Cet article fait une recherche sur un concept assez nouveau dans les stratégies de guerre du monde contemporain, clarifiant ce que les experts entendent  avec l’expression « guerres asymétriques ». 

 

Dans les analyses des spécialistes en stratégie militaire et de tactiques, souvent apparaître un nouveau concept, rédigé à la lueur des événements de ces dernières années et mois. Aujourd’hui, nous parlons des guerres « asymétriques ».

 Qu’est-ce qui caractérise ces nouvelles guerres en comparaison de celles traditionnelles?

En substance, deux éléments fondamentaux.

Le premier est qu’elles ne sont plus des guerres seulement entre des États, mais certains États peuvent être attaqués par des groupes qui ne se reconnaissent plus dans une nation, mais dans une idéologie ou une croyance religieuse.  Le deuxième élément est que les attaques lancés par ces groupes contre l’Ėtat rival ne suivent pas les schémas habituels des moyens de lutte; ou bien, ils ne déplacent pas des troupes, n’ emploient pas des raids aériens et évitent le champ de bataille. Ces groupes, au contraire, utilisent les outils du terrorisme ( des déroutements, des attentats-suicides et des mouvements de capitaux visant à nuire à l’économie d’un Ėtat). Les spécialistes des « guerres asymétriques » suggèrent que les Nations, pour se défendre contre ces nouvelles menaces, certainement devront continuer à s’armer, mais surtout à maximiser les secteurs liés à l’espionnage sous toutes ses formes, en vue d’identifier où opèrent les centrales terroristes, pour tenter d’empêcher l’attaque, ne pas  l’endurer.