Un sondage Ipsos paru le 28 mai 2013 : « Mieux vaut-il faire des études scientifiques ou littéraires pour trouver du travail ? » pose une question très intéressante pour l’avenir de nos chers enfants.
Voici les résultats de ce sondage :
« Il vaut mieux faire des études scientifiques pour trouver du travail » a convaincu 72 % des votants, tandis que 28 % pensent qu’ « il vaut mieux faire des études littéraires pour trouver du travail ».
Et vous ? Quel serait votre opinion dans ce sondage que l’on peut dire d’actualité ?
Le mien fut le suivant : « Il vaut mieux faire des études scientifiques pour trouver du travail ».
Selon moi, l’avenir c’est la science. Non pas que la littérature ne soit pas l’avenir, loin de là mes propos. Je pense seulement que l’écriture continuera d’exister dans les supports qu’amènera la science et les nouvelles technologies.
Come4news est le parfait exemple « littéraire » ayant évolué sur un support créé par la science : Internet.
Pour revenir à mon argumentation, la science deviendra sans doute des plus indispensable à l’homme dans le siècle à venir.
Par exemple, dans les nouvelles technologies. Aujourd’hui déjà, elles nous envahissent, et je pense que c’est le début d’une nouvelle ère où la création de nouvelles technologies grâce aux sciences en fera qu’empirer. Regardez l’évolution fulgurante de vente et d’utilisation de smartphones et tablettes ces dernières années… Maintenant, pour ne parler que de notre pays, presque 100 % des Français utilise un portable.
La science deviendra sans doute indispensable à notre société dans l’industrie chirurgicale, nanotechnologique, médicale et pharmaceutique. Imaginez, dans des dizaines d’années, l’invention d’un produit pharmaceutique par exemple, capable d’arrêter le vieillissement cellulaire ! Si les prix sont abordables, et même un peu exorbitants, qui ne succomberait pas, passé un certain âge, à ce produit miracle pour voir s’il fonctionne vraiment ?
La science devrait-être à l’origine d’une augmentation considérable de l’espérance de vie dans un futur plus ou moins proche.
Aussi, la science sera à l’origine de nombreuses avancées et inventions qui risquent de révolutionner notre quotidien. Dans un futur proche, imaginez par exemple de plus en plus de robots ménagers, capables de faire le ménage à votre place… Dans un future un peu plus lointain, rêvons à des voitures volantes, pourquoi pas, ou d’autres révolutions qui bouleverseront notre vie telles le furent les voitures ou les avions au cours du 20 ème siècle.
Enfin, la science va devenir indispensable grâce à un secteur dans l’air du temps : l’écologie.
En effet, les énergies vertes par exemple, comme l’énergie solaire, sont vouées dans un avenir proche à devenir l’un des secteurs incontournables de notre société. La sauvegarde de notre planète passera pleinement par la science et aux recherches scientifiques.
N’oublions pas que la science fera évoluer de nombreux secteurs, comme par exemple, les enquêtes de police et la résolution plus facile et plus rapide de celles-ci. Les empruntes par exemple, ayant fait un énorme bond dans la résolution des enquêtes scientifiques… Et si demain, un monde sans crime était imaginable grâce à la science ?
Le potentiel scientifique, à mon avis, est énorme en terme d’emplois dans le siècle à venir. Le secteur littéraire lui, sera malheureusement voué à s’adapter aux nouvelles technologies, donc moins demandeur sans doute en terme d’emplois, même si mon « petit doigt » me dit qu’il existera jusqu’à l’extinction de notre espèce, et même plus si nos écrits sont retrouvés par d’autres, un jour.
Et vous, pensez-vous qu’il vaut mieux faire des études scientifiques ou littéraires pour trouver un travail plus facilement ?
Parce que les études seraient dans une logique professionnelle et non dans le domaine du développement du savoir être ?
Ce que vous dites ou le choix majoritaire est toujours le même, j’ai l’impression d’entendre le même refrain que dans les années 70.
De toute manière c’est la science qui est le moteur des évolutions matérielles, donc dominante sur les solutions créatrices d’emplois. Même un ouvrier sans grand diplôme se retrouve dans ce contexte quand il est dans une usine manufacture, mais cela n’en fait pas un inculte pour autant face aux livres par un intérêt de libération qui lui reste en l’homme.
Maintenant des études analytiques montrent souvent que les choix des gens puis leurs directions diverses professionnelles dans leurs vies divergent rapidement, ce qui montre l’orientation jamais en rapport avec le fondement des jeunes dans les écoles.
Les chiffres ou les lettres sont complémentaires néanmoins comme le visible et l’invisible nécessaires à l’évolution de l’homme.
Le verbe fut, il semble que ce soit les comptes mathématiques uniquement destinés à l’avoir qui perturbent le monde et qui rendent le verbe et le savoir en soi libérateur trop occulte.
Ne pas oublier que nous sommes de plus en plus sur terre et que désormais la technique réclame de moins en moins de gens pour produire et fabriquer ces choses trés techniques même si de nombreux matheux ont encore du mal à s’y retrouver avec de simples problèmes de logique comme comment clôturer un champs…:-)) Les ingénieurs seront bientôt plus nombreux que les ouvriers à la sortie des écoles en France et le plombier Polonais s’en sort mieux que ces têtes qui semblent par l’éventuelle manque de verbe se planter dans leurs comptes…:-))
Sinon ne pas oublier qu’entre les sciences et la littérature vous avec dans la voix du milieu plus sage, les sciences dites humaines, qui pour précision ne sont pas vraiment des sciences ni le verbe pur, mais bien le lien plus optimum pour les jeunes de demain…
Les hommes sont enfermés par les chiffres, pour conclure, les trader est un monstre socialement, seul le verbe reste aux révolutionnaires à un moment…
PH
Tres bien parlé Philippus
Entre les carrières scientifiques et littéraire pures, il y a les sciences humaines ( médecine, pharmacie) et les sciences sociales qui me paraissent être un bon compromis, une voie médiane entre les chiffres et les lettres
La pharmacie et la médecine ne sont pas incluent dans les sciences dites humaines mais bien scientifiques, même si au final ce serait pour le bien de l’homme et de la collectivité, bien que le serment verbal d’hypocrite, pardon d’Hypocrate… est oublié par leurs professions puisque ces deux sciences laissent mourir des millions de gens en ce monde par faute de moyen de se soigner, sans parler des objectifs des laboratoires que nous connaissons tous.
Je soulèverai aussi que dans les sciences dites humaines, l’on retrouve à tort l’économie, qui est bien une erreur, débattue d’ailleurs dans les couloirs des universitaires de ces approches plus sociales, l’économie restant bien visiblement la science la plus inhumaine par ses conséquences quotidiennes destructrices, du moins elle aussi par son usage qui ne vise que l’avoir…
To be or not to be comme disait William…
PH
[url]http://www.rue89.com/2011/10/15/petit-je-voulais-etre-boulanger-mais-jetais-bon-en-maths-225582[/url]
A lire trés significatif des orientations, rien de neuf depuis les années 70…
« Tremblez, enfants de la cinquième puissance mondiale : si vous ne voulez pas crever de faim, travaillez, étudiez vos mathématiques, devenez ingénieurs, faites-nous des plans d’avions de chasse et de centrales nucléaires. »