Mais, depuis le début de l’année 2011, entre les affaires le « Koweïtgate » et « l’Affaire Dominique Strauss-Kahn/Jean Peyrelevade et la privatisation du Crédit Lyonnais alias l’Affaire Adidas-Tapie/Crédit Lyonnais alias l’Affaire Lagarde… » qui, pour Eva Joly, est « une honte nationale(1) », – deux affaires politico-financières du moins connues car parues dans la presse, la seconde, de la part des partis de Gauche déchainant des passions et, désireux de sauver le soldat Dominique Strauss-Kahn, déversant des flots d’insanités -, il y a eu deux affaires afférentes à « la complexité de la vie sexuelle de Dominique Strauss-Kahn » médiatisées.


Y en aurait-il eu d’autres ? Et aurait-il pu y en avoir d’autres ? Le plus grand silence, s’il en est, est de rigueur et l’omertà s’applique car, comme le déclare le journaliste et auteur français, biographe de Dominique Strauss-Kahn, Philippe Martinat : « des affaires…ont été étouffées…(2) » C’est « l’exception française » qui résulte des rapports très proches « qu’entretiennent nombre de journalistes français avec les hommes politiques : tutoiement, dîners, vacances, voire, dans certains cas, mariage, comme Dominique Straus-Kahn avec Anne Sinclair, qui fut une star de la puissante chaîne TF1(3). » Et Christophe Deloire, journaliste, auteur, éditeur et directeur du Centre de formation des journalistes concède que « les médias français doivent désormais sortir du bois, sous peine de perdre toute crédibilité auprès de leurs clients… » et enfonce le clou « …Si demain les Français, lecteurs ou électeurs, nous accusent une nouvelle fois d’avoir gardé un secret entre soi, d’avoir accepté chez les puissants ce que nous refusons aux humbles, que leur répondrons-nous ?(4) »


Il est une certitude que, sans les « bons conseils » dispensés par un avocat, Maître Emmanuel Pierrat(5), pour dissuader les plaignantes à déposer plainte et sans celles réglées à l’amiable entre les parents des victimes, – des militantes du Parti Socialiste et des beurettes -, et les responsables du Parti Socialiste(6), les affaires afférentes à « la complexité de la vie sexuelle de Dominique Strauss-Kahn » auraient été bien plus nombreuses sur le plan médiatique et judiciaire. Et ceci est d’autant plus vrai qu’au moins deux journalistes ont fait des déclarations fracassantes et incendiaires concernant les « dragues lourdes » auxquelles « s’est prêté » et se « prête » Dominique Strauss-Kahn :

– l’un, Thierry Ardisson, dans son émission « 93 Faubourg Saint-Honoré » sur Paris Première, le 5 Février 2007, déclarant qu’il connaissait une douzaine d’amies qui avaient été approchées de trop près par Dominique Strauss-Kahn, et dans l’émission de Daniela Lambroso, sur RTL, le 28 Juillet 2011 « Enfin je dirais simplement que tout le monde était évidemment au courant de l’attitude qu’avait Dominique Strauss-Kahn avec les femmes. Et ceux qui disent qu’ils n’étaient pas au courant sont des menteurs. »

– l’autre, Yannick Olland, sur l’antenne de Radio Monte Carlo, dans l’émission « Carrément Brunet », révélant des comportements très déplacés de Dominique Strauss-Kahn, dans des avions, auprès d’hôtesses de l’air… et, toujours dans le cadre de dite même émission, une certitude.. « Selon le personnel d’air France, Dominique Strauss-Kahn serait un client difficile avec des gestes déplacés au point d’avoir été giflé par une hôtesse de l’air qui aurait porté plainte », vite, voire trop vite, démentie par Air-France et les syndicats d’Air-France car « la justice et les médias étant silencieux à son sujet, qu’elle dévolution a été donnée à cette plainte… ? As-t-elle était classée sans suite ? Des pressions ont-elles été exercées sur l’hôtesse de l’air afin qu’elle soit retirée… ? »


