SOUEF livre « Les grands défis de la politique étrangère des Comores »

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A une période charnière de l’histoire des Comores marquée par des tensions sur les relations entre la France et les Comores au sujet de la départementalisation de l’île de Mayotte, l’ancien ministre des Affaires Etrangères des Comores publie un livre intitulé « Les grands défis de la politique étrangère des Comores »
L’ancien Ministre des Relations Extérieures de l'Union des Comores, Souef Mohamed El-Amine vient de publier un nouveau livre aux Editions de La Lune, dans lequel il retrace avec beaucoup de franchises les grandes lignes de la politique étrangère des Comores. Dans cet ouvrage, SOUEF El-Amine semble être libéré du poids des fonction et d’une certaine réserve liées aux fonctions qu’il a eu à occuper par le passé.


Il évoque, d’abord, le cas précis de la question de Mayotte qui constitue, pour l’auteur, le premier axe fondamental de la politique étrangère des Comores. Il aborde cette problématique d’un point de vue historique, politique et juridique et met en exergue les contradictions autour du dossier, aussi bien de la part des autorités françaises que comorienne, tout en dégageant des perspectives sans raccourcis ni caricatures. A un moment où les Comoriens réconfortés par le droit international par rapport à la question de Mayotte, l’auteur s’appuyant sur des faits historiques et scientifiques reprend avec plus d’audace une thèse du président Ahmed Abdallah Abdérémane qui revendique au profit des Comores un nombre d’îles et d’îlots au pourtour de l’archipel des Comores, en l’occurrence, les Glorieuses, les bancs de Geyser et Liven qui doivent réintégrer leur giron naturel.

Dans cet ordre d’idées, il évoque la possibilité de redéfinir les grands axes de la politique étrangère en incluant, notamment, la question de la délimitation des frontières maritimes du pays avec les pays riverains qui sont Madagascar, les Seychelles, la Tanzanie, le Mozambique et la France du côté des îles Eparses.

L’ouvrage a aussi pris en compte un certain nombre d’enjeux  de  géopolitique qui préoccupent les petits Etats insulaires à dimension des Comores. Il s’agit des question de sécurité et terrorisme dans l’espace indianocéanique, de développement durable et d’environnement mais aussi de rentabilisation de la position stratégique du pays ou du rehaussement de l’image des Comores ternie par les soubresauts politiques et l’intrusion des mercenaires. Il a aussi parlé de la coopération internationale avec beaucoup d’insistance sur les relations bilatérales, souvent tumultueuses entre Moroni et Paris, le rôle et le poids de la diaspora, la globalisation des échanges, l’irruption de la société civile dans le jeu politique et les défis économiques et politiques auxquels le pays se trouve confronté.

Dans cet ouvrage, l’auteur analyse globalement cet ensemble d’enjeux de politique étrangère, lié en partie à la mondialisation. Si les Comores en mouvement est un livre dans lequel, Souef a parlé en partie de la politique nationale, de son expérience pour avoir travaillé avec cinq chefs d’Etats et du populisme du président Sambi, les grands défis de la politique étrangère des Comores est un livre de géopolitique consacré uniquement à l’action diplomatique d’un pays qui fait l’objet d’

une attention particulière et de convoitise de par sa position stratégique.

Le livre a été présenté au Scribe de l’Harmattan à Paris, à l’occasion d’un café littéraire organisé par les Editions de La Lune, le 28 février dernier. Aujourd’hui, peut on savoir si M. l’Ambassadeur a rompu avec la politique pour se consacrer à une autre activité ?

