Si jamais elle s’en allait…
Il y a un temps une étoile est apparue le jour
Il y a une nuit un soleil a resplendi dans un cœur seul
Une douceur a enflammé une vie, une main a séché une larme
Sur ses pommettes je revois encore les fleuves qui coulent
Dans ses yeux sans regard au matin le monde se dessine
A elle seule elle comblait le vide d’une vie déchirée
Son corps d’Ebène envoutait bien au-delà de l’esprit
Si jamais elle s’en allait les fleurs se faneraient
Les rivières se dessècheraient et le monde s’effondrait
A elle seule elle portait mon bonheur à bout d’amour
A elle seule elle remplissait de passion les fontaines vides
A ses rires les savanes fleurissaient
A ses babils le village dormait dans la quiétude
C’est la femme africaine des temps révolus
Si elle s’en allait une âme se perdrait
Une vie serait détruite à jamais
Dites lui que si elle était une larme
J’aurais évité de pleurer de peur de la perdre
BONJOUR CASIMIR – une fois de plus vous allez marquer des points auprès de la gente féminine de C4N – Ce texte est splendide bravo! – jp
Beau texte ,Casimir!Comment vont vos écrits sur l’école?
[b]Casimir au meilleur de sa forme, je partage bien sûr !!
Superbe ce texte[/b]
Quelle douceur sans fausse pudeur.
Du pur sentiment…
Merci de ce partage
Un très beau texte, merci de nous amener un peu de douceur dans ce monde de brut…
bonjour à tous. excusez moi de n’être pas là de façon aussi fréquence comme vous. mais c’est très sincèrement que je suis touché par vos commentaires. mille mercis
salut Mozarine, l’école ivoirienne tente de renaitre de ses cendres. les autorités ont à coeur de lui impulser une nouvelles dynamique et nous espérons que ça va marcher.bien de choses à vous
salut Mozarine, l’école ivoirienne tente de renaitre de ses cendres. les autorités ont à coeur de lui impulser une nouvelles dynamique et nous espérons que ça va marcher.bien de choses à vous
Je découvre vos écrits et je trouve votre texte très beau, continuez!
merci boregard