Sarkozy/Bruni un faux couple à l’américaine

Le Président a encore quelques petites leçons à recevoir au niveau de la diplomatie… amoureuse ! Offrir à sa nouvelle conquête la même bague qu'à son ex-femme, mauvaise idée !

Mais qu'en est-il vraiment de ce couple ? Réel ou factice ?

Nicolas Sarkozy doit réellement apprécier le modèle «Cupidon» de chez Dior. C'est Gala qui a vendu la mèche. Il vient en effet de l'offrir à la belle Carla Bruni, après avoir offert ce même modèle à Cécilia. Une «petite» maladresse dans le protocole amoureux, à moins que…

La photo nous montre une étrange ressemblance entre les deux femmes. Nicolas Sarkozy tenterait-il de «cloner» sa Cécilia ? Même allure, même longs cheveux bruns, même discrétion et désormais même bague.

Après de «rien» à «c'est du sérieux» en un temps record, on se pose des questions sur le couple Bruni/Sarkozy, qui n'est pas sans nous rappeler les grands mariages (sous contrat) des stars hollywoodiennes, qui servent surtout de coup de pub et dont les clauses parfois hilarantes, montrent à quel point un couple peut-être instrumentalisé pour contenter les deux parties.

Pour le Président, il serait bon de se promener avec une belle dame, mannequin, chanteuse, artiste, mais surtout d'avoir quelqu'un a trainer aux diners officiels protocolaires ! Quant à la belle Carla, que certains surnomment la «croqueuse d'hommes», avoir un Président à son tableau de chasse et mettre un coup de fouet aux ventes de CD, ça n'est pas rien.

Bien sûr, tout ça n'est qu'hypothèses et le couple est peut-être tout à fait sincère. Il est vrai qu'inviter les photographes à ne pas les suivre alors que l'Elysée appelle les rédactions pour renseigner les journalistes sur les lieux où apparaitront les deux amoureux, c'est probablement juste pour garnir les albums de famille ! Alors soyons sympas !

8 réflexions sur « Sarkozy/Bruni un faux couple à l’américaine »

  1. Qu’une insignifiante histoire.
    Qu’une insignifiante histoire de sexe, de partouze et de nymphomanie. C’est du Bill Clinton et Monica Lewinski en reprise, mais cette fois, à l’affiche et plein la gueule. Ça appartient au monde des hystériques qu’active et allume le magnétisme du pouvoir. La psychanalyse en dit très long sur le sujet. Et déjà que le Palais du «doge» de l’Élysée est habité par la maîtresse substitut de Cécilia. Voilà qu’il tient du burlesque, cet exemple des stimuli de la drogue des amours folles qui maintiennent l’érection au pouvoir.

  2. c’est tout à la fois !
    n’oubliez pas que c’est le publicitaire Segala qui a réuni le couple en soirée ! à l’usage la pub peut s’effacer devant la sexualité et l’ambition, le désir de paraître, d’en jeter ! ensuite si ca colle peut être l’amour et le respect !
    pour le moment beaucoup de fautes de goût et de dignité !
    vous parlez d’un même discrétion chez Carla et Cécilia ? Ou est la discrétion et le respect dans tout cet affichage provocateur ? Tous les magazines depuis octobre font leur Une et leur pages intérieures des déboires ou des succès sentimentaux du chef de l’Etat de son actuelle et de son ex ! Si vraiment ces personnages cherchaient la discrétion il seraient les premiers à vivre plus discrétement leur ébats et leurs émotions –

  3. C’est une question de «prises» …
    Quant au «Cupidon» de chez Dior, ça n’a rien à voir avec le protocole amoureux. L’affaire est sexuelle et à ce chapitre, il n’y a pas de protocole. Par ailleurs et c’est ce qu’on dit, chez-nous, «un chasseur a le droit d’étiqueter les sacs de ses prises, comme il l’entend».

  4. Eulenspiegel
    tout est sans hypocrisie:
    « Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, a confirmé mercredi que le président a été brièvement hospitalisé le 21 octobre « pour une angine », assurant que « la transparence » n’a pas « souffert de quoi que ce soit » concernant cette opération gardée jusque-là secrète. »
    tout est transparent,
    tout est possible !!!
    La fin de till est moins rose

  5. il est vrai que la ressemblance est pour le moins troublante !
    sacré Doktor Faustus !
    Qu’on appelle Freud !!!!

  6. Un paon à la basse-cour de l’Élysée.
    Pour un petit tacticien de campagne, l’étalage des bobettes et des strings de l’Élysée, sur la corde à linge des intimités du Président de la Réplique commence à déborder les frontières de la brousse parisienne. Le fastueux déploiement de la queue du Paon de l’Élysée commence à gêner la Basse-Cour présidentielle. Nico-Nico, par-ci, Sarko-Sarko, par-là, les planches de Paris Match, de Gala et de Closer le flanquent à la Une que dévore leur lectorat voyeur. Dans l’ère de la télé-réalité, non seulement la petite personne de Sarkozy mais aussi et surtout le grand personnage de la présidence de la France donnent conjointement dans l’exhibitionnisme permanent, suivant l’analyse pertinente qu’en fait le professeur de la Sorbonne et spécialiste des médias, François Fost, dans «Le Téléprésident». Il faut également bien comprendre les impacts cuisinés de «la personnalisation» et de «l’instrumentalisation» dont fait état le très respecté Marc-Olivier Padis, rédacteur en chef de la très sérieuse revue «Esprit», ce que s’empresse de nier précipitamment et sans argument, l’ex journaliste et maintenant conseillère de l’imagerie du Président, Catherine Pégard, subrepticement mandatée par «l’entourage» de l’Élysée, pour piloter la rescousse que nécessitent les dérapes comportementales et des étalages choquants d’une vie privée sensationnaliste et quasi débauchée que s’autorise Sarkozy.

    En plus, Benoît Grevisse, directeur de l’École de journalisme de Louvain, en Belgique, n’hésite pas à pointer du doigt la «démission journalistique» de la presse française. Dans le quotidien «Le Soir» de Bruxelles, il affirmait «ne pas croire une seule seconde que les journalistes ne savent pas ce qu’ils font. (…) On a l’impression que les journalistes sont complètement tétanisés. En tout cas, ils ne font pas leur travail».

    Un mandarin de l’Élysée a bel et bien affirmé, dans un entretien privé, que le «Sciento» Sarko est un petit Colonel tsariste dont aucun Général ne viendra à bout, parce qu’une «armée starisée» le suivra. Les «25 longues pages» de l’histoire Sarko, Maire de Neuilly, en disent très long sur les transparences dont l’hypocrisie se réclame. Les «quelques pages» de l’histoire du Président Nico les mettront sous les phares de la Ville Lumière.

  7. « petit Colonel tsariste dont aucun Général ne viendra à bout »…
    c’est sans compter sur le GRAND GENERAL !

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