Un nouveau concept a été mis en place par les japonais. Le but, payer ses achats grâce à son doigt, sans avoir recours à sa carte de crédit ou tout autre moyen de paiement.
Impossible me direz-vous et pourtant, le groupe Hitachi et la société de crédit JCB se sont lancés ce défit.
Une expérimentation va être lancée en septembre pour valider le concept qui pourra concerner différents acteurs tels que les commerces, les banques et autres prestataires de services. Ici, ça permettra au client de régler ses achats par le simple passage de son doigt au dessus d’un lecteur qui captera l’image du réseau vasculaire. Les données seront retranscrites informatiquement et comparées à la base de données de JCB, ce qui permettra le paiement immédiat par virement, du compte du client au prestataire. Cependant, cela et possible uniquement si l’empreinte a été enregistré par JCB. Ce système a déjà fait ses preuves, il est utilisé par les méga-banques nippones, la biométrie permet de lutter contre les fraudes et est totalement fiable. Le client n’a plus besoin de se promener avec sa carte de crédit, les vols sont donc impossibles, chacun retrouve un sentiment de sécurité notamment dans les grandes villes.
Vive la technologie
Bonsoir, jadis 3000 ans avant Jésus-Christ les Babyloniens ont déjà utlisé l’anthropométrique (téchnique de mesure des différentes parties du corps humain), avec les empreintes digitales sur les sceaux. Plus tard, les Chinois et les Européens. Aux 19 siècles par Francis Galton en Angleterre pour classer les populations. Ces applications existes depuis bien longtemps, en Afrique du Sud, pour obtenir ces billets de banque, on ne présente plus sa carte, mais on pose son doigt sur un détecteur. Le FBI recense plus de quarante millions d’individus, sur image numérisées des doights.
La révolution d’aujourd’hui, n’est pas vraiment une révolution, mais plutôt une évolution des systèmes utilisés, en réalité la biométrie face à la carte bleu a un avantage indéniable, c’est celui de pouvoir tracer la population plus précisement, qu’une carte est volatile et reproductible.
La biométrie ce n’est point une nouvelle téchnologie. Par contre Big Brother…
on se dirige vers « Babylone, la grande », mon cher VARTAN.
Jusque dans les années 1980, la biométrie était utilisée dans les affaires judiciaires, par les polices des grandes nations, afin de retrouver des criminels. Seulement à partir de cette date,les premiers ségement, d’usage public et privée sont devenues accessible, grâce au coût de revient : dans les cantines scolaires, les banques…
Finalement, les attaques menées contre Irak, ou dans pays tiers, n’est pas vraiment le problême d’état, mais un judicieux plan machiavélique, de mettre en oeuvre une pression psychologique, dans un état de terrorisme. Le pretexte pour crée des lois et mettre en oeuvre des systèmes de surveillance beaucoups plus sophistiqués. Aucune étude n’a fait l’objet, la belgique a été montré du doigt, pour s’empresser de mettre en place un système de défense contre le terrorisme. Alors qu’aucune étude ne démontre que tel ou tel pays nécessite cette structure, Vautier.
Je suis bien d’accord avec vous VARTAN/ TOUT CELA, C’EST DE LA MANIPULATION AVANCEE !!!!