Prostitution et Drogue, de la prohibition à l’encadrement?

 

La Prostitution et la Drogue, pratiques faites par des milliers de personnes voir des millions à travers le monde, mais qui pourtant doivent le plus souvent faire face à la prohibition des gouvernements.

Pratiques qui, après avoir connu un véritable âge d’or à une époque, se sont marginalisées, engendrant bon nombre de dérives sociales et sanitaires.

Alors la question est simple, doit-on aujourd’hui faire revenir ces pratiques dans des espaces dédiés à celles-ci afin de mieux les contrôler?

 

La question est sur toutes les lèvres actuellement, et provoque beaucoup de grincements de dents.

Les centres d’injections supervisés doivent-ils ouvrir sur le territoire Français?

Et doit-on assister à un retour des « maisons closes »?


Sous la III ème République, les « Bordels » connaissent un véritable « Boom » et fleurissaient aux quatre coins du pays, attirant une foule masculine toujours plus nombreuses, et appliquant des règles toujours plus strictes. Chaque maison disposant, bien sûr, d’un règlement qui leur était propre et qui était surtout applicables et appliqués pour les filles monnayant leur services. Un coût payable à l’entrée pour les clients et une location quotidienne des lieux pour ces dames.

En 1936, l’essor est tel que l’état Français dénombre plus de 700 maisons closes, toutes détenues par des femmes, la loi interdisant aux hommes d’en être propriétaire. Des maisons closes qui, peu à peu, vont évoluer et se transformer en Cabaret, proposant toujours l’ancestral service corporel, auquel va s’ajouter petit à petit de la musique, de la danse, etc..

1946 sonne le glas de ces adresses de libertinage, et la loi Marthe Richard, interdit les maisons closes qui seront toutes fermées le 13 Avril 1946. Une loi qui aura pour cause la marginalisation de la prostitution, et qui repoussera les prostituées dans la rue, à la merci des trafiquants d’êtres humains et des proxénètes.

 

 

IL faut savoir que les maisons closes avaient, justement, été mises en place dans le but de mieux cerner et superviser la prostitution, afin d’éviter toutes dérives et dégradations sanitaires et sociales. Un pas en arrière important avec cette loi Marthe Richard, qui renvoyait dans les cordes bon nombre de filles de joie, livrées à elles-mêmes.

Il faut savoir aussi que les maisons closes n’étaient pas non plus le « Paradis » pour ces dames, car elles s’exposaient à la violence, à une sorte d’esclavage dissimulé, ainsi qu’à la cruauté de certaines propriétaires.

L’intérêt donc de ces établissements, au niveau gouvernemental, était d’avantage de superviser et contrôler la pratique de la vente du sexe, et non pas, de favoriser les conditions humaines des filles.

 

Malgré le fait que ces maisons closes aient été interdites en 1946, la donne change en 2010.

Au fil des âges, de nombreuses lois et restrictions ont été mises en application pour enrayer la prostitution et prohiber le proxénétisme, repoussant sans cesse les prostituées en périphérie des villes sans aucunes protections réelles.

 

 

Alors que faire en matière de prostitution?

 

Quoi que les gouvernements aient décidé au fil du temps, rien n’a réellement fonctionné. Qu’elles soient dans la rues ou dans des maisons, les filles ont toujours été la cible de proxénètes ou de « propriétaires » avides de les faire travailler à n’en plus finir. Aujourd’hui la prostitution est considérée par les politiques comme un fléau social, mais les clients ne cessent d’affluer toujours plus nombreux. Pour mieux contrôler la vente du corps est-il vraiment inconcevable de faire rouvrir ces lieux de libertinages en France?

 

Aujourd’hui encore ces lieux existent dans de nombreux pays et notamment en Belgique et en Suisse. Lors d’évènements sportifs importants, comme lors des Coupes du Monde de Football Allemande et Sud Africaine, des établissements étaient sortis de terre pour l’occasion. Établissements ayant connu un franc succès, notamment en Allemagne. Alors la France doit-elle franchir le pas à nouveau ou doit-elle continuer à faire semblant de ne rien voir?

 

 

La question est la même pour la consommation de Drogue, tout en sachant que le passif est complètement différent de celui des maisons closes. En effet, la drogue n’a jamais, sur le territoire Français, eu de lieux « autorisant » et « régulant » cette pratique. De nombreux pays ont déjà mis en application des centres supervisés de consommation de drogue, notamment au Québec où l’expérience, bien que décriée, fût une réussite. Sans parler, bien sûr, de pays comme Les Pays Bas, qui « autorisent » la vente et la consommation de drogue dans des bars prévus à cet effet.

 

 

Pourquoi ce genre de centres est une nécessité?


