fait 4 mois que cette « grande » réforme est passée.

Qui peut en bénéficier et dans quelles conditions ? Je vous branche sur mon décodeur, car c’est quand même assez touffu. À l’image des énarques…

Exemple : un couple de retraités de 70 ans touche 1400 € par mois de retraite. Trop haut pour bénéficier de la CMU-C*, car ce revenu dépasse le plafond qui est de 1245 € par mois. – Non, vous ne rêvez pas, on est bien en France dans un pays soooocial de gooooche -.

En revanche, ils pouvaient bénéficier de la CMU et de l’ACS. Pour cette dernière, l’état leur envoyait un chèque d’environ 1100 € qui correspondait à une mutuelle de base. Ce chèque étant bien entendu encaissable à cette dernière choisie par les retraités.

Une mutuelle gratuite qui ne remboursait pas beaucoup, mais au moins, les deux retraités étaient couverts. De toute façon, si vous voulez être bien remboursé par une mutuelle, il faut en mettre le prix.

La CSS est présentée de façon pernicieuse, comme d’habitude. Les garanties seront alignées sur celles de la CMU-C, sic la ministre de la Santé. Entièrement faux dans le cas de nos deux retraités, puisqu’ils ne peuvent pas bénéficier de la CMU-C. Et cerise sur le gâteau, ils viennent de perdre la CMU et l’ACS. Merci Arnaque Buzyn.
Car la CSS sera payante. Il n’y a pas de petits profits au sein de La Répression En Marche. À peine 1 € par jour clame Agnès Buzyn. Vu sous cet angle, ca parait insignifiant.

Mais cela fait 25 € par mois pour un senior entre 60 et 69 ans, et 30 euros par mois à partir de 70 ans. Pour ce couple de retraités, ils devront casquer 60 € par mois, soit 720 € par an. Pas mal, pour une mutuelle qui ne couvrira rien de plus que la mutuelle de base qu’ils avaient avec l’ACS et qui était financé par l’état.

Pas belle la vie ? Le racket des vieux selon le Macronavirus. – dangereux et contagieux, il sévit depuis peu… –

Évidemment, tous les articles des medias main stream vous présentent cette réforme comme une avancée spectaculaire. Un vrai coup de pouce aux pauvres. Levé le pouce ou inversé ?

Claude Janvier

* Définitions :
CSS : complémentaire santé solidaire
CMU : couverture maladie universelle
CMU-C : couverture maladie universelle – complémentaire
ACS : aide complémentaire santé

 

Après le succès du compte Nickel, à quand une vraie banque mutualiste ?

Le compte Nickel réussira bientôt à convaincre un million de déposants. Sa création a aiguillonné les banques qui réduisent leurs guichets et agences au profit de leurs filiales de banques en ligne.
Mais le secteur réellement mutualiste gagnerait à s’inspirer de cette réussite.

Plus de 300 000 comptes ouverts depuis sa création, et un objectif raisonnable du double pour la fin de l’année, soit en deux ans seulement. Cet essor accéléré doit tout à une formule simple, un réseau préexistant (celui des buralistes), et à l’impression, en partie fondée, qu’ouvrir un compte Nickel revient moins cher que de s’en remettre à une banque classique. Mais pourquoi donc le secteur véritablement mutualiste ou coopératif n’y a-t-il pas songé ou ne prévoit pas la mise en place d’un dispositif similaire ?

Un compte Nickel s'ouvre rapidement, sans conditions de ressources...
Un compte Nickel s’ouvre rapidement, sans conditions de ressources…

Les fondateurs du compte Nickel, Hugues Le Bret et ses associés, ne sont nullement des philanthropes. Mais leur système bancaire, qui simplifie au maximum l’obtention d’une carte de débit et d’un RIB permettant de régler des retraits automatiques ou de faire virer un salaire, des rétributions, s’inscrit dans le droit fil des initiatives du mouvement mutualiste des origines.

La plupart des compagnies d’assurances ou bancaires dénommées encore mutualistes n’ont pas un comportement si différent de leurs homologues privées. Les assurances mutuelles rémunèrent très généreusement leurs directions et opèrent sur les marchés financiers de la même manière, pour la plupart, que le secteur privé. Les banques populaires et Natixis préfèrent investir dans la publicité et les parrainages (sportifs, culturels et autres) leur assurant de la visibilité plutôt que de tenter de convaincre la clientèle populaire par des tarifs réellement différents de ceux de la concurrence. La caisse centrale du Crédit mutuel est devenue le plus important patron de presse national en étendant sans cesse son emprise sur les quotidiens régionaux… mais n’accorde guère plus de facilités aux particuliers qu’une autre banque.

