Il n’y a aucune raison pour que ça change,
sous titre: on prend les mêmes et on recommence.
Nous sommes affublés d’une classe politique qui n’en peut mais…. au delà de tout nos rêves, pardon cauchemars les plus fous!
La pièce "le petit calife qui voulait être calife à la place du calife" se joue en France pour la dix millième représentation (plus que? vous êtes sûr? ah! bon!, trop tard je l’ai écris comme ça) et ceux qui croient découvrir quelque chose de nouveau se mettent le doigt dans l’oeil profondément. De doctrines nauséeuses, en proclamations la main sur le coeur avec tremolos dans la voix, de promesses qui ne riment plus à rien (sauf pour ceux qui y c….) de grandes décisions annoncées à grands renforts de …, et tout ça pour accoucher d’une souris, mille excuses ou plutôt d’un rond point giratoire pour renforcer la "sécurité" des braves citoyens (que sont donc les autres?) en oubliant de communiquer sur le principal intérêt de cette réalisation: les sommes versées à "qui de droit" pour ses bonnes oeuvres! de qui de moque-t-on ? Les armées pléthoriques de fonctionnaires dont même certains ne sont pas "nantis" (peut-être parce qu’ils ne sont là que pour donner de l’importance au "chef" et de leurs mécontentements soigneusement "entretenus" ressort des bataillons formant la colonne vertébrale du "pauvre-peuple-de-gauche-idiots-utiles" auquel on rajoute des émigrés jurant leurs grands dieux (vous savez lesquels) qu’ils leur sont éternellement reconnaissants pour l’heure qui suit et surtout pas au delà, prêt à les assassiner si certains ordres sont données?
Et pendant ce temps là, la saignée fait son oeuvre, le malade mourra guéri grâce à ces médecins-économo-politico-je-sais-tout fidèles suppôts de Marx et Cie.
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