 

La consommation de drogue étant prohibée en France, celle dernière se passe exclusivement dans des lieux comme la rue, ou encore des espaces privés, sans régulation,parfois même dans l’excès, et surtout dans le risque de connaître de vrais drames. De plus, la consommation étant interdite rigoureusement, la vente est un délit, passible de peines de prisons exemplaires. Tout ceci engendrant un trafic important, à des prix exorbitant, ayant pour cause de mettre financièrement en très grand danger les consommateurs qui ne peuvent s’en passer.

Il faut savoir que la consommation de drogues dures se fait par injection, et que les aiguilles utilisées sont fréquemment échangées entre toxicomane, créant une prolifération de maladies mortelles. Un vrai problème sanitaire, et un véritable danger pour la santé.

 

Ces centres, s’ils étaient crées, permettraient au moins de pouvoir superviser la prise de drogue, et d’éviter les échanges d’aiguilles ainsi que la surconsommation des « drogués ». De meilleures conditions d’hygiène lors de la consommation éviteraient de favoriser la prolifération de maladies. Un véritable gage de sécurité sanitaire mais avec un coût important pour l’état, tant au niveau des infrastructures que du personnel (médecins, infirmières,etc..)

 

A ce jour 6 pays Européens ont déjà franchi le pas, avec un certain succès : l’Allemagne, la Suisse, l’Espagne, la Norvège, le Luxembourg et les Pays Bas. Ils font donc office de précurseur en la matière.

 

 

De plus , après plusieurs mois, voir années d’expérience, de nombreux points positifs sont mis en avant par ces pays, comme par exemple :

 

Une utilisation de drogue qui se stabilise.

Une diminution des nuisances, sans augmentation de la délinquance autour des centres.

Un impact positif sur les pratiques liées aux injections.

Des populations autrefois marginales et difficiles d’accès qui se socialisent.

 

Des points positifs qui, pourtant, ne font pas flancher la politique gouvernementale Française. Notre État juge que mettre en place de tels centres reviendraient à « accepter », en partie, la consommation, alors qu’elle s’attache depuis des années à la faire disparaître, en vain. La santé publique n’est visiblement pas le leitmotiv premier d’un gouvernement, qui applique « ses » réformes sociales et garde une ligne de conduite figée dans le marbre.

 

En conclusion, les « maisons closes » ou les « centres supervisés » sontdevenus d’utilité publique, d’un point de vue sanitaire et social. Mais pour autant, aujourd’hui, l’État français ne semble pas prêt à franchir le pas. Faudra-t-il attendre un prochain gouvernement pour que des décisions soient prises? C’est possible. Mais nul doute que si cela n’est pas mis en application avant, ces questions pourraient engendrer des débats lors de la prochaine campagne présidentielle.

 

Source : 

 http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/12/01016-20100812ARTFIG00556-injection-surpervisee-retour-d-experience-positif-en-europe.php

http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1136299&clef=ARC-TRK-G_01

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Lupanar

http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/les-maisons-closes-encerclent-la-france-et-relancent-le-debat.47575

 

64 réflexions sur « Prostitution et Drogue, de la prohibition à l’encadrement? »

  1. [b]Merci à tous pour avoir lu cet article.

    Alors après lecture, êtes vous pour ou contre ces centres (qu’ils soient pour la prostitution ou pour la drogue) ?

    Amicalement

    Tom[/b]

  2. très bon article Tom,à réfléchir!

    je suis pour les centres pour aider ceux qui prennent de la drogue!

    La prostitution?

    [quote]Quoi que les gouvernements aient décidé au fil du temps, rien n’a réellement fonctionné. Qu’elles soient dans la rues ou dans des maisons, les filles ont toujours été la cible de proxénètes ou de « propriétaires » avides de les faire travailler à n’en plus finir. Aujourd’hui la prostitution est considérée par les politiques comme un fléau social, mais les clients ne cessent d’affluer toujours plus nombreux. Pour mieux contrôler la vente du corps est-il vraiment inconcevable de faire rouvrir ces lieux de libertinages en France?[/quote]

    A défaut de mieux puisqu’il y a tant « de misères sexuelles! »

  3. J’ai envi de gerber à vous lire Mozarinne.
    Mon coeur il me fait mal et mon esprit me rebelle contre ce monde, je haïs les propositions du mal, de la prostitutions, de la drogue pour détruire et vous vous dites que c’est bien !!!

    Je comprend que notre Père ne se montrent plus depuis qu’il a donné son Fils pour sacrifice pour tous les mauvaise hommes et femmes que nous sommes, nous méritons mêmes pas cette honneur mais merci à lui je m’agenouille devant un telle amour. Et j’entend l’esprits de ses gens qui disent « Jusques à quand, Maître saint et véritable, tarde-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? »

    L’homme est un gouffre à lui même, soit disant qu’il propose la paix et la psychologie, mais jamais il ne donne de solution pour soigner et sauver les gens, alors qu’on peut sauver ses gens de la prostitutions et de la drogue avec l’amour l’authentique !!!

    Tous le monde peut être sauvé !!

    Quel père ou mère donnerait-il du poison à son enfant ?

