Législatives : on a vraiment voté comme des c…

Une seule triangulaire (LRM-LR-FN dans la 1e de l’Aube) et même un candidat (Hayek, 5e Paris) n’ayant recueilli aucune voix. Désolé, mais « on » (vouzôtres) a vraiment voté comme des c…

Je me souviens d’avoir fait (ailleurs qu’ici) une projection « fondée » (projection, mon fondement, aurait dit Zazie du Stif) sur la participation aux présidentielles : ma boule de cristal me renvoyait quelques rares quadrangulaires et des triangulaires en veux-tu, en voilà. De quoi envisager un second tour des législatives palpitant et bla-blatant à l’envie sur les chances et malchances de telle ou tel. Petite consolation, mais alors toute petite, j’avais aussi supputé que Marie Sara, DVD investie par La République en marche avec pour suppléante l’ex-candidate PS, Katy Guyot, ravirait son siège à Gilbert Collard (FN) dans la deuxième du Gard. Elle se place seconde, talonnant (écart de 0,13 %, 48 voix) le sortant. Si les trois, oui, trois, candidats et candidate écologistes ne sont pas trop anti-corrida, Marie Sara a quelques bons espoirs de l’emporter au soir dominical sur l’araignée Collard et de me préserver du ridicule. S… de compatriotes qui priveraient l’écrivaillon écrivore, maniaco-expressif et marathonien-claviste, d’occasions de multiplier les chroniques électoro (bravo) sportives.

Pêche à la ligne, piège à touches

L’abstention, inouïe à ce niveau (pour des législatives, aux cantonales, il faudrait vérifier), bloque les touches du clavier. Enfin, du mien. Pas totalement, il est vrai. Mais c’est à peine si je peux me rabattre sur le score d’Alexandre Hayek dans la cinquième lutécienne. 0 % – peu original, il en est d’autres, ailleurs – mais avec zéro voix, même pas la sienne. Reportera-t-il son absence de voix sur Benjamin Griveaux (LRM) ou la sortante Seybah Dagoma (PS) ? Dans cette circonscription, le taux d’abstention a été de 41,32 %, privant l’écolo Julien Bayou, soutenu par Gaspard Delanoë (0 % dans la 16e, à 8,60 % d’écart avec J.-C. Cambadélis qu’il défiait, mais très populaire dans le 10e arrondissement), d’une place au second tour… Imaginez un peu que la participation ait permis une triangulaire. Pour éviter l’hégémonique République en marche, sans trop désavouer la sortante PS n’ayant pas démérité, le trublion Bayou, troisième seulement d’une encolure, arrivait dans un fauteuil au palais Bourbon. Là, oui, on pouvait parler de renouveau. Sans la moindre animosité personnelle (aucun parent, même à la mode de Bretagne, aucun ami ou aucune connaissance parmi elles et eux) à l’encontre des Républicains promeneurs – voire badauds – de LRM, j’espère bien que « vous » (bande de p’tits inconséquents) allez vous reprendre et déjouer les pronostics. En allant voter au second tour et rogner au moins la crète de la vague déferlante. Allez les « bobos » et « la bourgeoisie traditionnelle de droite », tous « à vomir » selon Henri Guaino (sur BFM), et toutes et tous les autres, ressaisissez-vous, et laissez-moi une chance (telle la blonde du concours de blondes) de saisir à en abondance une bombance d’anecdotes électorales insolites. Comment espérer allitérer à foutraque foison avec pareille abstention ?