                                                                  So. Hwoussewesso

21 réflexions sur « SOUEF livre « Les grands défis de la politique étrangère des Comores » »

  1. Un moment Propice pour Souef Mohamed El amine(Le Grand requin de la politique étrangère Comorienne)
    C’est triste, ça fait mal, pour un cadre, et enfant comorien, au moment ou son pays se trouve pris entre le marteau et l’enclume, c’est le moment propice pour lui de se montrer ennemi. Par ce que pour lui là ou il a échoué c’est la limite de la sagesse comorienne, il est l’apogée du savoir comorien, Bravo! Toi et tes égaux ne croix que sa. Par ce que tu as peur qu’on prouve et montre à la nation comorienne ta faiblesse et magouille. Tu viens même de le souligné toi même, Avoir travaillé avec cinq gouvernements, pourquoi au de lieu de critiquer l’équipe actuelle (Gouvernement Sambi) ne pas montrer ce que t’as fait de bien et te défendre dans une voix claire et honnête à devant ce peuple souffrant qui ta délégué plusieurs fois et sans intérêt par ce que tu es insouciant, maudit et ignorant que les précédents de ta famille on souffert eux aussi. Tous ce que tu as fait te ressemble très bien.
    tu auras aimé rester éternellement sur la tête de ce pays et continuer à ruiner et à pourrir ce pays et ses habitants. C’est normal par ce qu’on ne ta jamais appris à aimer et à défendre les intérêts de ce pays que tu détestes par ce que tu as échoué. Je sais que haïssez qui a longtemps été victime de son ignorance. tu as volé à ce peuple souffrant! Et maintenant, tu n’as rien avoir un peuple Analphabète ta place est en France. tes écrits sont inutiles ce sont tes actions qui devrait l’être mais malheureusement. Aujourd’hui quoi qu’il arrive tu dois avoir honte de parler le mal des autres.
    Enfin, ce que je croix que tu gouteras le châtiment du mal que t’as fait subir à ce pauvre peuple, toi Le Judas du peuple comorien, inchallah.

  2. Avancons aux Oeuvres ecrits
    En lisant cette nouvelle ouvrage je pense que chancun d’entre nous reste patient meme aveti pour se demander quelle est l’amour de faire la lecture , chacun pense a etre un ecrivain mais nous ne pensons pas a devenir acteurs car l’etre doit se demander comment faire le bien un peuple ? comment on peut penser fonder une nation avec des actes , avec des soucis et des sentiments alors ce qui ns manque , on n’a pas l’amour d’agir, ns sommes depourvus d’amour …. de contruire , d’agir pour notre nation , ne tromper pas a ce qui ne pense la philosophie de magouille , ne seme pas la haine devant la nation qui demande leur valeur d’etre , le maniere de vivre come les autres , aimons la nation ce d’agir en faveur detout le monde ,

  3. Les grands défis de la politique étrangère des Comores »
    Contrairement à celui qui parle de requin de la politique étrangère,je pense que l’amour du pays commence par ici.Au moment où plus que jamais,la France met toute la communauté internationale à genoux au sujet de Mayotte et que le gouvernement comorien a quant à lui brillé par un silence complice,il fallait que des citoyens s’expriment.Je ne connais pas Souef mais je salue son acte républicain et courageux.J’ai lu le résumé et je constate que aimer le pays commence par le combat de faire soigner l’image du pays ternie effectivement par les mercenaires et les crises politiques dont celle d’Anjouan qui voulait être rattachée à la France après 33 années d’indépendance.

  4. Je salue le courage de Monsieur Souef.C’est la première fois qu’un homme politique aux Comores se livre à un grand public à travers des écrits.Le premier ouvrage relate les problèmes auxquels le pays se trouve confronté depuis la période précoloniale ;le deuxième ouvrage dégage des pistes par rapport à des questions pertinentes comme la problématique de Mayotte ou la délimitation des frontières.C’est important pour ceux qui étudient l’histoire du pays.Et si tout le monde contribuait à sa façon pour écrire l’histoire des Comores au lieu de continuer dans les traditions orales!

  5. Politique étrangère des Comores
    Je suis un cadre mahorais et je m’intéresse à tout ce qui concerne la région de l’océan Indien dont les Comores.Je suis de ceux qui militent pour la départementalisation de Mayotte.J’ai lu par curiosité intellectuelle les deux ouvrages de M.Souef comme j’ai lu ses déclarations à l’ONU et j’ai compris qu’à travers ses écrits il se bat pour une recomorianisation de Mayotte.Il a avancé quatre hypothèses intéressantes.Si ces hypothèses ont été faites aux Années 1970,on aurait certainement trouvé une porte de sortie honorable pour tout le monde.C’est trop tard maintenant et je dirais que c’est une balle perdue.Mayotte a pris ses distances pour la départementalisation.