    Et voilà que l’état se prend pour père et il donne à ses enfants ce qu’il désirs, drogue prostitutions et vous vous trouvez ça bien…

  4. Salut Tom,

    En quelques lignes je vais t’exposer mes pensées.
    Le message délivré aux toxicomanes me parait consternant. Il est donc interdit et illégal de faire l’usage de produits stupéfiants, mais là soudainement on donne accès à des centres « médicalisés », ou ces toxicomanes peuvent se shooter en toute quiétude. Cela me parait fort pernicieux.
    Il existe en France de très bons centres de désintoxication qui accompagnent les personnes dépendantes. Le but de ces centres et de faire décrocher le toxicomane. Il n’y a donc en aucun cas une négation du problème ou de politique de l’autruche. En revanche, accepté ces centres de shoot, c’est-à-dire : « vient donc te droguer l’ami, ici on shoote clean et sans souci, anonymat garanti ! ». Jusqu’à preuve du contraire, la drogue est interdite en France, dangereuse et toxique pour la santé, crée de grave dépendance, et dans certains cas précis, entraine la mort. Les centres de shoot auront l’effet pervers de banaliser la drogue. Insistons sur la désintoxication pour aider les toxicomanes à lâcher.
    Pour les maisons closes ce n’est pas à nous « possibles consommateurs » de trancher. Ce sont les femmes et les hommes qui font commerce de leurs corps de s’exprimer.
    Bye Tom.

  5. [b]Mozarine,

    merci pour ta visite et ton commentaire. Un article qui me tenait à cœur car je pense qu’il y a quelques chose à faire pour permettre à ces personnes de ne plus se trouver en situation de détresse sociale et sanitaire. Je ne dis pas que la prostitution et la drogue sont de bonnes choses, loin de là, mais qu’il est préférable d’encadrer ces pratiques plutôt que de les marginaliser.
    Rien ne pourra les stopper, alors pourquoi ne pas les encadrer?

    Amicalement

    Tom[/b]

  6. [b]Vartan,

    merci pour votre visite et votre commentaire.
    Vartan, Mozarine ne dit pas que c’est bien, mais tout moi, elle « préfère » voir ces pratiques encadrés plutôt que marginaliser avec les dérives que cela engendre. Ce n’est pas de la dépénalisation, mais de la supervision.
    Oui il sera difficile de faire stopper ces pratiques destructrices et immoral pour beaucoup, mais cela sera malgré tout rendu d’avantage possible si ces personnes ne sont plus considérés comme marginaux, non?

    Amicalement

    Tom[/b]

  7. [b]Michel,

    merci pour ta visite et ton commentaire ô combien pertinent.
    Tu met la le doigt sur un détail d’importance dans ce débat sur la toxicomanie. Oui, la drogue est interdite en France, autant à la vente, que à la consommation, et celle ci est même sanctionnée sur tout le territoire. Pour autant, la toxicomanie, bien qu’elle soit répréhensible, est pratiquée en France et cela rien ne pourra l’en empêcher. Le seul soucis est notamment que cette pratique est marginalisée et que aucun contrôle sanitaire n’est réellement effectué sur les personnes dépendantes. Oui, la France dénombre de très bons centres de désintoxication, mais pour que les personnes droguées s’y rendent il faut d’abord qu’elles consentent à accepter qu’elles en ont besoin..ce qui est loin d’être une chose aisée.
    Pour les maisons closes, le sujet me semblait intéressant, et il est vrai que la parole revient aux premières concernées, mais celle ci auront elles réellement leur mot à dire? Ou seront elles à nouveaux contraintes de se plier à la volonté gouvernemental? Telle est la question mais le débat là encore promet d’être houleux.

    Très Amicalement

    Tom[/b]

  8. [quote]Pourquoi ce genre de centres est une nécessité?

    La consommation de drogue étantprohibée en France, celle dernière se passe exclusivement dans des lieux comme la rue, ou encore des espaces privés, sans régulation,parfois même dans l’excès, et surtout dans le risque de connaître[b] de vrais drames.[/b] De plus, la consommation étant interdite rigoureusement, la vente est un délit, passible de peines de prisons exemplaires. Tout ceci engendrant un trafic important, à des prix exorbitant, ayant pour cause de mettre financièrement[b] en très grand danger[/b] les consommateurs qui ne peuvent s’en passer.

