Collection Assassin’s Creed Hachette : une figurine décevante

J’aime bien Assassin’s Creed et j’achète régulièrement les numéros 1 des collections à bas prix de chez Hachette et Altaya, car souvent on a des figurines sympathiques et plutôt jolies à un prix très abordable. Alors, quand j’ai su qu’Hachette faisait une collection Assassin’s Creed, j’ai bondi dessus ! Continuer la lecture de « Collection Assassin’s Creed Hachette : une figurine décevante »

Jeux Vidéo Magazine Junior et son Lego City exclusif

Le numéro d’avril-mai-juin de Jeux Vidéo Magazine Junior pourrait bien intéresser aussi bien les enfants que leurs parents. Venez vite découvrir pourquoi ! Continuer la lecture de « Jeux Vidéo Magazine Junior et son Lego City exclusif »

Collection One Piece : avis sur le numéro 1

Après les Schtroumpfs (voir http://www.come4news.com/la-guerre-des-figurines-commence-les-schtroumpfs-font-decouvrir-les-metiers-altaya-427090), c’est Luffy et sa bande de pirates qui obtient les faveurs d’une collection officielle chez le marchand de journaux. Editée prt Hachette et Toei Animation, on se dit que cette collection doit valoir le coup. Avis sur le numéro 1.

 

Inutile de le cacher : c’est surtout le petit prix de 1,50 € qui m’a fait craquer et pas les publicités qu’on voit souvent sur toutes les chaînes. Il faut préciser tout de suite que les figurines reprennent le design des personnages de la deuxième partie du manga, c’est-à-dire après les deux années d’entraînement intensif de tout l’équipage. D’ailleurs, on nous promet des figurines fidèles au manga, mais on ne peut qu’être déçu par l’aspect assez affreux de Luffy. Sourire bizarre, air hésitant entre lugubre et niais et mains affreuses n’en font pas une belle figurine. Pis encore, elle est mal finie : peinture peu soignée et traces sur le plastique (défaut de fabrication, je pense) en font un objet tout juste digne d’un Kinder surprise ! Il s’agit d’une simple figurine en plastique vulgaire, de dimensions 85x32x20 mm pour une masse de 11 g environ, vendue avec un socle transparent (42x20x15 – 3 g). Le socle oblige à écarter un peu les pieds de la figurines, ce qui a tendance à forcer dessus. Est-ce volontaire ou un défaut de conception ?

 

 

La déception de la figurine (banale et de basse qualité alors qu’on nous promet un objet de collection exceptionnel) passée, on se rabat sur le fascicule. Là encore, nouvelle déception : 7 pages dont 2 pour un poster (440×285 mm environ), certainement ce qu’on trouve de plus chouette dans ce numéro. En effet, à part 1 page concernant la figurine mais qui n’a pas beaucoup d’intérêt et 2 pages consacrées timidement à Luffy (et qui n’apprennent rien!), le fascicule est vide ! On est loin des fascicules de la collection des Schtroumpfs, qui ont un intérêt à la fois pédagogique et ludique.

 

Pour ceux qui voudraient vraiment posséder cette collection, on y trouve un bulletin d’abonnement alléchant : (voir http://www.hachette-collections.com/objets-de-collection/collection-one-piece-figurines/votre-numero-1-sa/?utm_source=google&utm_medium=cpc&utm_campaign=OnePiece_Adwords)

 

1 numéro offert concernant Portgas D Ace

9 cartes postales

1 mug

1 t-shirt

1 porte-clé

Le DVD l’Aventure Sans Issue

 

Le bulletin d’abonnement prévu dans le numéro 1 stipule que c’est le numéro 3 (Usopp et Chopper) qui est gratuit. On peut aussi commander des gradins transparents pouvant accueillir une vingtaine de figurines environ. Ces cadeaux sont assez tentants pour les fans, dommages que les figurines soient vraiment affreuses et d’une qualité très médiocre. Honnêtement, ce numéro 1 ne donne pas envie d’aller plus loin !

Collection Violetta : le numéro 1

Violetta, la star latino des petites filles et pré-adolescentes révélée par la série du même nom diffusée sur le Disney Channel, est un tel phénomène qu’elle a maintenant droit à sa collection chez le marchand de journaux. Pour 2,99€, on promet aux fillettes une plongée approfondie dans l’univers de leur idole, avec des cadeaux adaptés. Produit uniquement pour les fans ou arnaque ?

