Une certaine fatigue, un enthousiasme qui s’estompe, une image de soi peu gratifiante… Quand l’idée d’aller travailler nous rend morose, il est temps de réagir et de se poser les bonnes questions.
Pourquoi est- ce que je travaille ? Suis- je vraiment à ma place ? Faut- il changer de boulot ? Que faire pour changer ? Pour quel métier je suis fait ? Autant de questions qui nécessitent une réponse afin d’éviter que ces difficultés deviennent à la longue nocives.
Elément régulateur essentiel de la vie en société, le travail construit aussi notre identité sociale. Quand
celle- ci est malmenée, toute notre vie privée en souffre.
Plus le travail est valorisant, plus nous pouvons nous y épanouir. Certes, les obstacles sont nombreux, toutefois il est possible d’y trouver un équilibre !
Rien d’étonnant à ce que la place que nous occupons ne soit pas forcément celle qui réponde à notre désir profond.
Notre époque est marquée par une forte revendication à développer toutes ses potentialités, y compris dans le travail. Si la clé de notre équilibre repose davantage sur une bonne ambiance et un travail en équipe, mieux éviter les postes solitaires. Si au contraire, nous ne pouvons supporter quelqu’un discuter à côté de nous, il vaut mieux se diriger vers un poste où on voit moins de personnes.
De notre représentation de la réussite professionnelle découle une série de besoins. Pour les uns, il s’agira d’exercer un métier utile, d’être reconnu pour sa dévotion à la tâche. Les autres aspireront à être indépendants, à exercer leur créativité ou à travailler dans l’urgence.
bonsoir Kalou.
Le boulot,pfff !!!
Quelle sinécure et tout cela pour un p’tit confort,en baver pour 3 ou 4 bouts de bois ( meubles )puis téloche,ordis,factures etc…
L’aube se lève grise et sale
Sur la sinistre cour pavée
J’entends résonner sur les dalles
Les bidons tristes du laitier
C’est toujours quand cinq heures sonnent
Qu’on réveille les condamnés
Les feuilles des arbres frissonnent
Il va bien falloir y aller
Aï aï aï
A l’heure où les croissants sont chauds
Je n’ai pas l’âme d’un bourreau
De travail
A l’idée de l’exécuter
J’ai le moral en marmelade
Si le travail c’est la santé
Tous mes copains en sont malades
Faites-le mettre à la torture
Par ceux qui en font leur régal
Bien au chaud sous mes couvertures
Je ne le toucherai pas d’un poil
Aï aï aï
A l’heure où l’on boit l’apéro
J’n’ai toujours pas l’âme d’un bourreau
De travail
Si j’dois l’abattre sans pitié
Avant d’abandonner mon lit
J’voudrais bien voir changer la vie
Dans la nouvelle société
J’voudrais voir les flics au boulot
Les tenants du grand capital
Les P.D.G. les généraux
Goûter aux cadences infernales
Aï aï aï
Ce n’est sans doute pas de si tôt
Que j’aurai l’âme d’un bourreau
De travail
Ah oui, ces paroles sont de Jean Ferrat.
Bye et bonne nuitée.
Le bien-être au travail des salariés est un grand sujet d’aujourd’hui. Il est important de s’épanouir au travail, d’être content de son travail. J’ai eu l’aide des coachs d’entreprise de http://www.jecontacteunocach.com , qui sont à l’écoute des salariés et les accompagnent dans leur vie en entreprise.