  6. Les grands défis de la politique étrangère des Comores »
    Si c’était moi,je me cacherais aussi longtemps que possible dans le trou avec les rats.T’as été le ministre qui a commis plus de gaffes par rapport à tes prédécesseurs sur la diplomatie commorienne.Toi et ton « colonnel »putchiste,vous êtes les premiers à brader le dossier de Mayotte en leur permettant de participer aux jeux des îles.C’est un acte indigne d’un militaire dont t’étais l’humble serviteur.
    Tu ferais mieux de rentrer aux Comores,monsieur le je sais tout.
    T’étais le ministre aux affaires louches:détournement des biens publics,filières d’immigration en france moyennant bcp d’argent,etc…..

  7. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    Je poursuis encore mes études en Egypte.J’ai eu l’occasion de servir l’Association des etudiants comoriens.Je voudrais exprimer des regrets ici car celui qui apparait le mauvais Ministre aux yeux de Houmadi est plutôt celui qui dispose d’un actif dans son passé aux Affaires étrangères.En ce moment tout le monde constate les dérappages d’une diplomatie en dérive.Le reste je dirais à Houmadi qu’il s’agit de l’appréciation d’un ouvrage et il ne donne pas l’imge d’un lecteur et encore moins d’un critique

  8. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    Je croix que Amine souef est sur le point de reussir sur ça trategie de vouloir changer tous le mal qu’il a fait au peuple comorien à un merveille, à un conte de fait. Mohamed Youssouffou,Hadji Moubinou,Mounir Ali approuvent maintenant et saluent tes actions. M.Mounir Ali et Mohamed youssouffou vous avez parfaitement raison moi aussi je l’admet.Mais pas un type très connu avec son passé, qui n’as pas laisser deriere lui que des degats tous les comoriens le savent. C’est lui que les comoriens ont chargé pour repondre à tous les xigences de la Nation aupres des Nations Unis. Qui est le premier avoir vandu l’Ile comorienne de Mayotte? Bien sure tu as raison de defier l’Etat comorien par ce que tu sais tres bien toi et ton patron le Roi son excellence le grand faux moneaires Comorien, aquel prix vous avez vandu Mayotte à la france.Ensemble vous savez ou vous avez trainé la politique comorienne. Aujourdh’hui tu cherche à te purifier et à blanchir les bien publiques que vous avez amasser durant des années. Maintenant,le cameléon se sent intouchable et trace d’autre chemin sous une autre couleur car il a toujour soif, il veut retourner sous une autre forme pour en finir avec ceux qui reste. Un conseille, tu ferai mieux de te taire, au lieu de vouloir changer l’histoire,ca ne sert à rien de vouloir effacer ce qui graver dans nos esprits. Car tu seras toujours et à jamais Amine souef ton image que les comoriens te connaissent est innobliable.

  9. Arretons le barbarisme et la haine SVP
    Je suis satisfait, très satisfait même du débat qui est ouvert dans cet espace. Mais dommage que certaines personnes n’arrivent pas a changer leurs mentalités en 2009 ! Les comoriens ne changent pas et ne changerons jamais. LES Aba, Houmadi,Mohamed Abou, …. pourquoi vous parlez dans le vide au moment où le monde s’émancipe a travers des évolutions, des succès, des publications, des défis….Arrêtons la haine et le barbarisme, parlons de concret, de gage et de convictions comme il le fait cet homme. El-Amine a d’autres talents que la politique, la preuve il le montre depuis 2008. En l’espace de deux ans, il a publié deux ouvrages, c’est costauds cas même.

  10. Mohamed Abdou: Réaction enfantine
    Je trouve enfantine, la première réaction tenue par Mr Mohamed Abdou à propos du second ouvrage de Souef. C’est même ridicule de tenir de tels propos accusateurs, révélateurs sans avancer la moindre preuve.

