Tout est pardonné à Siné dont la santé ne va toujours pas fort. Mais ce « ils avancent, ils reculent, ils nous… », ben, d’un côté, c’est bien vu, de l’autre… La rime est riche, les pauvres la subissent (la chubichent, aurait renchéri, rimaillant, Valéry Giscard). Mais, mais, mais, mémémé… Sodomisés, certes, empapaoutés. Consentant·e·s ? Là est la question.
Pardonnez-moi, mais le cœur n’y est plus. Même pour Siné Mensuel, une maigre rétribution est prévue (et plus, enfin, naguère, largement moins pour Come4News). Bon, c’est temporaire, exprimé mezzo voce, quasi in petto. En mon faible intérieur… Pudique, hein. Ce qui vous changera certainement. Rassurez-vous, histoire de tirer à la ligne, dans le registre salace, j’abonderai.
De quoi ki vont kozé, dans le numéro « de rentrée » de Siné Mensuel ? Avec Gérard Filoche, que j’ai interpellé sur un autre dossier mais qui se la joue dissident du PS mais pas au point de…, du dossier des retraites, piloté en fait par le CNPF, le Medef. Ouais, sauf que les offensives en faveur des retraites par capitalisation (rappelez-vous le baron et Kessler), quoique rigolotes, ne sont plus trop à l’ordre du jour. Entre énarques et énarques (recasés dans les assurances), il y a dû se produire une sorte de moratoire. Filoche, qui n’est pas au nombre des énarques, mais vise le Conseil économique et social (et ses prébendes) ramène donc sa fraise. La prochaine fois, Gérard, tu réponds à tes courriels, et tu t’épargnes ce type de remarque perfide – quoique totalement fondée – et tu vas pantoufler tran-quil-le.
Alors bon, Pierre Condamin-Gerbier serait « juste un artiste malade » comme me l’avait déclaré Charlélie Couture dans une vie antérieure. Ian Hamel ne croit plus à cette histoire d’une quinzaine de personnalités politiques ayant des comptes à l’étranger ? Il a bien tort. Même des journaleuses et journaleux en ont, des comptes à l’étranger. Et j’ai tous, tous, tous, les noms, mais je ne parlerai pas, même si on emploie des moyens extrêmes (j’ai résisté à pire).
Que la Géorgie soit « le paradis fiscal de l’Iran » n’est pas une révélation. Même si Harold Smith feint de nous le faire découvrir. Ach, les Georgs, mais il faudra que je vous parle un jour, post-mosterm, évidemment, de mes amis albanais, macédoniens, monténégrins… Les ponts de suite valant ici, bon, vous savez…
Les viols collectifs en Égypte ? Eh, Willy le Devin, et les tournantes des Veilleurs et Veilleuses, on s’y intéresse aussi ? Ça fricote pas mal, et pas qu’à Paris, mais je n’ai aucune preuve si ce n’est la présomption dérivée de l’expérience : que de pénétrations diverses (et variées, je vous l’assure, et je crober un schéma) permettait le « tout sauf tout ». Équivalent musulman : le coude replié de la vierge demoiselle. Je vous la joue pudique. N’empêche, cette façon détournée de stigmatiser des peuples évidemment primitifs, c’est pas politiquement correct.
Véronique Brocard s’intéresse aux Espingouins (que des franquistes attardés) qui vont devenir des fachos allemands. Elle ferait mieux de suivre leur exemple, car elle serait mieux rémunérée. Encore que, vaut mieux se rapprocher d’Attias (et de Forbes) et travailler pour Bongo (explication confidentielle en privé).
Il paraît que « les médecins étrangers en bavent des ronds de chapeau » en France. C’est bien pourquoi ma copine ukrainienne est passée de médecin spécialiste de médecine interne à aide-soignante puis à infirmière en France. Médecins allogènes autres que ma copine, on vous merde… Rentrez chez vous pour former, en anglais, des médecins français de chez la France dans vos pays. Allez enseigner à Cluj et Timisoara, en anglais et français, et laissez notre numerus clausus fonctionner au profit de nos z’enfants-de-France, merci ! Voilà que j’écris comme Philippot, du FN. Damned, il y a un truc auquel il n’a pas pensé : rapatrier d’urgence nos médecins sans frontière en Trières et nos « du monde » à L’Autre (Autre Monde, c’est dans l’Aube, loin de la Corrèze, mais surtout du Zambèze). Allez-y, à Y (dans la Somme), les toubibs. Élément de langage pour Marine Le Pen : bouter l’Hôpital Américain hors de Paris et de France, ça fait gaulien à peu de frais.
Une psy (anal-yste) dans Siné Mensuel ? Pourquoi pas un mage à la Pierre Dac ? Marie Pezé. Vu que mon patronyme est Tombeur, je vais me retenir. Elle pense qu’on souffre au travail. Eh, on a signé, c’est pour en chier, non ? Certes, on devrait pendre le dernier capitaliste avec les tripes du dernier syndicaliste, mais vu le nombre, qui restera client de Marie Pezé, et comment nous paiera-t-elle un verre au comptoir ? Restons réalistes, mais demandons un Vosne-Romanée. Il parait que l’entretien avec Marie est « passionnant ». Normal, ne dit-on pas « emballez, c’est pesé » ?
Clément Méric ? Vous vous souvenez ? C’est bête, cet « antifa » aurait pu copuler avec une « faf » marrante ; mais cela ne s’est pas produit ainsi. Elle n’était pas là, donc ne pouvait intervenir. J’ai peur que mes petit·e·s infant·e·s deviennent comme moi ou les autres (soit faf ou antifa). Et que le futur Siné Mensuel ne sache pas trop comment appréhender tout cela. C’est grave, ô Pythie ? Hymma La Hyène, ma devineresse ? Bah, un suppositoire d’oubli, et toutes ces questions stupides me sortiront de la mémoire… Pierre Carles, cinéaste, avait suscité des polémiques après la mort de Clément Méric. Siné Mensuel en remet une couche.
Mon incontinence verbale en exigeant une autre, et vu l’heure fort avancée, je me mets en couche, au singulier.
« Consentant·e·s » ?
« une «&nbpsp;faf b;» marrante » ?
« mes petit·e·s enfant·e·s deviennent » ?
Il y a du mou dans le système de publication de C4N, mon cher Jef…
;D
« explication confidentielle en privé » ? Oui, j’en ai bien besoin !
Belle rentrée !
Voui, EricPomme, il faut croire que ce n’est plus du tout de mon âge de rédiger à point d’heure.
J’ai rectifié (le lapsus de saisie dans le code du [i]non-breaking space[/i]).
Pour le point médian de la forme masc.+fém., je conserve.
C’est une affèterie que je m’autorise de temps à autres.
Vous tracassez pô…
Moi aussi, parfois, quand je publie « à pô d’heure », je me rend compte plus tard (trop tard) que mon texte est presqu’illisible (dans votre cas, c’était plus de l’ordre de la coquille que de l’illisibilité).
Belle soirée à vous !