Voilà ! On y arrive ! la fin de l’année est proche… Et pourtant ce n’est pas la fin de nos soucis. On a l’habitude de faire la fête en cette période pour oublier le passage à une autre année en espérant que celle qui s’annonce sera meilleure que celle qui se termine.
Pourtant, tous les indices nous disent que celle à venir sera pire… On commence à en voir les grandes lignes ; elles se matérialisent petit à petit.
Il n’est pas toujours facile d’avoir le moral quand on regarde autour de soi ! Souvent, sans aller bien loin, dans sa famille quand on fait le bilan de l’année passée… Que de tristesse, que de problèmes non résolus, que de soucis passés et à venir…
Les personnes que l’on croyait à l’abri, un neveu qui a des problèmes et qui apparait régulièrement pour se plaindre, une soeur qui crie à l’aide après un héritage dilapidé en quelques semaines, un fils qui nous oublie et j’en passe.
Comment réussir à tout concilier ? Comment faire pour aider chacun sans tomber dans l’assistanat ? Comment simplement oublier ?
On se croit à l’abri des problèmes parce que l’on est bien dans sa tête, parce que l’on est content d’avoir du travail, que son couple va bien. On oublie dans ces cas-là qu’il y a près de soit des personnes qui pensent avoir besoin d’aide.
Et si on veut les aider, qu’elles refusent ? Comment concilier l’agréable de sa propre vie avec la détresse qui apparait régulièrement ?
Que de questions qui restent sans réponse ! On ne peut non plus être Soeur Thérésa tout au long de l’année, on ne peut remplacer un banquier, un médecin ou un foyer d’accueil.
Même si on fait bonne figure devant les autres, il y a souvent une fêlure, un serpent qui rôde et n’hésite pas à apparaitre au moment opportun.
Pourtant, on se dit qu’il faut continuer à sourire, à vivre, à participer sachant que quelque chose va arriver on ne sait jamais quand.
Quoi faire contre la mauvaise foi et contre les gens qui estiment avoir toujours raison et pensent avoir fait le bon choix ?
Si on fait le bilan de l’année passée, on se rend compte que les périodes difficiles sont souvent plus nombreuses que les périodes dites calmes et détendues. Après cela, on se demande pourquoi on se sent si fatiguée et si stressée !
Allons, encore quelques heures et on oubliera sans doute l’année qui est passée si vite qu’on en oublie une partie des périodes difficiles. On se dit que l’année à venir même si elle se présente mal sera peut être meilleure. Ne dit-on pas que l’espoir fait vivre ?
Alors, pour quelques heures essayons de ne penser qu’au positif de sa vie, essayons d’oublier ceux qui nous pourrissent la vie par des mots méchants, de petits pics qui atteignent si bien leur but, des remarques désobligeantes ou une hypocrisie sans nom. Pensons un peu à nous pour une fois, juste pour quelques heures.
Sans commentaire, la chanson parle toute seule.
Bisous madalen, et « Haut les coeurs »
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Merci Sophy, et merci encore pour la chanson de Pierre. J’en ai bien besoin 😉
[b]Oh! Madalen! que lis-je ? un petit coup de spleen ? Et si je vous embrassais gentiment sans autre forme de procès ?
Bonne fin de fêtes ![/b]
Bonjour Madalen.
Le bonheur a chaque instant de la vie,au quotidien,c’est improbable.Pour être heureux faudrait vivre amoureux sans cesse et là plus rien ne compte dans ces moments là,mais c’est encore improbable.
Se morfondre sans cesse n’aboutit a rien,faut toujours aller de l’avant.
Le temps est notre meilleur atout en quelque sorte,même s’il est assassin !
Et comme le disait Jacques Brel:
« On oublie rien de rien ,on n’oublie rien du tout,on s’habitue,c’est tout !
Bye et bonne fêtes de fin d’années,si,si sincèrement,restez cool…
merci beaucoup c’est gentil. Hélas il y a toujours quelqu’un pour mettre le moral à zéro !! heureusement que je suis d’un naturel optimiste et que la bonne humeur revient vite.
Merci zelectron, je vous embrasse aussi.
Merci Humaniste, mais pas facile de s’habituer….surtout quand le problème revient régulièrement. 😉
Madalen, ne te laisse pas faire, Zelectron est un « coquin ».
Je plaisante bien sûr !
C’est un ami sûr et toujours de bonne humeur !
Tout le monde peut avoir un coup de blues à un moment ou un autre… des soucis parfois remontent à la surface… merci de votre soutien..bises à tous
Bizarre Madalen, qu’en lisant votre article je constate que vous décrivez exactement ce que je ressens en ce moment.
Est-ce dû à l’hiver pluvieux ? Ou tout simplement le hasard ? Plus le temps passe, plus j’avance en âge et plus il m’arrive de broyer du noir en des moments où l’on est censé être joyeux, la période de fêtes, mon anniversaire ou autre. Par contre je constate me sentir beaucoup plus légère le reste du temps, dans la vie de tous les jours. Bizarre? …vous avez dit bizarre ?
Cette période de l’année avec un ciel très bas, des nuits interminables, les souvenirs d’enfance qui remontent n’est pas très gaie, en réalité, à part pour les enfants!
Bon courage Madalen!