Après le capitaine de pédalo…

Déjà marre du Macron allant voter en vélo au Touquet après, tel un Fillon inaugurant un TGV, avoir emprunté Falcon et hélicoptère pour s’offrir une photo opportunity. Macron, Fillon, même signature carbone (avec feuilles homonymes sur le rouleau de ma vieille Azertyuiop Royal portative « fabriquée sous contrôle des troupes alliées en Allemagne occupée » pour copier des tracts à distribuer dimanche prochain). Abstentionnistes, résistez, prouvez qu’autrement vous pouvez exister ! Josiane (Balasko), toi qui soutenais le candidat communiste, reviens voter près du Splendid pour la Seybah… Le Griveaux n’est même pas grivois. En sus, la bande à Macron veut priver les gazettes de potins et ne nous bassiner que de commentaires sur les projets de loi. De quoi favoriser encore l’abstention… Josiane, avec tes copines, fais de Paris un Macao-sur-Seine et que bouillonne le sang écarlate d’un électorat résolu au reflux du tsunami héliporté ! Sois la Déroulède vengeresse désillusionnant le cycliste d’occasion et sa petite reine. On n’a pas dégagé un Sarko à vélo en couverture de Paris-Match pour y retrouver une Brigitte à bicyclette se la jouant Carla sur selle sauce normande. Le choix est simple : Lassalle (Jean) ou la selle. Éconduire et reconduire (la sortante parisienne et le Béarnais, entre autres). Votants contre volant (en Falcon), tel est l’enjeu de la seconde boucle législative.

Prévention : Ouf, pas de fondation Trierweiler

Valérie Trierweiler se rend sans doute en Afrique pour s’intéresser à des projets de l’Onu ou de diverses ONG s’intéressant aux problèmes des Africaines, mais, ouf, elle se dispense de créer et populariser sa propre fondation. Et la mise en lumière des dessous de la Fondation Carla Bruni risque de la faire réfléchir au moins deux fois avant de prendre une telle initiative. Au fait, qui finance vraiment cette fameuse fondation, et les fonds ne vont-ils pas davantage aux amis et affidés qu’aux bénéficiaires des actions popularisées ?

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Carla Bruni, Nicolas Sarkozy et l’Affaire Bettencourt !

C’était le nirvana pour Nicolas : des conférences que l’on s’arrachait des quatre coins du monde, à coups de plusieurs dizaines de milliers d’euros ; des Français qui d’un pied ferme attendaient son retour, sondage Ifop à l’appui ; une bien-aimée qui chantonnait de sa voix sucrée les mérites de son Raymond chéri, etc. 

Et à lui, de pavoiser jouant avec force subtilité de l’emprise incommensurable qu’il exerçait sur le cœur de ses partisans ! Devenu denrée rare, il se riait de nous soufflant après de longues absences, le chaud puis le froid : reviendra, ne reviendra pas ? Puis bien embusqué, ce savant dosage d’allers retours nous le rendait encore plus attractif : parfois muni du bâton et de la carotte,  les yeux ronds, il se dérangeait juste pour calmer le jeu infernal du chat et de la souris auquel, sans retenue aucune, François et Jean-François s‘étaient livrés en public. 

Pendant ce temps, conquis par tant de sagesse, nombreux parmi ses adeptes, s’interrogeaient à leurs heures perdues sur l’intensité de l’amour qu’il portait pour la France : un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ou pas du tout ? Puis enfin la réponse nous vint des journalistes : Sarkozy leur a déclaré sa passion implacable pour la France, l’abnégation qu’il serait prêt à lui vouer pour lui dégager la tête de l’eau et tout cela, malgré son zéro envie pour le pouvoir ! A croire qu’il y aurait une pénurie de cerveaux dans ce si grand pays ! Que plus personne d’autre que lui n’aurait la tête de l’emploi au sein de l’UMP ! 

Et pile poil,  au moment où empli à craquer de cette vanité que la terre toute entière ne parvenait plus à le contenir, survient un gros pavé qui atterrit dans la mare de Nicolas. Une mise en examen pas pour n’importe quel motif mais pour celui d’abus de faiblesse au dépens de Liliane Bettencourt. Le hold up d’une milliardaire ne devrait peut-être pas pour autant poser de gros problèmes de conscience, surtout quand il est réalisé non à des fins de profits personnels mais pour le financement d’une campagne présidentielle, qui plus est, une solution pour le redressement du pays ; par rapport à l’inculpé, le déni du délit en deviendrait presque logique, naturel. 

