La liseuse , c’est comme ça qu’on l’appelle .
Ce support éléctronique à lire en numérique , Conçu et réalisé par La firme américaine Amazon , un des géants planétaires de la vente en ligne , ne cesse de gagner , inéxorablement , du terrain sur le marché mondial du livre , au détriment des maisons d’éditions classiques , dont le processus de la tâche est à grands frais .
Hormis les gains colossaux que la version papier a toujours fait gagner à ses acteurs , ayant été l’unique moyen de publication , la mise en page des manuscrits et leurs tirages sont , néanmoins , un processus long et couteux et necessitent énormèment de matière première, des hangars pour stocker , des camions pour transporter , de la publicité pour écouler ,sans oublier les éfféctifs en personnel que cela implique pour des heures et des heures , et la longueur du temps pour voir son projet-livre se réaliser . Bien des auteurs ont abandonné leurs projets à mi-chemin à cause de celà.
Avec L’avènement du kindle , et tous ses irrésistibles avantages : un poids super léger d’environ 241g,à ranger insensiblement dans sa poche, sa capacité à contenir toute une bibliothèque(jusquà 1000 ouvrages à peu près) pour la promener avec soi partout ou on va , La possibilité de se connecter via internet au site amazon et télécharger instantanèment autant de livre qu’on souhaite, selon nos préférences ,tout est réduit à la simplicité , du déclic de départ à la publication .
La mise sur le marché est rendue possible par soi-meme et rapidement , juste quelques minutes pour voir son écrit affiché sur la page de vente du site amazon . C’est le grand jour aussi pour les bibliophiles , le prix des livres ne sera plus un obstacle frustrant . Le kindle a dynamité tous les pics et rendu quasiment toutes les écritures accessibles au lectorat pour presque rien.
Aux états unis , les étagères des bibliothèques scolaires se font de plus en plus vides du livre dûr pour être remplaçé par le kindle . Elèves et étudiants y ont trouvé un substitut confortable et bel accompagnateur dans leur recherches scolaires . toutes leurs requêtes d’informations sont satisfaites au clic et partout , sans avoir à faire le trop plein de manuels dans leur sacs à dos, une importante économie de l’énérgie corporelle .
Façe à cette menace , les imprimeries à papier et à encre , doivent opter : s »adapter ou disparaître .
s’adapter signifie se mettre à la mode , passer en numérique . Telle a été l’entreprise de la plupart d’entre elles en combinant le byte et l’encre . Du fil à retordre .