Quatre braquages à main armée dans le val d’oise

Quand tout va mal, tout va mal.

Recrudescence de violence. Quatre attaques à main armée dans le val d'Oise en moins de deux heures. La crise apporte tout.

Même les voleurs ont besoin d'argent et ne se cachent plus pour faire la caisse d'un commerce. Ce phénomène courant aux USA est relativement nouveau chez nous. En tout cas dans ses proportions. Cela fait plusieurs semaines que nous entendons que des braquages sont perpétrés à l'encontre de petits commerçants. Samedi soir quatre braquages ont été commis dans le val d'Oise . Même délinquant ? Les résultats des enquêtes le diront.

Pour des sommes modiques !

Les commerçants ne pouvant pas bénéficier des systèmes de sécurité que les banques utilisent, et ceci, pour des raisons évidentes de coûts et de pratique, ils se retrouvent en première ligne. Imaginez-vous devoir passer un sas de sécurité pour aller acheter un bouquet de fleurs. Car deux de ses braquages ont eu lieu chez des fleuristes, 1 autre dans un bar et le dernier dans une boulangerie. L'argent n'a pas d'odeur, et plus aucun commerçant n'est à l'abri. Que faire face à cette nouvelle délinquance ? Les forces de police sont-elles assez présentes dans les rues ? Les moyens leur sont-ils donnés pour protéger la population ? Ne risque t'on pas de voir des commerçants s'armer ? Sachez dans tout les cas qu'il faut être prudent, ne pas s'affoler pour rien, mais être prudent, la crise que nous connaissons ne fera rien pour arranger les choses.

2 réflexions sur « Quatre braquages à main armée dans le val d’oise »

  1. Suppression de la police !
    Bonsoir la police pour surveiller les commerces s’est finie !
    Ont ne va pas tarder a voir surgir les polices priver comme aux US toujours la
    politique du président !
    Pour la surveillance des villa privé en Corse il y a plus de police que pour les commerces en Amérique aussi!
    Sarközy s’est l’installation de privé avec les copains pour faire des affaires !!!

  2. Il y a une part de vérité dans ce que vous dites j’y reviendrai ultérieurement dans un article consabré aux forces de l’ordre

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