Devdas : Les histoires d’amour impossible sont toujours les plus belles

Il y a des histoires d’amour si belles qu’elles traversent le temps et touchent les personnes du monde entier. Je pense notamment à la romance impossible de Roméo et Juliette. Il y a eu des multitudes d’adaptations plus ou moins réussies mais Devdas, un film indien de 2002, a su renouveler le genre.

L’histoire est belle et touchante. Elle est parvenue à captiver le spectateur du début jusqu’à la fin et on en sort tout étourdi par cette avalanche de sentiments et de couleurs chatoyantes.

 

Devdas est un jeune homme de bonne famille. Depuis son plus jeune âge, il nourrit une profonde complicité avec la ravissante Parvati, sa voisine. Mais voilà, ils ne font pas partie de la même caste et ne peuvent donc pas s’unir. Pourtant, leur amour ne cesse de grandir au fil du temps. Mais l’opposition est si grande que Parvati finit par épouser un riche veuf par dépit. Pour Devdas, c’est le début d’une longue descente aux enfers. Il sombre dans la déchéance et l’alcoolisme.

Avec une telle vie de débauche, sa santé finit par en pâtir et le voilà bientôt à l’article de la mort. Reverra-t-il, une dernière fois, celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer ?

 

Devdas est un film romantique dans la pure tradition des longs-métrages de Bollywood. Ce qui veut dire qu’on aura droit à une multitude de scènes chantées et dansées. C’est joli et extrêmement coloré. Tout est dans la démesure et la beauté et on en prendra plein les mirettes.

Cette touchante histoire d’amour saura nous captiver et nous faire frémir à chaque instant. On s’attachera très rapidement aux principaux personnages et leur destin ne pourra que nous émouvoir.

 

Côté interprétation, nous retrouverons la sublime Aishwarya Rai dans le rôle de Parvati. Telle une déesse indienne, elle saura nous ensorceler par ses magnifiques yeux remplis d’amour et de tendresse.

Face à elle, Shahrukh Khan est Devdas, le jeune homme tourmenté par cet amour impossible. Touchant à souhaits, il nous offre une prestation à la hauteur de nos attentes.

 

Même si le film dure à peu près trois heures, nous ne verrons pas le temps passer. En effet, tous les ingrédients d’une grande saga romanesque sont réunis pour nous permettre de passer un merveilleux moment de dépaysement et de rêve éveillé.

Capucine n’est clairement pas Kate Middleton !

Avec le temps qui se rafraichit et le retour de la pluie sur notre beau pays, nous sommes d’humeur assez maussade. Dans ces conditions, rien de tel que de se plonger dans un bon petit roman frais et léger qui nous permettrait d’oublier, l’espace d’un bref instant, cette météo catastrophique.

Le roman "Tout le monde n’a pas le destin de Kate Middleton" possède toutes les qualités pour nous dérider. Même si le titre pourrait le faire penser, il ne faudra pas s’attendre à l’apparition de la jolie Kate Middleton. 

 

Dans les pages de ce roman, on fera la connaissance de Capucine Guillon qui a une vie des plus déprimantes. Elle élève seule ses trois enfants et doit faire face à ses nombreuses difficultés financières. Malgré le sujet tout tristounet, l’auteur Fred Baillard réussit à nous faire rire aux éclats face à des situations totalement cocasses et surprenantes.

La pauvre Capucine va en voir des vertes et des pas mûres durant les 300 pages qui nous attendent dans ce roman.

 

Il est clairement impossible de s’ennuyer durant la lecture de cette histoire légère et fort sympathique. C’est simple, il lui arrive toujours des crasses à cette pauvre quinquagénaire. A se demander si elle n’a pas été tout simplement maudite durant son enfance. Et pourtant, elle regorge d’idées mais aucune d’entre elles ne va l’aider à sortir la tête de l’eau.

La lecture devient de plus en plus jouissive au fur et à mesure que le chaos s’installera durablement dans l’existence de Capucine Guillon.

