Au nom de la liberté d’expression, d’opinion et des droits de l’Homme, a-t-on le droit de porter atteinte aux intérêts et à l’honneur des uns et des autres sans être jugé ? Un «militant des droits de l’Homme» ou un journaliste jouit-il d’une immunité permanente et absolue pour accuser les uns et les autres sans être poursuivi par la justice ?

A lire certains médias français ayant prétendu couvrir la visite d’Etat du Président Nicolas Sarkozy en Tunisie, on s’interroge effectivement si, au nom des nobles et sacrées causes de la liberté d’expression et des droits de l’Homme, on se place en dehors de la loi.

 

    En effet, non seulement ces médias font fi de la déontologie journalistique qui exige qu’on écoute toutes les parties concernées pour que l’information soit impartiale, mais ils semblent nous dicter de nouvelles règles d’un ancien ordre colonial que nous avons cru avoir enterré.

 

Tout observateur objectif peut, en effet, se demander pourquoi cet acharnement contre la Tunisie. Que lui reprochent, en fait, ces médias français ?

 

    Il est vrai que dans le subconscient de certains esprits rêveurs d’un ordre anachronique révolu, le développement et le progrès sont exclusivement réservés à une certaine race.

Toutefois, cette fixation haineuse sur la Tunisie dépasse l’imaginaire puisque ces médias non seulement refusent de voir notre pays se développer, progresser et se moderniser mais ils veulent nous imposer de nouvelles règles internationales visant à porter préjudice à l’honneur des uns et des autres et à accuser les Etats et les institutions sans que ces accusés ne puissent se défendre.

 

En effet, d’un côté, ils prétendent que la justice en Tunisie n’est pas indépendante et, de l’autre, ils s’indignent que la loi soit appliquée à l’encontre d’un journal qui a pourtant gravement accusé, sans aucune preuve, des sociétés de fraude.

 

    Au nom de la liberté d’expression, d’opinion et des droits de l’Homme, a-t-on le droit de porter atteinte aux intérêts et à l’honneur des uns et des autres sans être jugé ? Un «militant des droits de l’Homme» ou un journaliste jouit-il d’une immunité permanente et absolue pour accuser les uns et les autres sans être poursuivi par la justice ?

A lire certains médias français ayant prétendu couvrir la visite d’Etat du Président Nicolas Sarkozy en Tunisie, on s’interroge effectivement si, au nom des nobles et sacrées causes de la liberté d’expression et des droits de l’Homme, on se place en dehors de la loi.

 

    En effet, non seulement ces médias font fi de la déontologie journalistique qui exige qu’on écoute toutes les parties concernées pour que l’information soit impartiale, mais ils semblent nous dicter de nouvelles règles d’un ancien ordre colonial que nous avons cru avoir enterré.

 

Tout observateur objectif peut, en effet, se demander pourquoi cet acharnement contre la Tunisie. Que lui reprochent, en fait, ces médias français ?

 

    Il est vrai que dans le subconscient de certains esprits rêveurs d’un ordre anachronique révolu, le développement et le progrès sont exclusivement réservés à une certaine race.

Toutefois, cette fixation haineuse sur la Tunisie dépasse l’imaginaire puisque ces médias non seulement refusent de voir notre pays se développer, progresser et se moderniser mais ils veulent nous imposer de nouvelles règles internationales visant à porter préjudice à l’honneur des uns et des autres et à accuser les Etats et les institutions sans que ces accusés ne puissent se défendre.

 

En effet, d’un côté, ils prétendent que la justice en Tunisie n’est pas indépendante et, de l’autre, ils s’indignent que la loi soit appliquée à l’encontre d’un journal qui a pourtant gravement accusé, sans aucune preuve, des sociétés de fraude.

Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/05/01/reponse-a-certains-medias-francais-le-masque-est-tombe.html.