Tout d’abord, soulignons le respect de l’univers de la star : les codes qui plaisent aux gamines sont respectés, avec des couleurs pastels aux tons de roses, des poses douces et innocentes, des tenues à la mode et du maquillage certes un peu excessif mais pas vulgaire. Il faut donner une image de petite fille modèle ! Cependant, je trouve quand même certaines photos hideuses : Violetta est ses copines ont parfois des airs de monstres ou ne paraissent pas intelligentes pour un sou ! On tombe un peu dans l’excès avec des attitudes forcées, pas naturelles, qui les font passer pour des gamines surexcitées ! Rappelons que Martina Stoessel,  la comédienne qui assume le rôle de Violetta, est âgé de 17 ans.

Parlons un peu du contenu : pour 2,99€, les charmantes jeunes filles s’offrent un magnifique "charm" Violetta (en métal, masse inférieure à 10g) à accrocher sur le bracelet disponible dans le prochain numéro ou sur son portable ou tout autre endroit. Il y a aussi des planches de stickers, des pochoirs, des motifs à découper pour personnaliser ses affaires aux couleurs de leur série préférée.

A ce propos, si vous manquez de papier à découper ou de coloriages, vous pouvez utiliser les images à cette adresse :

http://mesgameclips.over-blog.com/2014/09/collection-violetta-le-numero-1.html

Mais ce n’est pas fini, comme dirait l’autre !

Pour les fans assidues, on trouve aussi un maxi poster de la star (dimensions 85×58 cm environ) ainsi qu’un poster plus petit des trois copines (dimensions 62×44 cm environ).

Pour en apprendre plus sur le style et le look de Violetta, on dispose de 2 coloriages donnant des conseils ou qui permettent de relooker l’idole des gamines. Faut-il vraiment se mettre en tête des histoires de maquillage quand on a 6-12 ans ?

Pour devenir incollable, un fascicule (édité par Hachette, quand même !) d’une vingtaine de pages avec des perforations pour les ranger dans un classeur permet d’en apprendre plus sur les épisodes et les personnages de la série, mais aussi d’apprendre les chansons et l’Espagnol ! Un petit côté pédagogique salutaire dans un univers édulcoré et niais à souhait. Petit problème du pack : sur l’immense support cartonné se trouve une image à découper, cependant les fascicules et autres objets présents dans le pack ont été collé dessus, ce qui l’abîme quand on essaie de les décoller même en prenant mille précautions ! Dommage!

N’oublions pas non plus l’habituel matraquage pour inciter les parents à abonner leurs enfants, astucieusement placé dans le fascicule afin que les gamines ne loupent aucun formulaire et cassent les pieds des adultes pour les faire céder !

Honnêtement, je n’ai rien contre la série, mais ce produit dérivé, quoi que bien fait pour faire craquer les fillettes, va les plonger un peu plus dans un monde idyllique loin de la réalité où le côté un peu superficiel prime. Il faudra ensuite du temps aux parents pour leur expliquer qu’il faut faire la différence entre leurs rêves et la réalité et qu’on peut aimer une série sans pour autant tomber dans l’excès. A part ça, c’est un produit qui ravira à coup sûr de nombreuses gamines !

Voir mes avis sur les autres collections :

Les montres militaires :
http://www.come4news.com/collections-montres-militaires-avis-sur-les-numeros-1-et-2-753906

les Schtroumpfs :
http://www.come4news.com/la-guerre-des-figurines-commence-les-schtroumpfs-font-decouvrir-les-metiers-altaya-427090

Collections Montres Militaires : avis sur les numéros 1 et 2

La collection des montres militaires (http://www.collection-montres-militaires.fr/index.asp) vient de sortir chez les marchands de journaux. Pour une fois que des collections intéressantes et utiles voient le jour, profitons-en pour tester un peu ce que cela vaut ! Ainsi, j’ai pu me procurer grâce à un ami qui s’est gentiment prêté au jeu, les deux premières montres de cette collection aux fascicules édités par Cobra.