Pour le moment, c’est la présomption d’innocence qui prévaut : les preuves faisant défaut, un bras de fer s’est engagé entre Thierry Herzog et Jean-Michel Gentil. Nicolas Sarkozy a promis que les choses n’en resteront pas là, c’est dire s’il ne remuera pas ciel et terre pour obtenir la nullité de cette sinistre séquence judiciaire avant d’envisager de retourner à l’Elysée. 

Sans correspondre à des représailles venant pénaliser le " pingouin" , Carla doit culpabiliser devant cette tempête qui a succédé à son album, par simple hasard de calendrier ; alors elle se défend cahin caha de ce qu’on lui reproche : il parait que l’alcidé « n ‘est qu’une métaphore qui cible non une, mais des milliers de personnes désagréables ».  

Une affaire comme tant d’autres, un peu comme l‘affaire Cahuzac. Quand un ministre du Budget fait l‘inverse de ce qu‘il prône, quand un gardien  devient prédateur, la confiance est battue en brèche, puis le jeu perdu. Même blanchi, Nicolas Sarkozy, apparemment « serein » jusque là, gardera sans doute des séquelles de l‘affaire Bettencourt. Comme de celle du guide libyen d’ailleurs, autre généreux contributeur de sa campagne qui lui, a emporté au passage tous les secrets qui les unissaient, datant de l‘époque où il était encore fréquentable… 

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Carla Bruni et le «pingouin»

 


La chanteuse et ancienne Première dame Carla Bruni s’en prend elle à François Hollande, le successeur de son mari Nicolas Sarkozy à la présidence en France.

Ce matin, sur les ondes de sa radio, RTL a publié des extraits d’une chanson du prochain album de Carla Bruni-Sarkozy, qui sera rendu public le  1e avril.

Elle qualifie de «pingouin» solitaire, sans manières ni personnalité, et selon la presse ce serais pour François Hollande.

Voila quelques extrait: "Une chanson sur les malappris"

«Il prend son petit air souverain mais je le connais, moi, le pingouin n’a pas de manière de châtelain. Eh, le pingouin, si un jour tu recroises mon chemin, je t’apprendrai, le pingouin, je t’apprendrai à me faire le baise main… Ni laid ni beau, le pingouin, ni haut ni bas, ni froid ni chaud, le pingouin, ni oui ni non… Tiens le pingouin t’as l’air tout seul dans ton jardin, selon ces paroles qui semblent viser François Hollande.

Les médias français jugeaient vendredi que cette chanson rappelait la passation de pouvoir, le 15 mai 2012, à l’Elysée entre Nicolas Sarkozy et François Hollande.

"C’est une chanson sur les malappris, ces gens désagréables, qui restent mystérieux pour moi. Quand on me parle mal, comme je suis à la fois courtoise et timide, je reste interdite. La courtoisie est une grâce, je ne trouve pas d’excuse à ceux qui n’en ont pas. Certains pensent que je parle des journalistes : c’est faux.", explique Carla Bruni Au Nouvel Obs.

Le nouvel album de Carla Bruni-Sarkozy, «Little French Songs», publié par Barclay, filiale d’Universal est attendu le 1er avril.

Le chef de file des députés de droite Christian Jacob, proche de Nicolas Sarkozy, a jugé vendredi que la chanson était un «raccourci un peu rapide», tout en concédant que «les rimes sont jolies et la chanson est bien écrite».

Un proche de Carla Bruni dément.

Vendredi, un proche de l’ex-première dame a démenti que la chanson parlait de François Hollande. "J’ai parlé avec Carla et j’ai cru comprendre qu’il ne s’agissait pas forcément du président François Hollande", a affirmé cet ami à l’AFP.  A qui serait destiné le texte écrit par l’épouse de l’ancien de chef de l’Etat? "C’est impossible à dire. A chacun son pingouin! On a tous un pingouin dans sa famille", a ajouté la même source. 