 

Ce genre de roman a été conçu pour nous faire passer un délicieux petit moment de détente. On aime ce genre d’histoire qui ne se prend pas au sérieux. Les personnages sont décalés et loufoques à souhaits.

C’est le genre de roman qui se lit d’une traite à n’importe quel moment de la journée. Si vous avez besoin d’une petite pincée de bonne humeur dans votre vie, alors venez faire la connaissance de Capucine Guillon.

Je suis persuadée qu’elle parviendra à vous rendre votre sourire.

 

J’écris pour exister (hommage à mon Pays Haïti)

 J’écris pour exister, me dévoiler, et affirmer ma vigilance étroite contre la renonciation des révolus.

J’écris dans le but de partager ma réalité, mon évolution personnelle, ce que je suis devenue par la force des choses, ce pour quoi je suis et demeure.

J’ai été, je suis, et je serai une femme avec ses principes, ses changements, tout ce qui m’a permis de prétendre à être meilleure grâce à mes choix de vie, et mes relations.

Après bien des périples dans mes comportements envers mes autres, je me suis découverte autrement par rapport à la considération pour moi-même que je gagnais avec le recul, les bonnes rencontres, et bien d’autres événements qui m’ont aidé à changer.

Depuis longtemps, je transcris mes peines par des mots que je traduis en poésies, en mélodies, et qui me révèlent à chaque lecture, à chaque écoute, mon évolution, ou ma régression.

Je suis celle que je veux, par mes termes et mes verbes, vulnérable et fragile, forte et parfois coupable de ce que je ne suis pas.

Je peux et je veux me défendre et m’acharner contre mes démons. Je peux et je veux prouver mes idées et faire face avec honneur au destin qui deviendra le mien.

Perdue dans les dédales de mon temps, je crie au secours presque en chantant, pour faire entendre le déchirement qui m’obsède de mon vivant.

J’évolue dans un cercle ignoré par ceux que je ne peux satisfaire, laissant au hasard le fruit de mes fureurs.

Partir pour découvrir, reconstruire, me chercher en quittant mon univers natal, ce fut longtemps le seul sens que je donnais à mon existence, sans avoir la chance que j’avais d’être ailleurs que dans la misère de mes origines.

Enfant, je vivais dans un monde imaginaire, accueillie par un ciel exotique dans un pays ravagé par l’incompréhension de ceux qui y vivent.

J’étais heureuse, auprès des miens et tout ce qui représente mon île Haïti en perpétuelle révolution.

Je me rappelle être née avec ce désir de connaître l’issue de mon sang, ce besoin d’accompagner les mots dans une représentation des traits et comportements de ceux qui m’ont donné la vie, avant de pouvoir me démontrer si longtemps après.

Liée à l’odeur d’une peau, la douceur d’un sourire, je me savais privilégiée d’être aimé si fort de par le monde.

Ma vie se succède entre ici et ailleurs, de mes origines aux alentours d’un destin défini par les souvenirs enfouis dans ma mémoire, et l’exigence de parvenir à l’harmonie dans mes joies.

Ces années sont parties et subsistent qu’au plus profond d’un regret, qui retient l’éternité de mon enfance.

Revenant de loin, je me défends contre l’oubli de mes racines, déterminées par toutes mes cultures.

Dans mon désir d’être, je savoure la détresse qui dénonce ma dévotion pour l’être humain.

Je veux embellir la vie et lui donner les plus purs éclats, même ceux que je n’éprouverai jamais. Je m’affirme dans ma jovialité quotidienne, acceptant la présence des autres, comme un bien-être qui me permet d’affronter toutes les déceptions.

Étant, je ne cherche plus à prouver ma sincérité, car prenant et apprenant de mes semblables, j’ai gardé ce qui me paraissait crucial, et ce que j’en tirerai au moment de le révéler à mon tour.