    Il faut savoir que la consommation de drogues dures se fait par injection, et que les aiguilles utilisées sont fréquemment échangées entre toxicomane, créant uneprolifération de maladies mortelles. Un vrai problème sanitaire, [b]et un véritable danger pour la santé.[/b]

    Ces centres, s’ils étaient crées, permettraient au moins de pouvoir superviser la prise de drogue, etd’éviter les échanges d’aiguilles ainsi que la surconsommation des « drogués ». De [b]meilleures conditions d’hygiène [/b]lors de la consommation éviteraient de favoriser la prolifération de maladies. Un véritable gage de sécurité sanitaire mais avec un coût important pour l’état, tant au niveau des infrastructures que du personnel (médecins, infirmières,etc..)[/quote]

    Vartan,gerbez à votre aise et réfléchissez un peu au lieu de débiter des « insanités »!!
    [b]
    Relisez l’article ci dessus![/b]

    les centres sont des centre[b]s « pour AIDER »[/b] [b]ceux qui ne peuvent PAS faire un sevrage!![/b]

    [b]Le sevrage est L’IDEAL[/b] MAIS c’est TRÈS DUR!!!!!

    Nombreux sont ceux qui essaient et NOMBREUX sont ceux qui ratent!!et qui recommencent!!!

    Vous faites semblant de croire « au père Noël » la RÉALITÉ est bien différente!!
    Allez racontez vos histoires à ces personnes en difficultés!!!

    [b]VOUS FAITES PIRE QUE BIEN!![/b]

  9. [b]Mozarine,

    « Oui » ces centres sont avant tout fait pour aider les personnes dépendantes dans leur démarches, avec à terme bien sur la volonté des encadrants médicaux de les accompagnés vers le sevrage. Comme je le disais le sevrage est l’idéal mais il est compliqué car la personne doit d’abord entamer la démarche visant à vouloir en terminer avec le drogue, or beaucoup ne se rendent pas compte qu’ils sont complètement dépendant.
    Ces centres permettraient donc de socialiser ces personnes devenues marginales et de les accompagner à terme vers un sevrage en leur faisant prendre conscience de leur narcodépendance. Une telle démarche n’a pas pour but de faciliter la prise de stupéfiants, mais au contraire de la contrôler et la réguler en apportant un plus du point de vue sanitaire tout en créant un lien social.

    Amicalement

    Tom[/b]

  10. Non ces centres d’accueil ne sont en aucun cas une solution à la toxicomanie, je dirai même qu’au final cela pourrait encourager la consommation.
    Il faut aussi arrêter de faire dans le « misérabilisme » en jouant sur la caricature du toxico complétement à l’écart de toute socialisation, ce n’est pas le cas et loin de l’être.
    Créer un lien social lorsque tu es plongé dans un univers artificiel cela relève de la supercherie.
    On ne fait que banaliser un grave problème, et en aucun cas je ne ressens cela comme une assistance si ce n’est pour se shooter en toute quiétude. Il vaut bien mieux consacrer cet argent aux centres de désintoxication.
    Plutôt que de condamner les usagers, et bien tout simplement il faut leur laisser le choix, la prison ou la désintoxication.
    Il ne faut surtout pas omettre que les toxicomanes s’adonnent à leur vice de plein gré,jusqu’aux dernières nouvelles, personne ne les force à se camer. Je pense qu’il y a assez d’information démontrant la dangerosité de ces produits, l’addiction rapide, etc.
    Avec une telle démarche on ne combat pas le problème, on le banalise !

  11. [b]Michel

    je ne te parle pas de banaliser la toxicomanie qui je te l’accorde est quelques chose de terrible.
    Pour tout t’avouer j’ai une cousine qui avait sombré dans la drogue (héroïne) et qui s’était complétement isolée de tout le monde. Elle ne sortait plus ou presque, et ne pouvait s’empêcher de se droguer jusqu’au jour ou ses parents ont forcé sa porte pour voir ce qu’il se passait et l’ont envoyé de force en cure. Aujourd’hui elle va beaucoup mieux et de son propre aveu ne se rendait pas compte de son état et de son addiction. Elle est maintenant soulagé mais cela aurait pu très mal se passer aussi.

    Pour ma part, je veux croire que ces centres permettraient de mieux comprendre ces personnes et de mieux les raisonner. Je suis peut être utopiste, mais si ne serait ce qu’une poignée de personne s’en sortent grâce à ces centres alors cela fera déjà quelques personnes en moins dans la spirale de la drogue. Malgré cela je suis d’accord avec toi sur le fait aussi, qu’il faille investir dans les centres de désintoxication afin de pouvoir encore d’avantage accueillir la population toxicomane.

    D’accord il ne faut pas banaliser la drogue, tout comme il ne faut pas généraliser la population toxicomane. Parmi cette population, nous pouvons retrouver tout type de personnes, à la fois des « bobos » ou encore des personnes en grande pauvreté. Le produit n’est pas le même mais fait les mêmes ravages et que l’on prenne, de l’héroïne, de la cocaïne, de la méthadone, de l’ecstasy, ou encore tout autre drogue, cela provoque les mêmes addictions et les mêmes ravages.
    Oui les toxicomanes se droguent de leur plein grés, mais ne crois tu pas que chez les personnes drogués s’installe une dépendance plus que rapide et une addiction plus que tout aussi rapide? Ceux ci au bout d’un temps se rendent ils vraiment encore compte de leur actes?