Le compte Nickel investit dix fois moins en marketing qu’un établissement bancaire (banques à guichets ou en ligne réunies). Le bouche-à-oreille et la commodité pour ouvrir un compte ou obtenir de l’argent (dans les bureaux de tabac ou des distributeurs de billet une fois le compte ouvert et crédité) sont ses meilleurs atouts de croissance (très) accélérées.

Les frais de gestion sont réduits, le personnel ne dépassera sans doute pas la centaine de personnes l’an prochain alors que se met en place un dispositif s’adressant au TPE, voire au petites PME. Le coût le plus important est constitué par la rétribution des buralistes (cinq euros par ouverture de compte, pourcentage sur les dépôts d’espèces – facturés 2 % du montant – et les retraits à 0,50 euros par opération). Pour ce service, facturé 20 euros annuellement, on dispose d’une carte Master Card (soit deux fois moins chère que son équivalent en banques classiques, celles en ligne la fournissant le plus souvent gratuitement).

Les inconvénients sont limités. Il reste malgré tout plus facile de trouver un débit de tabac ouvert tard le soir qu’une agence bancaire et il s’en trouve encore à ouvrir le dimanche. Les dépôts en liquide sont plafonnés à 750 euros, ce qui, hormis pour de toutes petites voitures de location, ne couvre pas la garantie exigée. En cas de paiement à l’étranger, il n’est pas prélevé de commission. Cependant, ne pouvoir émettre ou encaisser de chèques peut constituer un réel désavantage, en dépit du fait que les virements Sepa se généralisent.

Est-ce pour autant beaucoup plus avantageux qu’un compte bancaire traditionnel (ou ouvert en ligne). Difficile de comparer puisque le compte devant toujours être créditeur, certains frais ne s’appliquent pas. Le magazine Capital s’est adressé au comparateur Panorabanques (.com), qui n’inclue pas Nickel dans son panel de 26 banques (dont cinq en ligne), pour établir une estimation raisonnable en étudiant les tarifs de 158 banques.

Il en coûterait à un client Nickel moyen (la plupart ont un revenu mensuel médian avoisinant les 1 400 euros) près de 80 euros par an, soit les deux-tiers de ce qu’il verserait à une banque (près de 125 euros). Ce, sur la base de six retraits d’argent par mois (trois en débit de tabac, trois en distributeurs) pour un montant de 54 euros, cinq retraits et deux paiements hors zone euro (5 euros, ce qui est fort peu, mais ne concerne pas la majorité des clients de Nickel).

Mais c’est, pour le même type d’opérations, près de six fois plus cher qu’en ayant recours à une banque en ligne (Boursorama, B for Bank, Fortunéo…). Et même bien davantage si retraits et paiements à l’étranger, facturés beaucoup moins par les banques en ligne que par les classiques, étaient exclus du comparatif.

Cela étant, Hugues Le Bret, l’un des fondateurs, considère que le coût annuel moyen de ce compte est de l’ordre de 35 euros (sur la base de 18 retraits annuels, dont neuf en distributeur, facturé 60 cents par la banque détentrice et un euro par Compte Nickel) et rarement plus de 45 pour une large majorité de clients. Cet ancien communiquant de la Société générale, et de sa filiale Boursorama, dont le livre sur l’affaire Kerviel n’avait pas plu à son employeur, qui l’a remercié, a donné un entretien tout à fait édifiant au site Les Crises. Il décrypte le fonctionnement et les abus tarifaires des banques classiques.

C’est véritablement très instructif.

On le constate plus globalement, être pauvre est relativement plus coûteux, en tous domaines, qu’être riche. Cela vaut d’ailleurs aussi plus fortement pour les frais bancaires : plus vous déposez ou épargnez, mieux vous pourrez négocier des tarifs inférieurs, voir obtenir des libéralités (sur le montant de la cotisation pour les cartes bancaires, par exemple).

Nickel ne se rémunère pas sur les crédits puisqu’il n’en accorde pas. Il est vrai que les taux sont faibles, fortement encadrés, et que la clientèle des particuliers n’est plus fortement rémunératrice pour les banques sur ce poste. Mais Nickel ne tient pas non plus compte des dates de valeur (vos débits sont immédiats, mais vos crédits de même), qui permettent aux banques de faire travailler votre argent dans l’intervalle. Pourtant Nickel est tout à fait rentable pour ses fondateurs et actionnaires.

Dans un domaine voisin, complémentaire, celui du cobanking, qui facilite les transactions, les prêts entre particuliers, et permet de constituer des cagnottes à plusieurs (qui peuvent être employées sous forme de crédit participatif), le secteur mutualiste, hormis peut-être la Banque populaire occitane, n’a guère fait preuve d’innovation. Payname et Prêt d’union, en France, vont sans doute se développer en s’orientant sur de nouveaux modèles de banque collaborative.