Le numéro 1 (4,99 € chez le marchand de journaux) comprenait la montre US Army Guerre du Vietnam et le numéro 2 (9,99 €) la montre Luftwaffe Seconde Guerre Mondiale. Les photos sont disponibles à cette adresse : http://mesgameclips.over-blog.com/2014/08/avis-collection-montres-militaires.html.

Les montres sont toutes des reproductions fidèles (ce qui est difficile à vérifier) des montres militaires de chaque époque. Elles sont fabriquées en Chine pour Eaglemoss (http://www.eaglemoss.fr/), on peut donc avoir quelques doutes sur leur robustesse et leur qualité. Première bonne surprise : chaque montre est garantie 2 ans ! Elles sont, d’après le fascicule, résistantes à l’eau et possèdent un mouvement à quartz de précision.

Commençons par la première, la "field watch", montre réglementaire de l’US Army. Son aspect est simple, rudimentaire mais assez pratique. Son bracelet en sangle (synthétique) est assez agréable et ne démange pas. La montre tient bien au poignet. Au dos sont gravé l’année, le pays et la marque (pour chaque montre) comme ça, impossible de ne pas savoir d’où elle provient. Très peu bruyante (on ne l’entend qu’en la collant à l’oreille), elle est aussi luminescente : dans le noir, on voit très bien les aiguilles mais beaucoup moins les chiffres. Son poids de 40g et son diamètre de 4cm en font une montre légère et ni trop discrète, ni trop tape-à-l’oeil.

La montre du numéro 2 était portée par les aviateurs allemands. Plus grande, elle paraît vraiment imposante avec son cadran de 48 mm. D’ailleurs, le fascicule parle de 55 mm pour la montre originale : erreur ou volonté de la réduire pour diminuer les coûts ? Elle dispose d’un bracelet en cuir marron qui paraît un peu plus chic que celui de la première montre et se révèle beaucoup plus voyante ! Son poids est plus important aussi : 53g !
Egalement luminescente, elle se révèle beaucoup plus lisible dans le noir que la montre américaine mais s’avère également légèrement plus bruyante, sans déranger toutefois car il faut  l’avoir assez près de soi pour l’entendre.

Les fascicules se concentrent uniquement sur l’horlogerie et l’histoire de chaque montre avec des détails intéressants sur leur couleur, les matériaux utilisés etc, détails que je vous laisse découvrir dans chaque numéro. Un boîtier en carton de 26×6,5 cm est fourni dans chaque numéro, ce qui permet de ranger la montre quand on le désire.

Ne pouvant donner un avis sur la robustesse de ces produits, car il faudrait porter les montres tous les jours pendant plusieurs mois, on ne peut que parler de l’aspect esthétique. Chaque montre a ses charmes et ce n’est qu’une question de goût. En revanche, il ne faut pas s’attendre à des montres de luxe ! Petit souci avec la montre américaine : à peine réglée, la trotteuse s’est comme bloquée et il a fallu la remettre à l’heure pour la décoincer ! Mais pour le prix payé, on ne semble pas volé et cette collection est, pour l’instant, une très agréable surprise !

Si vous êtes intéressés par les montres militaires, abonnez-vous afin de payer les  numéros suivants moins chers que chez le marchand de journaux (14,99€ pièce).

La guerre des figurines commence : Les Schtroumpfs font découvrir les métiers (Altaya)

Outre le conflit au Moyen et au Proche Orient, qui a d’ailleurs tendance à se propager chez nous, une autre guerre vient de débuter, sur le plan économique cette fois : celle des figurines ! En effet, depuis le succès d’Activision avec les Skylanders, les enfants n’arrêtent pas d’être sollicités par les grandes marques pour s’arracher des figurines originales. Alors que l’on croyait se phénomène passager, il va aller en s’amplifiant jusqu’à Noël. Rappelons les sorties pas si lointaines de Skylanders Trap Team en octobre, de Disney Infinity 2.0 Marvel Super Heroes en décembre ainsi que les figurines Amiibo de Nintendo d’ici la fin de l’année : il y a vraiment de quoi faire et la bataille commerciale va être très intense. Pourtant, on oublie un outsider vient de sortir en ce mois d’août maussade et pourrait bien se faire une jolie place dans la chambre des enfants !