    On peut ne pas être d’accord, ne pas avoir le même avis sur un autre mais le respect et la politesse de l’un vers l’autre interlocuteur ne sont pas négociables. Et d’ailleurs c’est avec le respect mutuel que le débat est possible. Comment voudriez-vous tisser un dialogue avec l’autre que vous êtres en train de décendre ?

    Quant à l’initiative d’écrire, je trouve loyale et rare chez nous de voir quelqu’un comme Souef, riche en expérience politique de nous livrer ses pensées, sa vision des choses parce qu’en écrivant c’est beaucoup qui en sauront plus au lieu que son avis, juste ou faux reste partagé entre un monde clos, restreint (famille, amis…).
    En écrivant, on s’adresse à un large public. C’est ce que vous, me semble-t-il, ignorer jusqu’ici.

    Votre discours est donc, pour moi dangeureux car il témoigne d’une mauvaise habitude partagée aux Comores consistant à juger les gens sans les connaitres. Or l’on dit bien: « MRU YEKA MDA WANDRU,NA KAYE MDJWA WANDRU ».

    S’il vous plait, ne nous cassez pas ce nouvel appetit que nous venons juste de découvrir sur notre pays. Nous avons besoins de ces témoignages, de ceux qui en sont auteurs, non seulement pour alimenter le débat mais aussi et surtoutpour pouvoir voir nos orientations pour l’avenir.
    Notre jeune université a besoin de ces documents, de tous ces témoignages personnels pour installer de vrais débats intellectuels dépourvus de toute passion destructrice.

    Abdoulatuf

  11. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    Par curiosité je suis tombé sur cet article.C’est intéressant de constater que c’est l’auteur qui est controversé.Il n’est pas le seul écrivain à être controversé.Les Jospin,De villepin,Bouteflika,Kouchner,Chirac,Boutros Ghali,Mbeki,Zuma,Mandela et même saddam Houssein sont tous controversés.C’est l’histoire qui juge à la fin.Un homme d’Etat est celui qui attire l’attention des autres.Donc je trouve la plupart des commentaires ici très déplacés.Par contre, je salue la volonté d’un dirigent africain qui prouve d’autres talents outre que la politique.Je suis très réconforté dans la mesure où tout le monde parle de d’écrivain et non de l’œuvre.Cela ne peut prouver qu’il y a une adhésion autour de l’ouvrage.C’est une reconnaissance implicite de la qualité de l’œuvre.
    Guy Pascal,ancien coopérant au Burkina Faso

  12. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    Je signe et je persiste car les commentaires sur l’homme ont été fait par d’autres d’une autre façon.Lisez ,consultez et documentez vous.La place n’est pas à la haine.

    « Les Comores : trente années de vaines promesses : » Si les intentions françaises aux Comores ont toujours été teintées d’ambiguïtés, celles des dirigeants comoriens sont restées d’une implacable et permanente limpidité. Qu’il suffise de citer le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Souef Mohamed El-Amine, lors de la Conférence des Nations unies sur la xénophobie et le racisme de Durban en septembre 2001 : « L’image connue de mon pays depuis son accession à la souveraineté internationale est celle des coups d’États dont les auteurs sont des mercenaires européens ayant conservé la nostalgie du colonialisme et de l’esclavagisme (…) Ce lot de misère prend sa source, pour la plupart, dans l’indépendance inachevée de mon pays, dans cette colonisation d’une partie de notre territoire. Je veux parler du contentieux sur l’île comorienne de Mayotte dont la communauté internationale, saisie depuis plus d’un quart de siècle, n’a pas su mobiliser à temps une attention à la dimension de l’envergure de la question. L’archipel des Comores a toujours été symbolisé par un bœuf à quatre pattes. Cela fait plus de 25 ans, maintenant, que l’ex-puissance colonisatrice le fait marcher sur trois pattes ! »

    Olivier Relot : « Les Comores: trente années de vaines promesses »

    Géopolitique africaine, numéro 14, printemps 2004

  13. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    Ben, moi j’ai retenu l’hommage rendu à SOUEF par Boutros Ghali dans son livre intitulé:En attendant la prochaine lune;Carnets:1997-2002 relatant une rencontre entre lui et le ministre comorien à New york, le vendredi 18 juin 1999.Ainsi je m’en passe des critiques sans queues ni têtes.Bravo Souef !Que les 25 autres anciens ministres des Affaires Étrangères prennent leurs plumes.