A cet effet, outre « Le Parisien, La Dépêche, le NouvelObs, le Télégramme, l’Express, Le Figaro, Paris Match, Europe1, etc…. », « Atlantico », comme ses confrères de l’Information à l’unisson, porte à connaissance de ses lecteurs que « Les avocats Kenneth Thompson et Douglas Wigdor disposeraient déjà de deux témoignages, dont cette lettre postée du Canada le 17 juillet qui accuse : ‘La compagnie Air France dispose de quelques centaines de griefs émanant de clients, employés, membres d’équipage à l’encontre de l’homme soupçonné d’avoir abusé de votre cliente Madame Diallo’. Mais les incidents évoqués n’ont jamais laissé de traces judiciaires. » Mais, Europe1, du groupe de presse Lagardère, les asseyant sur une déclaration d’un représentant syndical s’exprimant sous le sceau de l’anonymat, nuance ses propos et les assimile à la rumeur « Qui plus est, le syndicaliste du SNPNC affirme n’avoir jamais eu connaissance de comportement inapproprié de la part de DSK. Ce que confirment les autres syndicats d’Air France ; ‘Il y a eu des rumeurs sur des blogs tenus par des hôtesses mais ce ne sont que des rumeurs, aucune plainte n’a été déposée’… Enfin, les cinq organisations de personnel contactées indiquent n’avoir jamais été approchées par les avocats de Nafissatou Diallo. »


Dans l’Affaire Nafissatou Diallo, la presse française, – Hachette(9) détenu par le groupe Lagardère(10), Amaury(11) dont 25 % détenus par Hachette, Marie-Claire(12) dont 42 % détenus par Hachette et La Vie/Le Monde(13) dont 15 % sont détenus par Groupe Lagardère -, et quelques tabloïds américains – d’appartenance à la branche d’activité Lagardère Publishing, d’une part, et, d’autre part, à son partenaire Groupe Hearst Corporation et à son ami Murdoch -, ne cessent de relever et d’étaler, jusqu’à l’ivresse que génère la malignité d’un travail ordonnancé et planifié de destruction systématique, dans leurs colonnes, de soi-disant mensonges. Dans leur objectif primaire ne s’embarrassant pas de préjugés, Nafissatou Diallo, la soubrette guinéenne du Sofitel, doit être discréditée, humiliée, décriée et dénigrée – des propos à la limite de la calomnie car contraires à la loi états-unienne qui interdit de parler et d’étaler, en public, le passé d’une plaignante, un passé, – de fait -, étranger à la procédure pendante -, aux yeux de l’opinion publique et auprès du procureur Cyrus Vance, du Juge et du Grand Jury et, éventuellement, des futurs jurés, pour que soit lavé, de tout soupçon, l’homme-providence à qui la Présidence de la République, d’après les sondages, tendait les bras..


Ainsi, alors que les médias français, arguant que la loi française s’oppose à la divulgation de la vie privée d’un homme politique, s’interdisent de traiter des « frasques » de Dominique Strauss-Kahn, aucun d’entre eux n’hésite, au différent, à violer la loi américaine pour voler au secours d’un présumé innocent accusé de viol qui présente une « vie sexuelle complexe », certains journaux même évoquant, s’appuyant sur des dires de personnalités scientifiques parisiennes, au-travers d’amitiés, triées sur le volet, une maladie, – qui est un état morbide -, « abracadabrante », la sexomnie(14), – ou déni de viol et d’abus sexuels -, une physiologique assimilable à une forme de somnambulisme à caractère sexuel. Et que la presse, affiliée au groupe Lagardère, évoque le sujet, laisse à penser à une manœuvre et à une diversion mise en avant par les communicants de Dominique Strauss-Kahn car, si une personne présente des troubles sexomniaques, c’est par le fait, qu’au cours de ses sommeils paradoxaux, elle gratifie son corps et ses parties intimes d’auto-attouchements.


Pour se persuader à l’idée que les médias français, des groupes Lagardère, Amaury, Marie Claire et La Vie/Le Monde, suivis comme leur ombre par « une presse bobo parisienne de gauche aux ordres(5) », sont tout simplement complices d’une manipulation éhontée afin de disculper Dominique Strauss-Kahn, il est impératif de se pencher sur les publications quotidiennes de la presse américaine non affiliée aux groupes Lagardère Publishing, Hearst Corporation et Murdoch, et de suivre le dossier judiciaire new-yorkais de Dominique Strauss-Kahn et celui, médical, de Néfissatou Diallo. Et il n’est nullement à oublier que, parallèlement à l’Affaire NafissatouDiallo/Dominique Strauss-Kahn qui est instruite aux États Unis, en France, ses avocats ont à faire face à la plainte déposée, par Tristane Banon pour « tentative de viol », le 05 Juillet 2011. Il est aussi à remarquer que les mêmes médias français agissent à l’identique à l’encontre de la plaignante. Et plus captieux et chafouin, alors qu’elle argue qu’elle est tenue, pour ne pas contrevenir à la loi, au secret sur la vie privée de Dominique Strauss-Kahn, elle fait fi de cette même loi quant il s’agit de dévoiler, au grand jour, celle de la jeune journaliste, allant même à publier des photos insidieusement jugées « compromettantes. »


