Le prince de l’Autocratie Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa n’a point la tournure d’un colosse. Mais son esprit fourbe, envoûtant marié à son galbe râblé et disgracieux, le rend aussi imprévisible que cruel.

Paré de son œdème de l’ego aussi long que son nez crochu, ses grands yeux assoiffés de cadavres et d’ambitions ombrés par des sourcils aussi épais que la sacro sainte bible noire des affaires bilieuses qui émasculent la politique, il est prêt à croquer le moindre petit portefeuille d’un pauvre tâcheron afin d’asseoir son ultime pouvoir.


La pratique du supplice de l’impôt indirect lui valut son surnom de Hongrois le Petit, l’empaleur de liberté. Sa renommée de grand sadique à mutiler avec ses hauts talons pointus la démocratie, le droit de grève et les maigres acquis de ses citoyens, bouleverse toute une contrée qui va au-delà du vaste massif des Carpates. Il fait empaler les plus puissants réfractaires à ses croyances et continue d’aiguiser sa soif de pouvoir en suçant le sang de ses victimes jusqu’à la dernière goutte. L’Elysée est le lieu des pires crimes et abominations, mais la pleine thune n’est pas éternelle, et le vampire semble bien pâle depuis quelques temps.Il se pourrait même qu’un jour, à l’aube d’un jeudi noir… le sang tourne !

Une parodie d’©SB LE SNIPER