    Très Amicalement

    Tom[/b]

  12. Oui il sera difficile de faire stopper ces pratiques destructrices et immoral pour beaucoup, mais cela sera malgré tout rendu d’avantage possible si ces personnes ne sont plus considérés comme marginaux, non?

    [i][/i]
    Je ne suis pas tout à fait d’accord avec ces propos pour ce qui concerne la prostitution. Certes, il y a beaucoup de dérives, de l’esclavagisme pur et dur qu’il faut combattre, beaucoup de filles n’ont pas choisi cela.
    Mais il ne faut pas oublier aussi que dans ce monde, certaines l’ont choisi en leur ame et conscience et elles aiment ce boulot. Il n’y a rien d’immoral, le sexe n’est pas sale, c’est meme très beau et ce n’est pas destructeur dans le cas où ca a été choisi.
    Et il est fou de penser que le proxénétisme sera diminué avec les maisons closes ou ouvertes (ou je ne sais pas quel nom ils vont nous sortir la prochaine fois), ils vont juste trouver des moyens de contourner ce système et l’exploitation existera toujours…

  13. [b]Manon,

    merci pour votre visite et votre commentaire éclairé.
    Oui vous avez tout à fait raison de dire que certaines personnes ont « choisi » cette vie mais pour quelle raison selon vous? Il est probable que l’on trouve malgré cela un facteur ayant conduit ces personnes à la prostitution.
    De plus je n’ai pas juger le sexe comme immoral mais j’ai narré que beaucoup de personnes le considérait comme tel ce qui était différent malgré tout. Comme je l’ai par ailleurs énoncé les maisons closes d’antan n’étaient pas non plus la paradis, loin de là d’ailleurs, mais elles avaient au moins l’avantage de ne pas isoler ces filles, et autrefois un médecin venait régulièrement consulter les « prostituées » ce qui avait malgré tout hygiéniquement un côté plus sécurisant pour elle, non?

    Oui l’exploitation existera toujours, tout comme l’exploitation de l’homme par l’homme existera toujours, mais à votre avis, est il possible d’en limiter la portée?

    Amicalement

    Tom[/b]

  14. Si je vous dit ca c’est que je suis moi meme dans ce milieu. J’ai 23 ans, un diplome, du boulot « socialement acceptable » si je le souhaite mais j’ai choisi le boulot d’escort et j’en connais plusieurs qui sont dans la meme situation que moi… je n’échangerai ma place pour rien au monde. j’aime ce que je fais

  15. [b]Manon,

    ce travail je ne l’ai juger en rien péjoratif pour ma part. Je suis ravi que ce travail vous plaise car beaucoup de Français n’ont pas cette chance. Maintenant je pense que vous connaissez sans doute aussi les dangers de ce milieu et les dérives que cela peut avoir sur des personnes moins satisfaites que vous non? Comme je l’ai dit je ne juge en rien ce travail péjoratif dans la mesure ou il plait et ou vous complaisez dans celui ci.

    Très Amicalement

    Tom[/b]

  16. les maisons closes n’empêcherons pas la prostitution extérieure et la maltraitance que subissent les femmes en faisant cela la question est plutôt : qu’est ce que les maisons closes apporteront-elles de plus ?
    Au sujet de l’ouverture des cen…tre d’injection supervisés le problème est que bien sûre cela n’empenchera pas non plus le trafic extérieur et je pense que la question est la même : qu’est ce que l’ouverture des centres d’injections apporteront-elles de plus ? Après il faut examiner chaque points des sujets

  17. [b]Nana,

    dans un premier temps merci de ta visite et merci d’être venu commenter directement ici…sourires..
    Oui tu poses là deux questions réellement intéressantes et tu soulèves des interrogations identiques ou presque à celle du gouvernement. Pour ma part, je répondrais évasivement que cela apporterait notamment un plus au niveau sanitaire et sociale mais dans quelle mesure et sous quelle forme là est la question à vrai dire..

    Amicalement

    Tom [/b]

  18. Mon commentaire n’étais pas entièrement destiné à votre message, mais aussi aux autres lecteurs. Je ne nie pas le fait des répercussions psychologiques sur celles et ceux qui ne l’ont pas vraiment choisi, ni les dangers. Mais Je voulais juste informer que contrairement à beaucoups d’idées recues, oui on peut faire ce métier par choix

  19. Un véritable débat sur la santé publique s’impose. Les autorités perdent des sommes astronomiques à lutter contre une hydre qui ne cessera d’exister. La drogue et la prostitution rapportent des fortunes au crime organisé. Les femmes et les toxicomanes sont aussi laissés à eu même victime des proxénètes et des trafiquants de stupéfiants. Peu de gouvernements ont eu le courage de légaliser la marijuana et la prostitution, bien sûr en encadrant le tout. Les détracteurs de ce système n’ont pas grand-chose pour défendre la répression qui ne fonctionne pas depuis des décennies. Certains disent que c’est une banalisation de la toxicomanie d’autre que cela va faire augmenter la consommation. Je suis québécois et le tabagisme au Québec n’a pas diminué en le prohibant, mais en exposant la population aux conséquences de ce produit sur leur santé. Les piqueries ont sans aucun doute mieux encadré les gros toxicomanes souvent atteints du VIH d’hépatite et d’autres maladies. Le taux de toxicomanies n’a pas augmenté à ma connaissance depuis l’instauration de tels établissements. Puisque nous finançons notre système de santé publique, il est dans l’intérêt que chaque Québécois doit appuyer ces actions.

