Depuis quelques temps, la population commence à s’éveiller face à de graves problèmes de société. À l’heure actuelle, l’un des plus criants est la difficile accessibilité à des soins de santé. Le problème se situe plus précisément au niveau du manque de médecins.
En effet, la situation ne va pas en s’améliorant. De plus en plus de gens doivent faire la file à l’urgence car ils n’ont pas de médecin de famille et donc, les files se font de plus en plus longues. Il est cependant à noter, que les retards dans les urgences ne sont pas dûs à des travailleurs non fonctionnels mais plutôt au manque de main-d’œuvre par rapport à la quantité d’ouvrage. Pour régler ce problème, notre gouvernement a eu la brillante idée récemment d’inciter les jeunes médecins à s’orienter vers la médecine familiale plutôt que vers des spécialité telle la chirurgie. Le problème, c’est que cela ne viendra pas résoudre la situation. La population est sans cesse grandissante et la masse, « baby-boomers », est vieillissante. D’ici peu de temps, ces gens auront besoin d’encore plus de soins médicaux. Si la tendance se maintient, ils ne parviendront pas à obtenir un suivi adéquat. Il serait donc important de revoir nos priorités. Les universités, à elles seules, ne peuvent augmenter le nombre d’admissions, à moins d’une hausse importante des frais de scolarité. Ces institutions ont donc besoin du support monétaire du gouvernement.En cette veille d’élections provinciales, il serait bon de voir quels partis iraient de l’avant dans ce problème. Il y a plusieurs options possibles : par exemple, au lieu d’acheter des votes avec une baisse de un pourcent des taxes, peut-être serait-il intéressant d’investir ce pourcentage dans une augmentation du nombre de places disponibles pour les étudiants, en médecine.En ce moment, au Québec, la FMOQ dit qu’il manque environ 760 médecins de famille. Selon eux, une autre solution pourrait être d’augmenter le revenu des médecins afin de les inciter à faire plus d’heures, ainsi que leur joindre une infirmière.La plupart des québécois et québécoise éprouvent de la difficulté à avoir un médecin c’est pourquoi il est primordiale de dénoncer cette situation en période électorale afin d’inciter les partis à trouver la meilleure solution possible. (sources : FMOQ)
Au Canada aussi !
Bien vu cette information matt_evil101 cela prouve que nous ne somme pas les seuls
Votre texte mériterais d’être un peu plus aéré s’est bourratif a lire. 😉