 

Après "Je collectionne les Schtroumpfs et je contruis leur village" (2004 – 207, 66 numéros, Hachette), c’est Altaya qui s’y colle avec "A la découverte des métiers !" avec les petits êtes bleus. Le numéro 1 est déjà sorti chez tous les marchands de journaux au prix de 2,99 €. Petite comparaison des premiers numéros de chaque collection.

 

Tout d’abord, un constat évident : les 2 collections débutent avec le grand Schtroumpf ! Apparemment, le doyen des petits lutins bleus est l’objet idéal pour attirer les clients ! Mais il y a quelques différences entre les 2 collections : chez Hachette, la figurine mesure environ 5 cm de haut, semble en résine (ou caoutchouc etc) et pèse 20 g environ. Chez Altaya (et De Agostini !), la figurine est plus grande : 7 cm de haut pour 30 g environ, accessoires compris. Elle est en PVC et, grosse nouveauté, est articulée : la tête et les bras bougent ! Vous pouvez trouver des photos des figurines ici :

http://mesgameclips.over-blog.com/2014/08/les-schtroumpfs-a-la-decouverte-des-metiers-altaya.html

Si j’aime bien le design des 2 figurines, ma préférence va à Hachette car il semble plus mignon (peut-être parce que plus petit !) et plus fidèle aux dessins de Peyo. En effet, on remarque que le grand Schtroumpf d’Altaya a une queue qui ressort un peu trop, au lieu d’être une sorte de gros bouton de porte bien rond ! On dirait plus une queue de hamster et cela fait un peu bizarre. Un détail, mais pour les fans, cela peut être important !

Remarquons aussi que le "petit" écureuil malade a un design rappelant fortement Spip, l’ami de Spirou et Fantasio, peut-être un clin d’oeil à la série sur laquelle Peyo a collaboré avec Franquin.

Passons aux différences : le numéro 1 était vendu 1,99 € chez Hachette contre 2,99 € chez Altaya. Bon, c’est vrai, c’était il y a 10 ans et les charges sont plus élevées maintenant !

En revanche le fascicule d’Altaya ressemble à un livret alors que chez Hachette c’était une sorte de magazine: je préfère ce qu’a fait Altaya, qui essaie de trouver le bon équilibre entre outil pédagogique et ludique. Pour les plus jeunes, je trouve cela assez intéressant.

Comparons maintenant le rythme de parution. Hachette avait quand même prévu une collection de 66 numéros mais avec une sortie bimensuelle. Altaya opte pour une sortie hebdomadaire. Comme d’habitude, le prix augmente au fil des numéros mais semble plafonner à 8,99 € chez Altaya alors qu’on dépassait rapidement les 10 € chez Hachette ! De plus, si on s’abonne rapidement, Altaya prévoit des remises intéressantes et des cadeaux ! Je vous laisse découvrir tout cela sur leur site officiel :

https://www.altaya.fr/public/microsites/schtroumpfs/suscripcion_microsite.html

Personnellement, même si le design semble un peu moins accrocheur que celui de la collection Hachette, en revanche j’aime assez l’idée de figurines articulées. Plus grosses, elles semblent plus adaptées à un jeune public, reste à savoir ce qu’il en est côté solidité !

Les maisons du village semblent aussi plus grandes et peuvent s’ouvrir en deux, offrant une aire de jeu plus importante que les minuscules maisons de la collection Hachette dans lesquelles les figurines tenaient à peine, sans parler du mobilier à monter qui ne tenait pas en place ! On espère un produit mieux fini cette fois et cela semble bien parti ! Une collection à surveiller de près !

Je n’ai malheureusement pas les moyens d’acheter les autres numéros pour continuer la comparaison et vous faire découvrir cette nouvelle collection prometteuse. J’espère néanmoins qu’il y aura de nombreux commentaires !

Exclusivité Micromania : Jade Flashwing (Skylanders Giants)

Découvrez Jade Flashwing, une figurine inédite pour les membres du club Skylanders.

La redoutable dragonne revient dans une version exclusive à collectionner d’urgence !

