De l’espoir dans le traitement du nanisme : une étude encourageante …

L’étude est menée sur une forme commune de nanisme : l’achondroplasie. Le nanisme se définit par un défaut de croissance qui porte essentiellement sur les os des membres inférieurs et supérieurs et se manifestant par une taille adulte n’excédant pas 1,35m.  Cette forme de nanisme touche 1/15 000 naissances. Les études ont été effectuées sur des souris naines. Ces souris naines ont les mêmes particularités que l’Homme. Elles n’ont pas de développement de membres supérieurs et inférieurs et aussi quelques os du crâne. Les études ont démontré une déficience d’une protéine qui empêche une bonne croissance.  

 


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e-cigarette : 60 Millions de consommateurs se fait remettre à sa place

Une semaine après le scandale de l’étude de 60 Millions de consommateurs relative à la cigarette électronique, la voix « raisonnable » de vrais experts se fait entendre. Elle est plutôt sévère à l’égard de l’association.

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Quand il y a pleine lune, on dort mal !

 

 

 

 

Ce ne serait pas seulement à cause de la canicule qu’on aurait mal dormi ces derniers jours, mais aussi en raison de l’influence de la pleine lune ! Pendant longtemps, on prenait çà pour une légende… avant que des scientifiques de l’Université de Bâle établissent dernièrement qu’il y a bien un rapport entre la pleine lune et un mauvais sommeil !

 

Ils ont donc tenté de répondre à la question : « la pleine lune perturbe-t-elle le sommeil ? ». Les chercheurs ont étudié le sommeil de trente cobayes humains. Ils ont donc contrôlé leur activité cérébrale, leurs mouvements oculaires et mesuré leurs sécrétions hormonale pendant que les candidats dormaient. En même temps, ils ont rapproché les mesures et les observations des cycles lunaires. Ils ont déterminé ainsi que pendant la phase de pleine lune, l’activité du cerveau diminuait de 30% pendant le sommeil ! Au cours de cette période de pleine lune, les cobayes humains mettent cinq minutes de plus pour s’endormir et dorment au total vingt minutes de moins ! Les participants eux-mêmes ont senti qu’ils dormaient moins bien pendant cette période.

 

Alors, même si on ne voit pas la pleine lune, on est sûr maintenant – ce n’est plus une croyance – que le satellite de la terre a bien une influence sur la qualité de notre sommeil ! Mais ce n’est pas si extraordinaire qu’il y paraît au premier abord car on sait depuis longtemps que la lune à une influence chez les animaux notamment marins, dans leur comportement pour la reproduction.

 

Mais chez l’homme, il semblerait que cette découverte soit une première… Grâce à ces chercheurs suisses, l’influence de la lune sur le sommeil n’est plus « un  mythe » ! Au départ, ils ne s’intéressaient pas directement à la lune… mais c’est en menant un essai sur les effets de la lumière sur l’endormissement, qu’ils ont mis el doigt sur « les effets lunaires » !

 

Je me souviens que mon beau père avait l’habitude de dire que la pousse des champignons (les cèpes) se produisait plutôt au moment de la pleine lune, mais j’avoue que je voyais là, comme une croyance ancestrale qui ne devait pas tenir la route ! Après cette découverte, on va peut-être attacher plus d’importance aux effets de la lune et constater qu’une fois de plus nous sommes étroitement liés à la nature en tant qu’humains !

 

Ces chercheurs ne disent pas si on peut faire quelque chose pour limiter ou corriger les effets de la lune ? Je pose là sans doute une question banale pour les hommes qui veulent toujours pouvoir agir sur la nature, mais là, je crains qu’on ne puisse vraiment rien faire pour limiter cet effet !

 

Peut-être aussi que certains lecteurs voudront bien nous rappeler d’autres effets de la lune, auxquels souvent on a du mal à croire, mais maintenant, on va peut-être y prêter plus d’attention !

 

Sources Le Monde, terrefemina.com, Europe 1

(Photo : capture d’image sur le site europe1.fr)

 

 

Les mystères de la vie révélés par l’ADN !

 

Depuis notre plus tendre enfance, la plupart d’entre nous s’interroge sur les mystères de la vie et se pose de nombreuses questions concernant l’origine de l’homme et sur la mort qui nous guette à chaque instant au cours de notre existence. Une récente étude scientifique américaine vient de révéler que l’heure de notre mort pourrait être déterminée par notre patrimoine génétique. Et pourquoi pas l’année et le jour ?

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La Chine en plein dynamisme économique avec l’Europe

Le rapport du cabinet de consultants PricewaterhouseCooper (PwC), « China Deals : a fresh Perspective », publié fin octobre, est formel : pour la première fois l’an dernier, le montant des investissements chinois en Europe a dépassé avec 11 milliards d’euros celui réalisé par des entreprises européennes en Chine, de seulement 7 milliards d’euros. Les entreprises chinoises ont réalisé 32 investissements en Europe, contre 26 transactions réalisées en Chine par des entreprises européennes.

 

 

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A quel âge as t-on un enfant aujourd’hui ?

 Si beaucoup de paramètres entrent en compte lorsque l’on choisit le moment de mettre un enfant au monde, ceux-ci évoluent et varient selon les époques. Où en sommes nous aujourd’hui ? 

Le premier facteur à prendre en compte lorsque l’on cherche a savoir "l’âge moyen" du premier enfant conçu, est le niveau d’études. 

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C’est prouvé, l’obésité atteint davantage les enfants nés par césarienne!

Avant toute chose, qu’est-ce que la césarienne ? Et bien c’est une intervention chirurgicale permettant de sortir l’enfant de l’utérus en réalisant une incision au niveau de la paroi utérienne si l’accouchement par voie basse n’est pas possible.

 Si la césarienne est connue pour les complications qu’elle peut engendrer, bien que cette opération devient de plus en plus maîtrisée, avez-vous déjà entendu parler du risque accru pour l’enfant de devenir obèse? 

Pourtant c’est ce qu’une récente étude réalisée aux Etats-Unis sur plus de 1200 femmes et leurs bébés a tenté de prouver, et une seule conclusion en est ressortie : naître par césariene accentue le risque d’être obèse. Difficile à croire n’est-ce pas ? Comment une césarienne peut-elle augmenter ce risque alors qu’un accouchement par voie basse ne l’accentue pas?

D’après cette étude, le taux d’obésité chez les enfants de 3 ans nés par césarienne représentait plus de 15% tandis qu’il ne dépassait pas les 7,5% pour les enfants nés par voie basse. Le risque ici semble donc être multiplié par deux, cependant l’étude a également démontré que le risque pouvait être triplé chez les enfants ayant une mère qui était mince avant de tomber enceinte.

 Lors de cette expérience, l’âge de la mère, son niveau d’éducation, le sexe du bébé et son poids à la naissance sont des critères auxquels les scientifiques ont accordé de l’importance. La césarienne reste malgré tout un mécanisme dont on ne sait que peu de choses : quels facteurs lors de sa pratique amènent à augmenter le risque d’obésité? Les statistiques confirment que la césarienne demeure un risque d’obésité indépendant des autres critères pris en compte lors de l’étude, autrement dit, c’est elle seule qui serait amenée à multiplier ou tripler ce risque.

 Suite à la publication de ces résultats, mieux vaut être sûr que la césarienne n’est plus que le seul choix possible pour éviter les complications durant l’accouchement.