L’homme, l’humanisme et la réalité

L’enfance

            En grandissant, ne découvre-t-on pas que la vie est injuste ?

            « Pourquoi lui ? » (Le masculin neutre sera employé) « Pourquoi pas moi ? »  (Dans les deux perspectives : négative et positive)

            Pourquoi des accidents ? Des catastrophes imprévisibles ? Des maladies ? Des handicaps corporels ou/et mentaux ? Pourquoi suis-je riche et lui pauvre ? Pourquoi j’assimile sans peine les maths et lui, non ? Etc.

            Le phase dite adulte et non pas « adulescente »

            En vieillissant, ne se rend-on pas compte que la sensation « positive » implique la « négative » (si jamais on ne nie pas la dialectique du principe de symétrie, ce qui est très rare puisque la devise conseillée …est d’« essayer de garder les bons côtés de la vie et de s’efforcer d’oublier les mauvais » !), comme le sens d’un mot exige l’altérité ou l’existence de sa négation ? (Lumière et obscurité, froid et chaud, etc., ne vont-ils pas de pair ?)

            L’examen du processus de la vie

            L’observation de sa multiplication et complexification au fil des ères conduit à la perception que le phénomène de la naissance ne peut aller sans celui de la mort.

            Pourtant, cette conclusion n’a jamais été (sauf exception) acceptée, intégrée.

            *** Au lieu d’honorer la totalité du cycle, le début a toujours été fêté et la fin (le plus souvent) incomprise et rejetée ! 
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