 

La petite histoire de cette figurine spéciale :

 

"Les véritables origines de Jade Flashwing sont un mystère. Mais elle est apparue pour la première fois quand Bash fit le vœu qu’il pourrait voler et vit une étoile filante au-dessus du ciel et de la vallée. Au cœur du cratère se trouvait une énorme et brillante géode, qui craqua soudainement pour révéler Jade Flashwing. Bash ne s’est peut-être pas envolé cette nuit, mais son cœur oui, car Jade Flashwing était magnifique et mortelle. Dès que bash s’approcha, le dragon bijou se tourna vers lui. Ne sachant pas s’il était un ami ou un ennemi, elle le lança de toutes ses forces avec sa queue au-dessus de la falaise. Peut-être que Bash a finalement volé ce jour-là…"

 

Jade Flashwing, lumière aveuglante !

 

Elément : terre

Points forts : Chance, Défense et Agilité

Pouvoirs de base : « éclats de cristal » et « tourbillon flamboyant »

 

Une exclusivité Micromania réservée aux membres du club Skylanders. Chaque figurine est vendue 9,99 €. En ce moment, il y a même des promotions : pour 2 figurines achetées, la 3e est offertes (même sur les figurines lumineuses). Une belle opération pour Micromania qui espère compenser ainsi la baisse des ventes de logiciels en raison du piratage et de l’essor des jeux en téléchargement légal.

 

Retrouver aussi la liste des Skylanders Giants et des Skylanders spéciaux ici :

http://gamingway.fr/liste-de-tous-les-skylanders-giants/

http://gamingway.fr/les-skylanders-speciaux/

Pour rappel, certaines figurines en édition limitée atteignent des prix très élevés, même d’occasion ! Les plus recherchées étant les figurines "legends", "gold" et "silver" (entre 100 et 500 € pour une figurine neuve).

Activision compte aussi sortir en fin d’année sa troisième "génération" de Skylanders avec des figurines en deux parties qu’on pourra recombiner à volonté. Les Skylanders seront aussi capables de voler. Une tentative louable pour contrer Disney Infinity (voir http://www.come4news.com/disney-infinity-enterre-les-skylanders-403183), qui sort cet été sur toutes les consoles et PC, et qui propose aussi des figurines à collectionner mais qui emmène le joueur bien plus loin en lui proposant de construire tout l’univers ! Activision espère donc maintenir l’engouement pour son jeu par des figurines en édition limitée qui sortent régulièrement. Cette stratégie va-t-elle payer ou finira-t-elle par lasser les joueurs, pris pour des vaches à lait ? Car les figurines en édition limitée n’apportent souvent rien au jeu : ce sont des figurines normales qui ont simplement des couleurs différentes dans le jeu. Pas de pouvoirs différents, pas de caractéristiques différentes, rien d’original donc.

 

Cette figurine est bien entendu compatible avec toutes les versions de Skylanders Giants : PC, PS3, XBOX 360, Wii, Wii U, 3DS. Elle ne fonctionne pas avec Skylanders Spyro’s Adventure.

 

Sortie : 3 juin 2013

 

http://www.micromania.fr/vente/rayon.php?titrerecherche=jade+flashwing

 

Source : Micromania

Magic, Pokémon puis Yu-Gi-Oh : les 3 jeux à connaître

Magic The Gathering (l’Assemblée)

 

Jeu de cartes créé en 1993 par Richard Garfield et édité par Wizard of the Coast, Magic fait office de référence ultime en matière de jeux de cartes à jouer et à collectionner. Les parties, de 2 à 6 joueurs, voient des « mages » s’affronter, les « decks » (paquets de cartes) représentant leurs pouvoirs magiques et leurs combattants.

Magic a connu le succès grâce à son univers d’heroic fantasy. Au-delà du jeu de cartes, il y a un véritable univers à la Warcraft ou le Seigneur des Anneaux. Le monde original a été dévasté par deux mages qui se sont combattus, et les morceaux de cet univers ont été séparés dans des mondes parallèles (les plans). Certains individus ont la capacité de voyager d’un univers à un autre : ont les appelle les Planewalkers. Malheureusement, chaque plan fait face à ses propres difficultés racontées dans les différentes extensions éditées très régulièrement. Chaque extension peut introduire de nouvelles règles ce qui fait que Magic est un jeu qui évolue sans arrêt.