  14. Félicitations Souef
    J’encourage l’initiative de Souef ! Arrêtons de débattre dans le vide. Il écrit ce qu’il a vécu et je trouve que c’est quelque chose très intéressante

  15. politique des Comores
    Je ne crois pas les bruits autour de cette personne par rapport à son patriotisme.j’ai suivi l’année dernière son intervention sur France Ô,aux côtés de journalistes français et des militants de la société civile.Tout le monde lui a applaudi car il a exprimé une position nette et claire par rapport à son pays.A Moroni,tout le monde en a parlé dans les cafés et les autres milieux publics.Tout le monde était fier de lui même dans les rangs de la mouvance. L’émission »10mn pour le dire »qui lui a été consacré,tout comme Nawal,Imany ou Elbadawi, était également une fièreté nationale.Laissons la démagogie et le populisme.Je trouve qu’il a percé et persévéré pour réussir où les autres sont restés muets.

  16. Les grands défis de la politique étrangère des Comores
    J’ai lu les délires de Mohamed Abou et Houmad et j’ai envie de rire.Quand on a envie de cracher,on peut se permettre de dire tout.Il est vrai que Bush avait juré que Saddam Houssein détenait des armes nucléaires.Où en sommes nous aujourd’hui?Qu’est ce qu’on n’a pas dit sur Boléro aux Comores?Mandat d’arrêt……!Pourquoi la Cours d’appel des Comores est allée à l’encontre du gouvernement par rapport aux anciens dignitaires?Rehaussons le débat car certaines interventions font montre de manque de courage, de limites intellectuels et en matière d’éducation civique pour nos compatriotes.C’est regrettable.
    Et à celui qui disait qu’on lui dise ce qu’il a fait aux Affaires Étrangères,j’ai envie de lui dire qu’il est frappé par l’amnésie.Il n’a qu’à lire et voir autour du MIREX et il le saura sauf s’il vit dans un autre monde.Sur le plan d’aménagement,de structure,de renforcement de capacités,le ministère n’est plus le même.En terme d’organisation,le pays a accueilli plusieurs conseils de ministres des pays de la Région,de la COI et deux Sommets au niveau régional.Le ministère est doté d’une salle de conférence et d’un centre de documentation et d’archives et d’un annexe important qui a changé le look du ministère.Le ministère a réussi à faire éponger une grande partie des contributions de l’Etat au niveau des Organisations internationales et assurer une prise en charge de certaines chancelleries pour alléger le budget de l’Etat.Je suis un lecteur assidu de la Lettre d’information »Le Diplomate » qu’il a créé pour relater les activités du Ministère et de l’Etat.J’invite ses détracteurs à jeter un regard sur ce bulletin d’information et dépasser la Radio Cocotier.
    Le livre qu’il vient d’écrire est un plus dans l’environnement des recherches aux Comores.Si vous n’êtes pas en mesure de le lire vous ne pourrez jamais porter une critique constructive sur cette œuvre au profit des chercheurs et des universitaires ;

  17. Restons dans le vif du sujet
    Écrire un livre je pense que c’est l’égal dans notre pays, en tant qu’universitaire, je dirais que ses œuvres sont un plus ou un coup de pouce concernant nos recherches. Dans notre monde politique, il n’y a pas beaucoup. Alors applaudissons et que chacun apporte un petit caillou à l’édifice. Soyons libre, tenez vos plumes….!

  18. Quels défis ?
    Je pense que habibou est un tocard. Pour connaître ces défis, tu n’a qu’acheté l’oeuvre et decouvrira ce que nombreux des politiciens n’osent jamais dire ! Ok ?

  19. Et pourquoi
    Pourquoi avoir permis la participation de Mayotte dans les jeux de l’ocean indien comme etant un pays a part entier?
    Les defenseurs de M SOUEF peuvent ils nous expliquer la strategie adoptée par ce dernier?
    Qu’avons nous a gagner en echange?
    Alors expliquez nous.

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