  20. [b]Manon,

    rassurez vous je n’avais pas mal pris vos interventions loin de là d’ailleurs..sourires.
    Vous êtes bien placé pour intervenir sur ce sujet, et c’est un plaisir et un honneur pour moi de pouvoir converser avec vous et échanger nos points de vues sur ces avancées.
    Merci à vous.
    Et oui, vous avez raison, les idées reçues sont tenaces, mais malgré cela ne sont pas tout le temps exactes..merci de l’avoir rappelé.

    Amicalement

    Tom[/b]

  21. [b]Hugo,

    merci pour votre visite et votre commentaire. Vous avez vous à Québec la « chance » d’avoir vu en action ces centres d’injections et vous êtes donc bien placé pour en parler. Votre expérience est un plus pour échanger c’est certain.
    Oui vous avez raison la drogue rapporte beaucoup au crime organisé et la prostitution en général aussi (bien qu’il y ai des exceptions). Peu de gouvernements ont osé c’est vrai franchir le pas, et combien le feront dans l’avenir? Une vaste question, qui mérite une attention particulière c’est certain, et donc les arguments, thèses, contre arguments, exemples, contre exemple, etc.. n’ont pas fini de fleurir.

    Amicalement

    Tom[/b]

  22. Après si vous voulez un autre point de vue sur les maisons closes je vous conseille le site du « strass ». Et pour les salles de shoot en revanche je ne me permet pas de me prononcer car je n’ai pas potassé le sujet !

  23. [b]Manon,

    merci pour le tuyau, je ne manquerais pas d’aller y jeter un œil 😉

    Amicalement

    Tom[/b]

  24. [quote] Mais Je voulais juste informer que contrairement à beaucoups d’idées recues, oui on peut faire ce métier par choix[/quote]

    Est-ce un métier que ma propre fille que j’ai mit au monde va se faire prendre par des milliers d’hommes ou qu’elle se drogue ?

    Mozarinne oui Jésus sauvent tous ces gens mais votre doctrine propose l’engouffrement pas le sevrage.

    Les plus grandes centre anti-tabac sont subventionné par Philip Morris lui même, pour en prendre qu’un exemple.

    Et les 5000 personnes qui sont crédule de croire que l’invitation de se saouler vient d’une petite fille sur Facebook, eux aussi ils veulent se sevrer ?

  25. [b]Vartan,

    oui c’est un métier dans le sens ou la personne est consentante et ou elle se fait rémunérer pour sa prestation. Si celle ci est d’accord et se complait dans cette profession c’est son choix et ce n’est pas à nous pauvre pêcheur de la juger non?sourires.
    Je vous rejoins par ailleurs sur le point suivant, à savoir, que les plus grands centres anti-tabac sont financés par les Tabatiers eux mêmes, ce qui est malgré tout assez ironiques il faut en convenir.

    Amicalement

    Tom ;)[/b]

  26. [quote]Mozarinne oui Jésus sauvent tous ces gens mais[b] votre doctrine[/b] propose l’engouffrement pas le sevrage[/quote]

    Vartan

    1)je n’ai pas de doctrine
    2)Lisez mieux les commentaires
    3)Vous mélangez tout et ne comprenez rien à rien!
    4)Il serait temps que « l’esprit » vous éclaire car vous sombrez dans le pathétique!

  27. [quote]ce n’est pas [b]à nous pauvre pêcheur[/b] de la juger[/quote]

    Vous avez saisi cette phrase,Vartan!

  28. [quote]Et les 5000 personnes qui sont crédule de croire que l’invitation de se saouler vient d’une petite fille sur Facebook, eux aussi ils veulent se sevrer ?[/quote]

    ???????INCOMPRÉHENSIBLE,cette phrase!

  29. [b]Mozarine,

    merci pour ce come back..sourires..

    Je t’en pris ma petite poétesse préférée, ne sombrons pas dans la facilité linguistique, tu vaux mieux que cela et tu le sais aussi bien que moi. Chacun ses idées, mais sur mes articles, bien que cela puisse parfois paraitre étrange, j’aimerais que tout le monde essaye de s’entendre..Allons ma belle, ne t’énerves pas pour quelques réactions dérangeantes..bisous

    Très Amicalement

    Tom ;)[/b]

  30. Sexe , Drogue et Rock and Roll …

    Sourire

    Encore un tres bon article Mr Confirmé …

    Tres Tres Amicalement

    Mademoiselle .