Toutefois, le Crédit mutuel Arkéa, la caisse bretonne du CM, a mis la main sur Leetchi fin 2015. Une société proposant la création de cagnottes ou de crowfunding qui prend, selon les montants, près de trois ou quatre euros pour effectuer un virement (ou rien si l’emploi des fonds sert à des achats de marques partenaires). CM Arkea est d’ailleurs aussi le partenaire du compte Nickel, les dépôts étant consignés sur un compte dit de cantonnement (Arkea ne peut l’utiliser pour des transactions boursières ou autres).

Natixis (groupe Banques populaires & Caisses d’épargne) s’est associé à Bolden (.fr) qui propose aux particuliers et entreprises de prêter à pour des projets sélectionnés (le rendement brut moyen serait de 7 %).

En France, il n’y a plus guère que l’UNGMS (Union nationale des groupements mutualistes solidaires, en matière de complémentaires maladie) à préserver l’esprit d’origine du mouvement mutualiste. Elle reste très minoritaire et loin de couvrir l’ensemble du territoire métropolitain.

Dans le secteur des fonds d’investissements, une société allemande, Slock.it, propose déjà un schéma participatif pour investir dans des sociétés, surtout technologiques ou innovantes, choisies par les investisseurs eux-mêmes (par votes) et non par un panel d’experts rétribués (ou bénévoles comme dans le cas des business angels qui répondent ou non eux-mêmes aux appels de fonds). Ce n’est plus ce qui s’observe dans le secteur mutualiste dont les adhérents ou sociétaires n’ont plus qu’un rôle vaguement consultatif dont, à son gré, le conseil d’administration tient ou non compte.

Qu’on ne se leurre pas, la finance évolue, mais reste la finance… Les avantages ou réductions et exemptions de frais concédés en phase de lancement, le plus souvent rendus possibles par la contraction des frais salariaux (surtout en bas et milieu des échelles salariales), et pour contrer une concurrence qui s’élargit, risquent d’être progressivement rognés pour accroître les profits.

Ce qui pourrait conduire à une désaffection… Se passer de banque reste théoriquement possible en poussant « l’ubérisation » plus loin encore. Mais cela comporte des risques pour les particuliers et les entreprises (ainsi du système Bitcoin). Leur mutualisation permet de les réduire.

Elle permettrait aussi de mieux sécuriser la nature des transactions qui ne seraient pas revendues à des sites marchands ou des agences de mercatique. Le data mining permet de déterminer les habitudes de consommation de tout un chacun et de cibler publicités et offres promotionnelles. Déjà, les banques dissèquent votre budget et catégorisent vos dépenses (loisirs, voyages, dépenses alimentaires…). N’est-ce bien qu’à usage strictement interne ?

La médecine pour tous, utopie ou réalité ?

La médecine accessible à tous reste un credo de tous les hommes politiques, de droite comme de gauche. Et pourtant alors qu’une loi prévoit l’obligation d’une mutuelle complémentaire pour tous les salariés du privé d’ici quelques années, l’accès aux soins reste bien inégal et ne semble pas devoir s’améliorer dans les années à venir, à moins que….

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870 mutuelles santé en ligne à comparer

 Il est tout d’abord important de définir le système de fonctionnement d’un comparateur mutuelle. Le comparateur en ligne est un concept qui a révolutionné le monde de l’assurance. Un outil conçu par les assureurs et qui a pour but d’établir une étude concrète afin de trouver une mutuelle santé adaptée à chaque  situation.

 

Parmi ces spécialistes ou comparateurs en ligne, tels que santiane.fr, hyperassur.fr, lelynx.fr, novia-sante.fr présente un comparateur mutuelle très performant puisqu’il propose une sélection de plus de 900 formules de mutuelle santé. Pour ceux qui sont à la  recherche d’une solution compétitive et répondant à leurs besoins, c’est une aubaine, car le résultat est convaincant. La compétitivité est à l’honneur pour ce comparateur mutuelle.

 

La mutuelle santé : un besoin vital pour les familles

 

Lamutuelle santé est indispensable pour tout le monde, car elle est la garante pour chaque foyer de la compensation des prestations médicales en dehors des remboursements du régime obligatoire. Il s’agit notamment des soins minimes comme les vaccins, les prestations pour les psychologues, l’orthodontie adulte par exemple. Pour être totalement des divers actes restant à charge de chaque assuré, il est ainsi important de bien choisir la mutuelle santé qui répondra au plus haut point aux besoins de chaque membre de la famille.