Aux circonvolutions données à ces deux affaires par la horde de communicants qui s’acharnent, par tous moyens, même les plus illicites, le livre de Pascal Boniface(15), « Les Intellectuels faussaires : Le triomphe médiatique des experts en mensonge(16) », donne un piquant exemple de fourberies médiatiques. L’auteur n’hésite pas à y déclarer et à y affirmer : « Il est vrai qu’il aurait pu être écrit depuis longtemps. J’attendais que quelqu’un s’en charge. Cela n’est pas venu. J’étais de plus en plus agacé de voir ces mensonges et contre vérités défiler en boucle, ne pas être contredits. Voir ces faussaires triompher médiatiquement, alors que nombreux étaient ceux qui connaissaient leurs failles, devenait difficile à supporter ; je me suis donc attelé à la tâche. Les multiples réactions positives que je reçois montrent que, pour le public également, le moment était venu. »


La galerie des « experts en mensonge » dont il brosse le portrait, dans son ouvrage de vulgarisation politico-médiatique, – Bernard-Henri Lévy qui, en novembre 2006, soutint Dominique Strauss-Kahn lors de la primaire interne du Parti socialiste et qui rejoignit Ségolène Royal dès le premier tour de la présidentielle du printemps 2007, Caroline Fourest, Alexandre Adler membre de la Commission Trilatérale, François Heisbourg Directeur puis Conseiller spécial de la Fondation pour la Recherche Stratégique, Philippe Val directeur de la publication et de la rédaction du journal Charlie Hebdo de 1992 à mai 2009 et, depuis le 17 Juin 2009, nommé par Jean-Luc Hees, directeur de France Inter et quelques autres –, est, de toute évidence, incomplète.


Aussi n’est-il nullement douteux de penser qu’un trait d’union relie les deux affaires, – Nafissatou Dallio et Tristane Banon -, afférentes à « la complexité de la vie sexuelle de Dominique Strauss-Kahn » : l’échec cuisant, au grand dam de toute la classe politique française et tout particulièrement des caciques du Parti Socialiste, des consultants d’Euro RSCG C&O attachés aux basques de Dominique Strauss-Kahn. La première erreur fondamentale, ils l’avaient commise en Février 2003 quant ils avaient laissé seul leur patron en face d’une jeune journaliste qui était venue l’interviewer en vue de la rédaction d’un ouvrage « Erreurs avouées…(au masculin) » Nulle plainte n’avait été déposée à cette époque car Emmanuel Pierrat et la direction du Parti Socialiste, d’une part, et, d’autre part, sa propre mère sur des conseils avisés d’un membre respectable et haut responsable du Parti dont elle était l’une des élues, avaient dissuadé Tristane Banon, de s’engager dans lune procédure judiciaire. La seconde erreur, la plus cinglante, ayant débouché sur une interpellation et un emprisonnement, est celle du Sofitel de New-York.


Notes.


(1) « Enquête Lagarde: chronique d’une honte nationale annoncée », AFP, le Point du 05 Août 2011

(2) Le Nouvel Observateur « DSK: un coup de tonnerre qui risque d’être un coup d’arrêt » du 15 Mai 2011 et du RTL info.be « Le côté séduction est son talon d’Achille » du 16 Mai 2011

(3) « Bientôt la fin de l’omerta médiatique française sur la vie privée des puissants ? », Le Point du 18 Mai 2011.

(4) « L’étrange omerta des médias sur le cas DSK », Christophe Deloire, directeur du Centre de formation des journalistes, Le Monde du 16 Mai 2011.