  31. [b]Mademoiselle,

    merci pour votre visite et votre commentaire..sourires..

    Merci pour tous ces compliments qui mes vont droit au cœur..

    Très Très Amicalement

    Tom[/b]

  32. [b]Mozarine,

    ma petite poétesse préférée, je ne crains le débat car si tel était le cas, je n’en susciterais pas..sourires..J’adore les débats, mais avant tout les débats courtois et respectueux de part et d’autre, car pour ma part, j’estime que les débats houleux et parfois même injurieux ce qui est rare sur C4N ne mènent à rien..
    Merci pour tous tes compliments me concernant..sourires..

    Très Amicalement

    Tom [/b]

  33. Supertitom, êtes-vous bien certain que les sourires de façade et le fait de se déclarer quasiment d’accord avec tout le monde enrichissent LE DEBAT ? Je n’en suis pas du tout certaine et je me méfie toujours de ceux qui n’osent pas débattre réellement…

  34. [quote]…
    Mozarine,

    ma petite poétesse préférée, je ne crains le débat car si tel était le cas, je n’en susciterais pas..sourires..J’adore les débats, mais avant[b] tout les débats courtois et [/b][b]respectueux de part et d’autre[/b],[/quote]

    Je ne vois rien ici d’injurieux,je préfère dire ce que je pense que de « tourner autour du pot ».

    Et TOM tu te lances presque toujours sur des sujets « qui portent à débattre ou à se battre »!

  35. bonjour,
    je suis de l’avis de Michel sur les centres de shoot. Il me parait plus souhaitable de s’appuyer sur le médecin traitant pour faire un échange de seringues ou pour proposer un traitement substitutif.Celui ci est là pour aider et soigner.On oublie trop souvent le rôle essentiel du médecin de famille.
    Quant à la prostitution, je pense qu’il vaut mieux laisser parler les personnes concernées. Il est toujours difficile de légiférer une pratique « hors norme »! pour essayer de la faire rentrer dans le moule de la société!

  36. [quote]…
    bonjour,
    je suis de l’avis de Michel sur les centres de shoot. Il me parait plus souhaitable de s’appuyer sur le médecin traitant pour faire un échange de seringues ou pour proposer un traitement substitutif.Celui ci est là pour aider et soigner.On oublie trop souvent le rôle essentiel du médecin de famille.[/quote]

    Corail,tous les jeunes n’ont pas « un médecin de famille » et ils ne vont pas souvent chez le médecin!

  37. @ Mozarine,
    Pourquoi ne pas inciter les jeunes à se faire aider par un médecin! Au lieu de créer une nouvelle structure?
    si les jeunes ne vont pas chez le médecin, pourquoi iraient ils davantage dans des « centres » où là en plus leur anonymat n’est pas préservé?

  38. [quote]…
    @ Mozarine,
    Pourquoi ne pas inciter les jeunes à se faire aider par un médecin! Au lieu de créer une nouvelle structure?[/quote]

    Bien sûr Corail!Mais ce genre de structure est peut être plus facile pour certains.

  39. [b]Siempre,

    merci pour votre visite qui me fait réellement plaisir et pour votre commentaire.
    Sachez que mes sourires ne sont pas de façade car pour ma part j’ai la joie de vivre au quotidien, et je souries beaucoup, c’est dans ma nature, et cela me fait allez bien… 😉
    Par ailleurs, je ne suis pas toujours d’accord avec tout le monde, mais je respecte et tolère les avis de tous, c’est une philosophie de vie, cependant il m’arrive aussi (rarement) de m’emporter à la vue de certains propos du fait que je ne puis tout accepter..je suis humain aussi..

    Pour ma part, je n’ai aucune crainte du débat, car si tel était le cas, je ne m’attacherais pas à en susciter de part mes articles..Débattre est important pour moi, tout comme la discussion en général, car c’est à mon sens le seul moyen de comprendre l’Homme.

    Très Amicalement

    Tom[/b]

  40. [b]Véritas,

    merci pour votre visite, mais je me suis permis de retirer votre commentaire, du fait que celui ci n’avait aucun rapport avec l’article sus nommé, et qu’il n’avait pour but que de dévaloriser les divers intervenants au débat. Il ne s’agit en rien de censure, mais de recadrage au thème de la discussion.

    Amicalement

    Tom[/b]

  41. [b]Mozarine,

    rassure toi je ne refuse pas le débat, et « oui » j’en lance énormément, soyons honnête..sourires.
    Merci pour ton jeu de mot par ailleurs sur « débattre » et « battre » qui était plus que prompt.

    Revenons en donc à nos moutons si j’ose dire.sourires.

