Portraitude, portraitrise…

        Portraitude, Portraitrise,  Il était une fois… Encore un conte à dormir assis devant son écran.Un quizz, tenez !. Pour croire que l’on va devenir intelligent pendant les vacances, qui se terminent pour les uns, continuent pour d’autres et vont bientôt commencer pour ceux qui restent. A, B, C choisissez votre réponse dans la zone !

A Dedans. Il s’agit de découvrir un personnage qui a un vocabulaire fleuri, en privé.San Antonio moins les jeux de mots. On lui prête une dilection pour les terminaisons en « ard ». Suffixe nominal généralement péjoratif. Dernièrement, il allongea « nul », pour qualifier des éminences dont le rendement parut faiblard lors d’une algarade sans glouard. Ces éminences avaient oublié de rameuter des « c…ards » (canards ou couards ?) pour défendre des arts musicaux ou vidéos. Qu’il ait lui-même choisi ces flemmards augmenta son cafard.  

B. Autour. Des charognards. Non, vous avez perdu, ce n’est pas tiré du discours de Mitterrand après le suicide de P. Bérégovoy. Dans les canards bas de gamme on parle même à leur propos de bandits sans morale. Des balbuzards que l’on devrait écraser. Ou en bon lama leur cracher au visage. Tout ça pour avoir dormi chez un soi-disant marchand de pétards. C’était écrit dans un papelard. Plus tard, de « Libération » vint un autre avatar…

C Dehors. Lors d’un souper fin qui réunit politicards et scribouillards, notre personnage esquissa des croquis vachards de quelques amis tocards. Il tailla de généreux costards. On s’en émut dans les gazettes étrangères en lui tournant un portrait rossard.Vous avez trouvé ? La question est : choisissez entre A, B ou C, le motif qui a obligé une dame fraternelle à écrire récemment une lettre d’excuse, mais trop tard, après Dakar.

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