(5) L’avocat Emmanuel Pierrat explique « avoir été approché par une femme gravitant dans le milieu politique, qui avait répondu à une annonce censée améliorer sa situation professionnelle. Confrontée à des avances pressantes du politicien, elle a pris la poudre d’escampette avant que les choses ne dégénèrent… », Le Temps, du 7 novembre 2008. Il divulgue, lors d’un autre interview qu’il « a dissuadé  plusieurs femmes de porter plainte » contre Dominique Strauss-Kahn aux motifs « harcèlement sexuel et tentatives de viol » et avoue « avoir dissuadé plusieurs femmes… », – dont Tristane Banon en 2003 -, « …voulant porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn suite à une drague lourde… parce qu’il est trop bien protégé… et que l’opprobre aurait été jeté sur elles par une presse bobo parisienne de gauche aux ordres… »

(6) « Des militantes du PS et des beurettes auraient été les victimes de DSK » dans « Son entourage redoutait le pire », France Soir du 18 mai 2011 : « … les affaires se seraient succédées en France et à l’étranger. La quasi-totalité n’aurait jamais débouché sur le plan médiatique ou judiciaire… se seraient déroulées en l’absence totale de la moindre procédure de police ou judiciaire ainsi que de la moindre allusion dans la presse. Elles auraient eu pour victimes plusieurs jeunes femmes, dont des militantes du PS et des Beurettes… Toutes ces affaires se seraient réglées à l’amiable entre les parents de ces victimes et des responsables du PS. Ces derniers auraient réussi à calmer, avec beaucoup de difficultés, ces sympathisants socialistes, – certains s’étaient armés d’une hache ou d’un couteau, selon notre source -, les persuadant de ne pas déposer plainte. »

(7) « DSK : le camp Diallo drague les hôtesses d’Air France », Arlantico du 04 Août 2011.

(8) « Air France n’a pas donné d’instruction pour DSK », Lexpress et Europe 1 du 04 Août 2011.

(9) Groupe Hachette : La Provence, Nice-Matin, Corse-Matin, La Dépêche du Midi, L’Humanité, Le Journal du Dimanche, Ici Paris, France Dimanche, Télé 7 jours, Paris Match, Elle, Elle déco, Elle à table, Elle Paris, L’Auto. Classique, Union ; Parents, Top famille, Onze, Le journal de Mickey, Entrevue, Pariscope, Première, Jeune et jolie, Bon voyage, TV Hebdo, Version Femina, Maximal, Zurban, Psychologies, Auto-Moto, Automobiles classiques, Public, Choc.

(10) Lagardère, – affilié au Cercle de l’Industrie co-créé par Dominique Strauss-Kahn en 1993 -, est un groupe média dirigé par Arnaud Lagardère. Il est implanté dans près de 40 pays, – dont aux Etats-Unis qui sont un pays stratégique pour le groupe Lagardère Active, puisque c’est le deuxième pays contributeur en terme de chiffre d’affaires, après la France -, et se structure autour de quatre branches d’activités distinctes et complémentaires : Lagardère Publishing, – livre et e-publishing -, Lagardère Active, – presse, audiovisuel, radio, télévision, production audiovisuelle, numérique et régie publicitaire -., Lagardère Services, – travel retail et distribution de presse -, et Lagardère Unlimited, – sport et entertainment -.

Ses dirigeants en sont : Arnaud Lagardère, Associé-Commandité, Gérant de Lagardère SCA, Président du Comité de Direction de Lagardère Unlimited : Philippe Camus, Co-gérant de Lagardère SCA ; Pierre Leroy, Co-gérant de Lagardère SCA ; Dominique D’Hinnin, Co-gérant de Lagardère SCA ; Thierry Funck-Brentano, Co-gérant de Lagardère SCA ; Ramzi Khiroun, Porte-parole de Lagardère SCA, Directeur des Relations Extérieures et communiquant, – avec Gilles Finchelstein, Anne Hommel et Ramzy Khiroun emmenés par Stéphane Fouks -, de la Société « Euro RSCG C&O » ; Arnaud Nourry, Président-Directeur Général de Hachette Livre ; Didier Quillot, Président du Directoire de Lagardère Active ; Jean-Louis Nachury, Président-Directeur Général de Lagardère Services ; Gérard Adsuar, Directeur Financier Adjoint de Lagardère SCA ; Norbert Giaoui, Directeur Juridique de Lagardère SCA .