    Très Très Amicalement

    Tom[/b]

  42. [b]Corail et Mozarine,

    le fait de faire appel au médecin de famille pourrait être une solution c’est un fait, mais cela présente aussi des limites. Le médecin de famille sera il disposé à renseigner correctement la personne droguée qui fera appel à lui? Celui ci sera il capable notamment dans les petits villages, de ne pas parler des problèmes de son patient aux parents de celui ci? Dans les petits villages, puisque c’est là mon exemple, tout le monde se connait ou presque, et il est vrai que lorsque vous appelez le médecin celui peut parfois vous dire, « tiens j’ai vu ton frère l’autre jour, il va pas bien », etc…

    « Oui » les jeunes vont peu chez le médecin, à moins d’y être vraiment obligé. Qui plus est l’anonymat selon moi est plus préservé dans les centres supervisés que chez les médecins de famille. Question de point de vue et d’approche en réalité.

    Le médecin de famille c’est certain à un rôle essentiel dans le suivi de ses patients car il les connait en général par cœur, connait les problèmes de santé de la famille si il suit tout l’environnement familial, mais est il en mesure d’intervenir dans la toxicomanie?

    Amicalement

    Tom[/b]

  43. [b]A tous,

    j’ai retiré tous les messages ou presque qui n’avaient pas de liens directs avec l’article sus nommé.
    Je me suis permis cette censure du fait que ces propos n’alimentaient pas le débat mais servaient un dessein tout autre.

    Reprenons maintenant sereinement le cours de la discussion…

    Merci à tous pour vos interventions, et pour vos commentaires éclairés.

    Amicalement

    Tom[/b]

  44. Secret médical!
    Un médecin ne doit jamais faire allusion à l’état de santé d’un de ses patients.
    D’autre part s’il ne se sent pas compétent pour prendre en charge un patient qui présente une addiction il ne doit pas hésiter à passer la main à un confrère plus compétent dans ce domaine.
    D’autre part où est l’anonymat si vous vous rendez dans un centre de « shooting »?
    Alors que vous pouvez consulter un médecin pour un tas de raisons!

  45. [quote]D’autre part s’il ne se sent pas compétent pour prendre en charge un patient qui présente une addiction il ne doit pas hésiter à passer la main à un confrère plus compétent dans ce domaine.
    D’autre part où est l’anonymat si vous vous rendez dans un centre de « shooting »?
    Alors que vous pouvez consulter un médecin pour un tas de raisons![/quote]
    Sauf que dans les centres de « shooting », les jeunes( et moins jeunes) ne sont pas jugés, n’ont pas forcément un regard négatif, qu’ils ont un suivi de spécialiste de la dépendance, bien plus à même de comprendre leurs problèmes.
    Je me souviendrai toujours de mon médecin généraliste, un type formidable de compétence et de compréhension ,chez qui j’avais envoyé un ami qui était dépendant à l’alcool. Une catastrophe, il a ajouté à l’alcool les médicaments (tranquillisants…) et a plongé encore plus jusqu’à ce qu’un service hospitalier l’envoie en cure.
    Les généralistes ne sont pas compétents en tout , c’est impossible et ils n’ont pas non plus toutes les adresses qui permettent d’orienter les patients.
    Je connais également le fils d’une amie qui est devenu dépendant aux médocs de substitution, prescrits sans limite, et qui font l’objet d’un trafic!
    Si les services d’alcoologie et de dépendance à la drogue existent, c’est que soigner les addictions n’est pas donné à tout le monde!

  46. Pas certaine non plus que la majorité médecins acceptent même de recevoir des « drogués », dans leur salle d’attente, du moins lorsque cela donne une « mauvaise image » …

    Quant à la prostitution, lorsqu’elle sera débarrassée du trafic d’êtres humains, lorsque les prostituées ne seront plus que des femmes volontaires, ayant librement choisi de faire commerce de leur corps, on reparlera des maisons closes ou non…Je ne crois pas que cela change quoique ce soit au triste sort des femmes et jeunes filles soumises à l’abattage et à l’esclavage sexuel. L’article ne parlait pas des « escort girl » et autres « call girl », qui effectivement, ont choisi leur métier.

  47. Supertitom, je prends note que vous êtes quelqu’un de jovial et que vous avez « la joie de vivre au quotidien ». Cela me réjouit, car de nos jours rares sont ceux qui peuvent s’en prévaloir…
    J’aime beaucoup rire et m’amuser, on m’apprécie généralement au quotidien pour mon humour, mais je n’ai pas la même tolérance que vous envers certaines idées et déclarations que je juge rétrogrades et contraires au progrès de l’humanité…
    Sincèrement vôtre!


  48. [i][/i]D’autre part s’il ne se sent pas compétent pour prendre en charge un patient qui présente une addiction il ne doit pas hésiter à passer la main à un confrère plus compétent dans ce domaine.
    @siempre
    j’ai écrit la même chose que vous!!!
    Pourquoi créer une nouvelle structure?
    Ne pas généraliser à partir d’un cas personnel!

Les commentaires sont fermés.