NICOLAS SARKOZY : Le vent de la colère, change de direction.
Rachida, il fut un temps où vous étiez la préférée de Nicolas.
Très proche de lui et de son ex-femme Cécilia, dont vous étiez l'amie,vous passiez même vos vacances, avec le clan Sarkozy.
C'est ainsi que Nicolas, a eu la très bonne idée de vous prendre dans son gouvernement. Dès le début vous avez réellement été sa "Chouchou".
Puis Nicolas, s’est éloigné de vous, vous l’insupportiez avec vos erreurs !!!
Vous êtes alors devenue celle, qu’il fallait à tout prix éloigner de la fonction de Garde des Sceaux. Mais aujourd’hui, alors que vous n’allez plus faire partie de ce gouvernement, dès le mois de juin 2009.
Nicolas se rapproche de vous et vous soutient à nouveau, et c’est ainsi qu’il nous dit, qu’il vous dit :
– "Le gouvernement, et j’en sais quelque chose, c’est fait de départs et de retours".
Pourtant, il a exercé une énorme pression sur vous pour qu'enfin, vous vous décidiez à quitter votre poste. Et malgré votre résistance, face à cette demande pressante, il a réussi à obtenir que vous vous présentiez, comme numéro deux, derrière Michel Barnier, aux élections Européennes.
Joyeux, il précise :
– "C’est le plus formidable tandem complémentaire, que la vie politique française ait connu, depuis longtemps". Il salue aussi, le fait de mettre à la tête de la première région de France, vous Rachida et vous Michel.
Il ajoute assez fier de cela :
– "Aucune autre formation politique, n’a osé jusqu’à présent le faire".
Mais sa joie est de courte durée. Et de nouveau, il prend la parole pour nous préciser quelque peu énervé :
– "Qu’est-ce que cette attitude, qui consisterait à dire que l’Europe, ce n’est pas ce qu’il y a de plus important pour l’avenir de notre continent".
Mine de rien et sans citer de nom, c'est vous qu'il vise Rama Yade. Puisque lorsque Nicolas vous l'a proposé, n’avez pas voulu vous présenter, à ces élections.
A votre intention, il précise :
– "Dans notre famille politique, j’ai plus de respect, d’amitié, de reconnaissance pour ceux qui conduisent le combat, que pour ceux qui suivent le combat des autres. Quand il faut gagner, on n’a pas besoin de suiveurs. On a besoin de gagneurs.
Et c'est ainsi, que le vent de la colère change de direction et se retourne contre vous, Rama Yade.
Oh!! Rama Yade, j'ai bien peur que vous n’ayez déclenché, la colère de Nicolas et qu’il vous voit vous aussi, sur un siège éjectable.
J’ai bien peur, que vous soyez tout comme Rachida l'a été, dorénavant en froid, avec notre Président et que la moindre erreur vous coûte très cher.
Ainsi, il considère que votre attitude en refusant sa proposition, n’était que "caprice" et "erreurs incompréhensibles".
Maintenant, Rama Yade, vous êtes dans la ligne de mire de Nicolas.
Décidément Nicolas, on ne peut pas dire que les femmes que vous aviez choisi avec soin, pour représenter la diversité et la parité dans votre gouvernement, vous aient apporté sérénité et joies.