Impossible depuis quelques jours d’ignorer le décès de Steve Jobs, le créateur d’Apple. Difficile aussi de ne pas remarquer le logo qui, pour l’occasion, a fait le buzz sur Internet. Une belle façon de rendre un dernier hommage à cet homme parfois très critiqué. Quand on regarde les nombreux témoignages sur la toile, on ne peut s’empêcher d’être surpris par le buzz qu’a provoqué son décès .
Un génie, un visionnaire, un homme de talent, un artiste, sont autant de qualificatifs destinés à présenter la personnalité de cet homme hors du commun. C’est vrai qu’on ne peut qu’admirer son parcours exemplaire. De ses débuts dans le garage de ses parents jusqu’à la création d’Apple, il a réalisé le rêve américain tel qu’on l’imagine encore aujourd’hui.
Certains cependant trouvent exagéré cet engouement et cette ferveur accordés à un homme qui a été, sans doute avant tout, un excellent business man. Il a su révolutionner le design du modèle informatique traditionnel sobre et austère. Mais il a prouvé également sa capacité à surfer sur la vague des nouvelles technologies en proposant des innovations qui nous sont désormais devenues indispensables.
Les hommages rendus à Steve Jobs, nous l’avons vu, sont nombreux. Les graphistes n’ont pas été en reste et ont apporté, à leur manière, des témoignages émouvants. C’est le cas notamment de ce jeune graphiste hongkongais de 19 ans qui nous offre une version graphique de la pomme très attachante. Cette dernière, qui porte le deuil, laisse apparaître le profil de son concepteur Sobre et efficace c’est un bon support de communication.
De son côté, Google qui a également l’habitude de jouer habilement avec les logos en s’inspirant de l’actualité, n’a pas rompu avec la tradition. Et c’est également avec beaucoup de sobriété que le moteur de recherche a rendu hommage à Steve Jobs en indiquant simplement 1955 – 2011, les dates de naissance et de décès du créateur, proposant même un lien vers le site officiel d’Apple. Au milieu des nombreux articles et commentaires, parfois dithyrambiques, ou critiques, restent ces images qui, avec une saine pudeur soulignent l’ultime épisode d’une aventure. Alors qu’ajouter de plus ?