«Little french songs», du nom de l’un des titres où l’ancienne mannequin rend hommage à tous les grands auteurs compositeurs français, sera le quatrième album de la chanteuse et ex-mannequin, âgée de 45 ans.

La dernière chanson de Carla Bruni-Sarkozy : Quand Hollande est assimilé à un pingouin

 Une dernière polémique fait rage depuis ce matin sur la scène politique et people : la prochaine chanson de Carla Bruni-Sarkozy traiterait de manière détournée de François Hollande. Ce dernier serait assimilé à un pingouin, manquerait des rudiments les plus élémentaires de bonnes manières et prendrait en toutes circonstances les grands airs.

On aura affublé le président de la République actuel de bon nombre de sobriquets allant du flanby au pingouin maintenant. Je préfère préciser que tout cela me fait doucement rire et je suis consterné de voir les réactions offusquées et indignées de notre chère classe politique actuelle alors que cette dernière ne se gênait pas pour fustiger et mettre au pilori Nicolas Sarkozy quand ce dernier était encore au pouvoir. Il s’agit simplement d’un juste retour des choses.

Quand on se permet de critiquer, il faut savoir s’attendre à l’être en retour. Pour ma part, je dois dire qu’au vu de la remarquable prestation de François Hollande à la tête de l’état depuis maintenant presque un an et de sa bande de bras cassés, je dois reconnaître que Flanby, sobriquet attribué en raison de son côté mou et inactif me parait tout à fait pertinent et plus que jamais d’actualité.  

Il est clair que depuis ces dernières années, la scène politique n’a jamais été aussi violente et l’opposition d’idées a peu à peu laissé place à une lutte de personnes où tous les coups bas sont autorisés. Il en découle une image absolument déplorable de la politique en général et des hommes et femmes politiques en particulier.

Si seulement toute la créativité dont font preuve les politiciens pour se critiquer et s’entre-tuer pouvait être employé à sauver la France du désastre dans lequel elle se trouve depuis maintenant de trop nombreuses années.

On a souvent critiqué Nicolas Sarkozy pour sa petite taille, pour son hyper activité, pour ses tics physiques. Mais que devrait-on dire de François Hollande ? Guère plus grand que son prédécesseur, ayant tendance à paraître quasi systématiquement ridicule lorsqu’il est à côté d’autres chefs d’état, ayant tendance à porter la cravate de travers, on ne peut objectivement pas dire que c’est le charisme et la classe naturel qui caractérise notre président.

Je dois donc reconnaître que l’image de ce cher Hollande offert par l’ex-première dame a une certaine pertinence. Je ne doute pas une seule seconde que les boucliers vont se lever pour critiquer une atteinte à l’image indestructible du chef de l’état.

Les personnes normales sont quelque fois sujets aux critiques, justifiées ou non. Il faudra donc apprendre à ce cher président normal qu’il faut savoir accepter de connaître le désamour et les critiques les plus acerbes. Apparemment, il n’aime pas trop cela comme en atteste le traitement plus que vigoureux d’un syndicaliste lors de sa visite de Hollande à Dijon qui s’était juste contenté d’apostropher ce dernier sur l’absence des changements qu’il avait promis.

C’est ce qui s’appelle ne pas supporter la critique. Au vu de ce qui se passe ces derniers temps et à quel point le gouvernement casse la France (selon les termes employés par le journal Le Point), je suis sûr que l’on a pas fini d’entendre du mal de Flamby.  

FRANÇOIS HOLLANDE : LE PINGOUIN DE CARLA BRUNI

 

 

 

« Little French Songs », le nouvel album de Carla Bruni fait le buzz ce matin, sur les radios, et  sur Internet.

Mais non, ce n’est pas le filet de voix  de l’épouse de Nicolas Sarkozy qui séduit les spécialistes de la variété française, ce 15 mars 2013.

Le Pingouin, un texte parmi les autres dans l’album, est suffisamment descriptif pour alerter, les journalistes de tous bords, qui s’accordent à dire que ce Pingouin ne serait autre que notre Président, François le Normal.

