De tous les temps et partout cette dualité coexiste,savamment organisée et entretenue par ceux qui ont le pouvoir et veulent le garder,car l’argent comme la beauté d’une femme,rendent puissant….
Sans débattre de la résignation ou du refus de cette fatalité,quoi que je préciserais quand même que je déteste l’expression des français qui se qualifient « de nous les petits »,je me suis demandé qu’elles étaient les différences de vie selon que vous étiez comme le chantait Michel Sardou puissant ou misérable:
ainsi si vous êtes pauvre :
vous n’achetez pas du bio mais les produits les moins chers,donc les moins bons pour votre santé,donc vous avez plus de « chance « d’avoir du diabète ou de souffrir d’obésité notamment….
vous n’habitez pas dans des quartiers ou immeubles résidentiels mais des lieux ou environnements plus pollués (ce qui me frappe le plus sont les aménagements des aires d’accueil des gens du voyage,souvent soit à côté d’une autoroute,d’une déchetterie ou d’un funérarium) donc vous êtes plus exposés au bruit,au danger…
vous n’avez pas forcément un budget pour vos loisirs ,vos vacances ,donc vous ne pouvez pas voyager,ni vous distraire sauf devant un écran ou un verre…
Vous n’avez pas d’amis » bien ou haut placés » donc pas d’appui ,conseil avisé ou faveur..
Et si vous (certains) n’êtes pas moins intelligent qu’un riche, vous êtes quand même condamné à étudier et travailler plus…non?
Mais y a t-il au moins encore une place pour nous les pauvres dans ce monde qui ne devient accessible qu’aux riches?
Pour consoler ceux qui ne peuvent manger ou se chauffer ,,comme moi dites vous que le froid conserve et le jeûne est bénéfique pour la détox…