Aujourd’hui, les grands crus atteignent des prix records. Pas étonnant que certains investisseurs se lancent dans l’aventure du vin. Pas le gros rouge qui tache, celui qui rapporte !
Plus que jamais, le vin a la cote, surtout le rouge. Les chiffres parlent d’eux-mêmes:
les Bordeaux ont gagné plus de 27%, les côtes du Rhône de 24% et les Bourgognes de 11%.
Il faut savoir que le volume d’échanges mondiaux frise avec les 92 millions d’hectolitre. Soit une hausse d’environ 6,7%, d’après le Directeur Général de l’office du vin.
Les plus prisé sont les primeurs, c’est à dire quand le vin est encore dans les chais, juste avant sa mise en bouteille. Cette opération se fait tous les ans, la première semaine d’avril. C’est d’ailleurs à cette période que les viticulteurs fixent le potentiel et, bien sûr, le prix auquel ils pourront le vendre.
Une belle aubaine pour les professionnels du vin car, après une période creuse due à la crise mondiale, la spéculation sur les vins redémarrent sur les chapeaux de roue ! Les plus recherchés sont les grands crus Bordelais, comme souvent !
En attendant, les tarifs gonflent, et les taux de croissance ont de quoi faire saliver les traders les plus affutés.
Une chose est évidente: l’investissement dans le vin est une bonne affaire avec une garantie de rentabilité… à condition toutefois d’avoir de bons moyens financiers.
Mais surtout, il faut avoir le nez fin et ne pas se tromper !
Pour conclure, n’oubliez pas qu’il faut boire avec modération. Le vin, le bon vin, est un plaisir à boire et à partager, pas un prétexte à s’enivrer.
A bon entendeur, salut !