On apprécie aussi Magic pour ses illustrations magnifiques et ses règles spéciales pour délirer (mais interdites en tournoi). Certains artistes sont même mondialement reconnus comme Aleksi Briclot qui sera d’ailleurs l’un des invités de Japan Expo cette année. Magic évolue aussi vers le numérique grâce à des jeux PC et consoles très bien faits.

 

Au début, la valeur des cartes pouvait atteindre des sommets et un véritable marché de l’occasion très rentable pour les petits malins a vu le jour. Pour contrer cela, Wizard of the Coast s’est mis à rééditer sans arrêt les cartes pour maintenir des prix bas sur le marché de l’occasion. Cette politique, visant aussi à augmenter le chiffre d’affaire, a fait fuir de nombreux joueurs. De part ses règles subtiles et complexes, Magic ne consiste pas uniquement à amener les points de vie de l’adversaire à 0, il y a d’autres façons de gagner, ce qui a séduit, au début, un public assez mature : les 20-35 ans. D’ailleurs, même actuellement, il y a des joueurs professionnels et des tournois partout dans le monde. Cependant, ce jeu semble en déclin, les 10-25 ans lui préférant maintenant Yu-Gi-Oh.

 

 

Pokémon

 

Face au succès du jeu vidéo sorti en 1996, un jeu de carte a rapidement été créé par Tsunekazu Ishihara, et exporté partout dans le monde dès 1999. D’abord édité par Wizard of the Coast, ce jeu est ensuite distribué par The Pokémon Company après la sortie de Pokémon Saphir et Rubis. Le jeu vidéo met simplement en scène les petites bêtes du jeu vidéo et permet au joueur de se prendre pour un dresseur pokémon.

 

Rencontrant un franc succès auprès des plus jeunes, les cartes n’ont presque aucune valeur sur le marché de l’occasion, les enfants n’ayant que quelques centimes en poche pour se les procurer. Il faut voir ce jeu de cartes comme une initiation au genre pour ensuite passer à des jeux plus complexes quand les bases sont maîtrisées. En revanche, le merchandizing autour de la licence est énorme et ce jeu de cartes doit maintenant faire face à un jeu de figurines à collectionner qui plaît aussi énormément.

 

 

Yu-Gi-Oh

 

En 1999, le jeu de cartes Yu-Gi-Oh voit le jour au Japon et rencontre un succès aussi important que Magic. En 2009, Konami récupère les droits et distribue depuis les cartes. Au début à destinations des adolescents, l’univers de Yu-Gi-Oh issu du manga a su séduire un public un peu plus âgé. Comme pour Magic, il y a de nombreux tournois partout dans le monde et maintenant, les 10-20 ans s’intéressent de plus en plus à ce jeu. Il existe bien plus de niveaux de rareté des cartes que dans Magic ce qui fait que, sur le marché de l’occasion, certains cartes prennent rapidement de la valeur. D’autant plus que la rareté d’une carte va de paire avec des effets visuels très spécifiques qui peuvent changer radicalement son aspect. Les nombreux jeux de la licence permettent aussi de récupérer des cartes spéciales, ce qui permet d’élargir le public. Le jeu de cartes a aussi été adapté sur consoles à plusieurs reprises. S’il y a bien un jeu de cartes à suivre en ce moment, c’est Yu-Gi-Oh !

Animal Crossing renoue avec le succès

Sorti en avril 2001 uniquement au Japon sur Nintendo 64, le jeu Dōbutsu no Mori (Animal Forest) a su conquérir un public sensible à la poésie du titre. Dans Animal Forest, pas d’ennemis à combattre ou de puzzle à résoudre. On vie juste paisiblement en essayant de collectionner le plus d’objets possibles au milieu d’animaux naïfs. Des graphismes simples pour un titre qui révolutionne la simulation de vie jusque-là uniquement représentée par les Sims. Devant ce succès assez imprévu, le titre a été porté sur Gamecube fin 2001.