(11) Groupe Amaury : Le Parisien/Aujourd’hui ; L’Équipe ; France Football ; Tennis magazine ; L’Écho républicain ; À nous Paris ; La République du centre.

(12) Groupe Marie Claire : Marie-Claire : Marie-Claire Maison ; Marie-Claire Idée ; Cosmopolitan ; Marie-France ; Avantages ; Famili ; Idées et jardins ; Cuisine et Vins de France ; Mods.

(13) Groupe La Vie/Le Monde : Le Monde ; Le Monde de l’éducation ; Le Monde Diplomatique ; Témoignage chrétien ; Le Monde2 ; Midi Libre ; L’Indépendant de Perpignan ; Centre presse ; Manière de voir ; Courrier International ; Les cahiers du cinéma ; Le Temps de Genève ; Télérama ; La Vie ; Top famille ; Ulysse ; etc…

(14) La sexomnie est un « état physiologique » qui concerne tant les hommes que les femmes. Dans leur sommeil, ces « malades dormant » gratifient leur corps d’auto-attouchements sexuels. Et, dans le cadre de certaines procédures judiciaires, certains prévenus ont essayé de justifier des viols en invoquant cette maladie. Trois d’entre eux ont été, à cause du doute, relaxé au cours d’un premier procès mais ont été condamnés, en finalité, en appel, les experts entendus déclarant que leurs cas, « attouchements et viol sur un tiers » ne correspondaient pas à la définition de la sexomnie « qui ne concernent que des auto-attouchements en état de sommeil paradoxal. »

(15) Pascal Boniface travaille de 1986 à 1988 auprès du groupe parlementaire socialiste à l’Assemblée nationale. Dans le même temps, de 1988 à 1992, il est conseiller dans les cabinets ministériels de Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de la Défense, puis de Pierre Joxe lors de ses ministères de l’Intérieur et de la Défense.

En 1990, il crée et dirige l’Institut de relations internationales et stratégiques, – IRIS -, un des principaux centres français de recherche en ces domaines, et un think tank à la française dont Pascal Lamy, – Directeur Général de l’Organisation mondiale du commerce, membre du Parti Socialiste, membre du Board de l’Institute for East West Studies jusqu’en 1995, membre du Conseil d’administration de l’Overseas Development Council, membre de la RAND Europe Advisory Board, membre de Bilderberg, membre de Notre Europe, membre du Comité d’orientation scientifique de l’association À gauche en Europ fondée par Michel Rocard et Dominique Strauss-Kahne, membre du Conseil d’Orientation de l’association En Temps Réel, membre du conseil d’administration et du Praesidium du laboratoire d’idées Les Amis de l’Europe, membre du comité consultatif de Transparency International, et fut membre du Bureau et trésorier de l’association Transparency International France, membre du Bureau de l’association Le Siècle dont il a été trésorier. -, en est un des Présidents d’honneur.

(16) « Les Intellectuels faussaires », Pascal Boniface, Jean-Claude Gawsewitch Éditeur, Mai 2011. Sans compter Grasset, Denoël, et quelques autres, – Pascal Boniface connaissant par avance la réponse négative ne les ayant pas sollicités -, quatorze éditeurs ont rejeté le livre. L’auteur déclare, à ce sujet « Cela montre bien le poids des connivences dans le milieu éditorial et, d’un certain côté, le non-respect du public auquel on dénie une variété de choix. Il y a là un vrai problème sur le plan démocratique. »

 

Suite de l’article : « Plus pourri que moi, je meurs… », Acte XIV : Politiques, justice et communicants 3

 

Précédents articles concernant le même sujet :

« Plus pourri que moi, je meurs… »

« Plus pourri que moi, je meurs… » Acte II : Les politiques, la justice et les think thanks 1.

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte III : Les politiques, la justice et les think thanks 2.

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte IV : Les politiques, la justice et les think thanks 3.

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte V : Les politiques, la justice et les think thanks 4.

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte VI : Femmes, vieilles affaires et communicants 1

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte VII : Femmes, vieilles affaires et communicants 2

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte VIII : Femmes, vieilles affaires et communicants 3

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte IX : Femmes, vieilles affaires et communicants 4

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte X : Femmes, vieilles affaires et communicants 5

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte XI : Femmes, vieilles affaires et communicants 6

« Plus pourri que moi, je meurs… », Acte XII : Politiques, justice et communicants 1