La vengeance  est un plat qui se mange….en musique !

Souvenez vous, le 15 mars dernier, Nicolas Sarkozy quitte le Palais de l’Élysée, avec son épouse.

Sur le perron, comme il est d’usage, François Hollande  serre la main de son prédécesseur, et, première « impolitesse », ne raccompagne pas le « battu » jusqu’à sa limousine.

 Perché quelques secondes sur la plus haute marche du Palais, le voilà qui tourne le dos au couple « déchu ».

Mais là où le bât blesse, c’est quand, comme tout bon gentilhomme, stylé, il oublie de baiser  la main de l’épouse de son prédécesseur.

Qu’à cela ne tienne, Carla ne l’oublie pas, et le pingouin  qu’elle décrit dans cette chansonnette ressemble au Président de la République comme deux gouttes d’eau.

Sacré François, hier il enfilait la soutane du Pape, aujourd’hui, il enfile le costume du pingouin.

La vidéo de la chanson n’étant pas encore sur Youtube je vous donne un extrait bien ciblé de la « vengeance d’une « Brune ».

"Monsieur ni oui ni non"

« Ni laid ni beau, le pingouin, ni haut ni bas, ni froid ni chaud, le pingouin

"Il prend son petit air souverain, mais j’le connais moi, l’pingouin, n’a pas de manière de châtelain… Hé le pingouin, si un jour tu recroises mon chemin, je t’apprendrai, le pingouin, je t’apprendrai à me faire le baise main »

Carlita se justifie :

"C’est une chanson sur les malappris, ces gens désagréables, qui restent mystérieux pour moi. Quand on me parle mal, comme je suis à la fois courtoise et timide, je reste interdite. La courtoisie est une grâce, je ne trouve pas d’excuse à ceux qui n’en ont pas.

Certains pensent que je parle des journalistes : c’est faux. ».

 Du « pain béni » pour la  « Favorite », jalouse, possessive, qui, sous peu serait bien capable d’entamer une procédure pour que la chanson soit retirée de l’album.

Source : Alba Ventura sur RTL ce matin

Vidéo : Eh non, pas encore de vidéo de la chanson, alors, souvenirs, souvenirs… mais  tendez l’oreille, la dame, ancienne jurée de The Voice, est toujours aussi peu audible.

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Mali : la seule vraie raison de l’intervention

Du NPA à la droite de la droite de l’UMP, on affute les éléments de langage pour mettre en doute le présumé bien fondé de l’intervention française au Mali. Alors qu’il n’en est qu’un qui vaille, primordial, essentiel, décisif, et qui explique pourquoi Rachida Dati apporte un soutien inconditionnel au chef des Armées françaises : la prise par les parachutistes et les forces spéciales du hammam du Kasbah Hotel de Tombouctou. Une exclusivité Come4News !

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Un gênant, 2 éméchés, une cloche !

Il y a foule au Saloon de l’UDI. Alors qu’à droite, l’armitas cache la misère des urnes, les bovins défèquent leurs bouses dans la plaine qui sature.

Au chant des sirènes qui se voyaient déjà roi, Borloo trinque son bon vin devant un certain Nicolas, l’éperon planté dans la potence de son parti, abattu à coups d’ego et de duperie, pour une poignée de conn… dollars !

Une parodie du film UN GENIE, DEUX ASSOCIES, UNE CLOCHE !

photomontage signé ©SB LE SNIPER (Ma page Facebook & mon Twitter)

Pulvar-Montebourg préfigure le couple Fillon-Copé ?

Je ne sais si c’est déjà partout sur la Toile, mais pour mon compte, je l’ai vu sur le site du Parisien-Aujourd’hui en France : « Audrey Pulvar-Arnaud Montebourg, c’est fini ». Cela ne vaut pas Sarko et sa Cécilia, mais le jour ou Fillon et Copé se chamaillent, c’est bien la nouvelle politique majeure ! Pour faire de l’ombre à l’UMP et tirer la couverture à soi ?

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