Par les pouvoirs de la vie, j’ai découvert les motifs de mes attentes, le naturel d’un futur porteur d grâce pour les chaînes qui retiennent les prisonniers d’un destin lugubre, enfermés dans un idéal perçu que par eux-mêmes.

 

Un destin qui semblait tout tracé

15 janvier 1622, ce jour là, un grand comédien naquit, Jean-Baptiste Poquelin, qui n’est autre que Molière.

Il semble avoir une existence toute tracée.

Il est l’aîné d’une grande famille de la bourgeoisie commerçante et le fils de Jean Poquelin, maître tapissier qui connaît son heure de gloire lorsqu’il acquiert en 1631 la charge de tapissier du Roi, titre honorifique qui lui aura valu notoriété et considération.

Un an plus tard, Jean-Baptiste Poquelin vit un drame familial, Marie Cressé, sa mère, décède et son père se remarie avec la fille d’un maître sellier.

Le jeune Poquelin, alors âgé de 13 ans, débute ses classes chez les jésuites où la logique voudrait que plus tard il succède à son père mais le destin joue et fait que pendant ses années de collège il rencontre de futurs grands écrivains tel que Chapelle et Cyrano de Bergerac et qu’il s’intéresse de près à la philosophie Epicurienne.

En 1637, son père lui délègue la charge de tapissier du Roi, mais d’autres préoccupations détournent son attention du commerce, il est passionné par le monde de la comédie et alors que son avenir est quasiment assuré, le futur Molière s’engage sur une voie incertaine qu’est le théatre et renonce de ce fait à sa succession en 1943 afin de fonder avec la famille Béjart la troupe de l’Illustre Théatre.

Molière est né.

Après maintes représentations, l’Illustre Théatre connaît échecs sur échecs, fait faillite et victime de prêts usuraires, il est emprisonné pour de nombreuses créances et en 1645, il quitte alors Paris.

En 1658 , Molière se sent accompli et réitère ses représentations sur Paris avec sa troupe et connaît enfin le succès escompté jusqu’au triomphe.

Dés lors, ses pièces que nous connaissons et qui le rendront célèbre, voient le jour : " L’école des femmes, le médecin malgé lui, Sganarelle, l’avare, le bourgeois gentilhomme, le misanthrope, les fourberies de Scapin, etc… "

En 1662, il épouse Armande Béjart.

Aprés un immense succès, dans la nuit du 17 février 1673, Jean-Baptiste Poquelin meurt à son domicile.

Renié par l’Eglise, comme d’ailleurs tous les comédiens durant cette époque, il fallut les faveurs du Roi Louis XIV pour que l’archevêque lui accorde un enterrement religieux au cimetière Saint Joseph.

 

    

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Whitney Houston, Amy winehouse ou l’enfer de la drogue

Non je ne vais pas faire une bio sur la diva du R&b. Je ne la connais pas vraiment, et à vrai dire, je m’en fous un peu. Whitney Houston est décédée cette nuit dans une chambre d’ hôtel. Les causes, encore inconnues, de la mort de la chanteuse qui avait tout pour réussir, ne laisse pas vraiment de doutes de toute façon. Soyons clair, Whitney Houston est morte il y a une quinzaine d’années, quand elle a rencontré le rappeur toxicomane et violent Bobby Brown.

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Charts : Le duo Enrique Iglesias &Nadiya sur la route du succès