 

Conscient du fort potentiel de son titre atypique, Nintendo le commercialise même en dehors du Japon en septembre 2002 aux Etats Unis sous le titre Animal Crossing. Les Américains découvrent un jeu synchronisé sur l’horloge interne de la console : le village s’adapte donc aux saisons et il est possible de fêter Noël ou Thanksgiving. La folie s’empare des joueurs qui s’échangent alors un tas d’objets. Il est même possible de créer soi-même certains motifs grâce à la connectivité Game Boy Advance ! Une sortie européenne était donc inévitable fin 2004 et le succès a également été au rendez-vous sur le vieux continent.

 

Un succès également dû à la présence de jeux NES entièrement jouables :

 

Autre clé du succès : les 72 chansons de Kéké à collectionner.

 

Entre-temps, la DS est devenu une console extrêmement populaire. Le titre a donc connu une suite sur ce support, Animal Crossing Wild World fin 2005 au Japon et en mars 2006 en Europe, et le succès a perduré.

 

La Wii était donc dans l’obligation d’avoir sa propre version du jeu. En décembre 2008 sort donc chez nous Animal Crossing Let’s Go to the City. Malheureusement, le jeu a été accusé d’être trop proche de son prédécesseur sur DS et l’échec du Wii Speak (micro vendu avec le jeu pour communiquer avec les joueurs du monde entier) ont contribué aux très mauvaises ventes du titre. On pense alors la série sur le déclin et incapable de renouer avec le succès.

 

Mais Nintendo n’abandonne pas et décide de se lancer dans le développement d’une version 3DS : Animal Crossing New Leaf. Cette version permet de communiquer via le micro de la console et inclut de nombreux changements qui en font le jeu le mieux noté de la série (39/40 selon Famitsu).

Sorti en novembre 2012 au Japon, son succès est fulgurant : il a déjà dépassé les 2 M d’exemplaires sans compter les ventes de jeux dématérialisés. C’est donc le jeu 3DS le plus vendu qui a permis à la 3DS d’exploser la concurrence pour Noël, comme le montre les chiffres de novembre :


http://gamingway.fr/meilleures-ventes-japon-novembre-2012/

 

Vivement la sortie européenne pour confirmer ce retour gagnant !

 

Source : Wikipédia

Karl Lagerfeld lancera prochainement sa collection de montres !

Les amateurs du style si particulier de Karl Lagerfeld vont être ravis d’apprendre que le créateur se lance dans la confection d’une collection de montre. 

 

Le talent de Monsieur Lagerfeld est incontestable, sa renommée n’est plus à faire, alors il a donc décidé de mettre à profit sa griffe dans l’accessoire indispensable, la montre. La collection sera présentée le 28 février 2013 à l’occasion de la Fashion Week à Paris. Quelques modèles viennent d’être dévoilés, et je dois avouer, même si je ne suis pas une grande fan de sa griffe qu’elles sont vraiment ravissantes ses montres ! Dans un style plutôt rock, elles sont faites d’acier inoxydable, de clous pyramidaux et de cuire métallisé. Outre ces couleurs brutes, Karl Lagerfeld a décidé de mettre en avant une variante de couleur, notamment en ce qui concerne les bracelets. Les tailles également pourront être plus ou moins importantes. Vous remarquerez certainement que Karl Lagerfeld a apposé son petit blason sur le côté de toutes ces montres ! 

 

Sa collection de montres sera disponible à la vente sur le net et dans de nombreuses boutiques en Europe, Asie et en Amérique du Nord. Concernant les tarifs, Karl Lagerfeld a, une fois n’est pas coutume, laissé une assez large flexibilité dans les prix. 

En effet, les montres seront vendues entre 149 euros et 599 euros pour les modèles les plus prestigieux. Ainsi, le directeur artistique de Chanel disait que l’on ne pouvait pas acheter le temps, mais que l’on pouvait acquérir une magnifique montre pour mesurer le temps sans dépenser une fortune.

 

 

La collection devrait simplement se nommer "Karl", un peu prétentieux mais bon n’est-ce pas le rendu qui est le plus important ? Et voilà, après une ligne de vêtement prestigieuse, le génie de la création se lance un nouveau défit, celui de séduire aussi dans le domaine de l’accessoire. Les prix appliqués étant "raisonnables", il est fort à parier que cette collection remporte le succès escompté. 

 

 

 

 

En attendant la Fashion Week qui se tiendra dans un peu plus de trois mois, contentons nous de ces quelques clichés dévoilés avant l’heure !