Le président François Hollande aimerait bien faire avaler aux Français que le gouvernement et lui-même sont en pleine austérité et serrent leurs ceintures de trois crans, réduisant au maximum les dépenses de l’état. L’état comme beaucoup de ménages Français est en surendettement et continue de payer aujourd’hui  les extravagances du précédent président tout en maintenant un régime de vie princier


 

Qu’en est-il en effet des soit distantes baisses de salaires des ministres et du président lui-même ? Où en sont les mises en applications de ces lois, jugées non conforme à la constitution Française et tombé dans l’oubli médiatique. Quels sont réellement les salaires de nos ministres dont le nombre a augmenté et qui continuent de pomper les caisses de l’état.

On reprochait à Nicolas Sarkozy son train de vie extravagant qu’il affichait ouvertement son attrait pour l’argent et le luxe et avait officiellement augmenté son salaire sans rien cacher aux Français.

Aujourd’hui, rien n’a changé, si ce n’est que tout ce fait dans la discrétion, notre président se faisant berger d’un troupeau de mouton bien encadré des ministres transformés en gardiens de troupeau


Pour faire des économies, on ne fait plus voler le « A 330 » présidentiel dont les frais ont été malicieusement affectés au ministère de la défense alors qu’il devrait amputer très largement le budget de l’Elysée. Bien sûr cela ferait désordre d’afficher un budget présidentiel à la hausse

Cet appareil surnommé « Sarko one », comme tout appareil de ce genre coûte bien plus cher en entretien en restant au sol et devrait voler, ne serait-ce que pour l’entrainement efficace de son équipage, réduit à se servir de simulateurs pour rester performant

La solution serait certainement de vendre une partie de la flotte présidentielle et de ne se servir que du « A330 » équipé pour recevoir le président en toute sécurité avec une soixantaine d’accompagnateurs. Cela économiserait au moins l’envoi d’un second avion pour la « suite »  présidentielle pas toujours complètement nécessaire.