 

Les problèmes rencontrés par les mutuelles

 

Le premier facteur qui a fait basculer le budget des mutuelles santé est sans conteste les décisions politiques des gouvernements, qui se sont succédé. Pour clore le sujet en 2011, la taxe d’assurance a connu une nette augmentation qui devait peser sur l’ensemble des cotisations des mutuelles. Malheureusement, les mutuelles ont transféré l’ensemble de cette taxe sur les cotisations de tous les adhérents. Pour aggraver le cas de certains malades, un grand nombre de médicaments n’est plus remboursé par la Sécurité Sociale. Enfin, le dernier facteur est l’explosion des honoraires des chirurgiens et des spécialistes ou des actes des chirurgiens-dentistes.

 

Un département, un prix pour chaque mutuelle santé

 

Effectivement dans chaque département, l’écart de prix analysé sur le comparateur de mutuelle santé peut être de 20 %. Dans les régions urbaines et ayant une forte densité de la population, les mutuelles appliquent une majoration sur des zones de consommations médicales plus importantes. L’écart considérable du tarif est dû à deux raisons bien évidentes. Premièrement, les acteurs médicaux sont les premiers mis sur la sellette. Les honoraires de ces spécialistes sont liés à un dépassement et dont le surcroît sera pourtant amorti par les mutuelles. Deuxièmement, il est aussi question de la dégradation de la santé des habitants des localités concernées, du fait par exemple de la pollution par exemple.


Si un assuré trouve ainsi son compte avec un comparateur mutuelle, chaque assuré dispose d’un droit de résiliation pour bénéficier d’une nouvelle solution favorable et pour cela il doit mettre un terme à un contrat, par le biais de la loi châtel par exemple. Le comparateur mutuelle en ligne est ainsi l’outil idéal pour jouir des différentes dispositions juridiques.

Les assurances santé animaux de compagnie: avis

De nos jours, beaucoup de foyers possèdent un ou même parfois plusieurs animaux de compagnie. Mais des animaux, ça revient cher: nourriture de qualité, soins, toilettage parfois selon les races..

Si votre chien dépasse les trente kilos et qu’il est malade, la facture chez le vétérinaire est plutôt salée, et pour cause: les médicaments se prescrivent selon le poids de l’animal.. Bref, au moment de payer, on manque souvent de s’évanouir quand le vétérinaire nous dit "ça vous fait 200 euros!". 

Si on ajoute à cela les croquettes, et tout le reste, on arrive bien vite à un budget hors norme et nos comptes virent vite au rouge. Alors oui, bien sûr, je le sais et je suis d’accord avec ça: quand on prend un animal, on assume et si on a pas les moyens, on en prend pas! La bonne vieille rengaine. Alors c’est vrai, certes, mais bon.

Si il existe des moyens pour moins payer, pourquoi s’en priver? J’en arrive à mon fameux sujet: les assurances santé chiens et chats. Est ce qu’elles valent le coup? oui! La plupart vous rembourse vos frais vétérinaire à 70% pour environ trente euros par mois. Certaine personne se disent que ce n’est pas la peine, mais ça l’est, car un animal c’est malade et surtout ça vieillit très vite malheureusement. De plus, on est content de savoir que sur les fameux 200 euros on va en récupérer une bonne partie quand même…

Je suis donc pour ma part totalement pour les "mutuelles" pour animaux. Puis, c’est bien connu et c’est pareil pour tout: c’est juste quand on a pas d’assurance ou qu’on résilie la nôtre en se disant que ça sert à rien parce que le chien n’est jamais malade, eh bien c’est justement la qu’on en aurait besoin!! Ne faites donc pas l’impasse dessus surtout pour les gros chiens. Enfin, certaines assurances peuvent parfois rembourser jusqu’à 100% des frais engagés, mais pour cette formule, vous payez environ 50 euros voire 60 euros par mois. 

 

L’oncle Sam puce son bétail humain!

 

La science-fiction ne cessait depuis quelques années de mettre en avant un nouveau système de centralisation informatique des données personnelles au travers d’engins tous plus technologiques les uns que les autres, greffés sur le corps humain ou implantés, de manière à garder la main mise sur l’ensemble des populations sélectionnées. Les cinéastes et autres auteurs en « rêvaient », le gouvernement Américain l’a fait, confondant l’être humain avec le plus primaire des animaux sauvage, le traitant comme tel et le fichant de la même façon.

Une nouvelle directive dans les tuyaux de Washington depuis un moment déjà et qui aujourd’hui est en passe de devenir réalité. Mais qu’en est-il réellement?

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AU SECOURS ESCULAPE !!!

Un article de la revue « valeurs mutualistes » porte parole de la mutualité enseignante , ainsi qu’un second article du Figaro-magazine de mars 2007 , nous révèlent qu’un rapport officiel remis récemment au ministre de la santé Xavier Bertrand, et portant sur «  la situation de l’automédication en France et perspectives d’évolution » préconise le recours à cette pratique  et s’appesantit longuement sur son volet économique ……

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