Cette semaine, c’est encore le duo Enrique Iglesias et Nadiya qui arrive en tête des charts singles avec leur single « Tired of being sorry » qui s’est écoulé à 15.115 exemplaires cette semaine. En plus d’être toujours premier, le single se vend de plus en plus. On retrouve toujours en seconde position, Madonna et Justine Timberlake avec le single « 4 minutes » qui s’est vendu à 8.363 exemplaires. Pour finir ce top 3, on retrouve à la troisième place Zaho avec son premier single « C’est chelou ». La meilleure entrée de la semaine revient au DJ  Basshunter avec son single « Now you’re gone » qui se classe à la 6e position en écoulant 4.868 exemplaires. A la douzième position, on retrouve Chris Brow avec son single « With you » qui s’est vendu à 2.269 exemplaires. Pas de troisième numéro 1 pour Shéryfa Luna, son single « Ici et d’ailleurs » ne se classe que treizième soit 2.253 singles écoulés. 01 01 ENRIQUE IGLESIAS & NADIYA – TIRED OF BEING SORRY (LAISSE LE DESTIN L’EMPORTER)
02 02 MADONNA & J.TIMBERLAKE – 4 MINUTES
03 03 ZAHO – C’EST CHELOU
04 06 LAURENT WOLF – NO STRESS
05 05 DUFFY – MERCY
06 NE BASSHUNTER – NOW YOU’RE GONE
07 04 CH’TI DJ – HE, BILOUTE ! MONTE L’SON ! HEIN !
08 07 MARC ANTOINE – TANT BESOIN DE TOI
09 12 KAT DELUNA – RUN THE SHOW
10 08 HAPPY & FAX – MI CHUI CH’TI, ET TI ?
11 10 SOFIA ESSAIDI – FEMME D’AUJOURD’HUI
12 NE CHRIS BROWN – WITH YOU
13 NE SHERYFA LUNA – D’ICI ET D’AILLEURS
14 09 GREGORY LEMARCHAL – RESTONS AMIS
15 13 YELLE – JE VEUX TE VOIR
16 19 DEMON ONE – J’ETAIS COMME EUX
17 11 TOKIO HOTEL – HEILIG
18 14 M POKORA – DANGEROUS
19 15 CASCADA – WHAT HURTS THE MOST
20 23 PAULINE – ALLO LE MONDE
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Charts : Enrique Iglesias et Nadiya toujours n°1 du Top Single

Très peu de changement cette semaine dans le Top Single, rien ne bouge entre la première et la septième place. On retrouve toujours notre trio de tête, avec une première place pour le duo Enrique Iglesias et Nadiya qui pour la troisième semaine consécutives reste n°1. En seconde place, on retrouve toujours Madonna avec « 4 minutes ». Enfin, à la troisième place nous avons « Zaho » avec « C’est Chelou ». Côté entrée, on signalera l’arrivé à la huitième place de Happy & Fax avec le phénomène Ch’tis, avec leur single « Mi Chui Ch’ti, Et Ti ». A la neuvième place, on retrouve Grégory Lemarchal avec son troisième single, « Restons amis ». Enfin, le nouveau single de Tokio Hotel rentre à la 11e place. 01 01 Enrique Iglesias Feat. Nâdiya – Tired Of Being Sorry (Laisse Le Destin L’Emporter)
02 02 Madonna Feat. Justin Timberlake – 4 Minutes
03 03 Zaho – C’Est Chelou
04 04 Ch’ti DJ – Hé, Biloute ! Monte L’Son ! Hein !
05 05 Duffy – Mercy
06 06 Laurent Wolf Feat. Eric Carter – No Stress
07 07 Marc Antoine – Tant Besoin De Toi
08 NE Happy & Fax – Mi Chui Ch’ti, Et Ti ?
09 NE Grégory Lemarchal – Restons Amis
10 08 Cléopâtre / Sofia Essaïdi – Femme D’Aujourd’Hui
11 NE Tokio Hotel – Heilig
12 10 Kat DeLuna Feat. Busta Rhymes – Run The Show
13 09 Yelle – Je Veux Te Voir
14 11 M. Pokora Feat. Timbaland & Sebastian – Dangerous
15 13 Cascada – What Hurts The Most
16 14 Raphaël – Le Vent De L’Hiver
17 16 Leona Lewis – Bleeding Love
18 20 Yael Naim – New Soul
19 21 Demon One Feat. Soprano – J’Etais Comme Eux
20 12 Christophe Willem – Quelle Chance / September
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