On apprend qu'une paisible mère de famille vient de s'attirer les foudres de Madame N… M… pour l'ignoble crime d'avoir proféré à son égard, sur un site Internet, une appréciation jugée offensante : « Ouh la m… ».

A ce compte, « attendez-vous à savoir » (la formule servait d'antienne, voici bien un demi-siècle à une chroniqueuse du France Inter d'alors, Madame G… T…, en introduction de son émission En direct avec vous), qu'une ancienne animatrice de télévisions au petit nez retroussé, D…, envisagerait de se réfugier dans un pays n'ayant pas conclu de convention d'extradition avec la France, pour échapper aux conséquences de son évidente complicité par prétérition.

 

Vous comprendrez donc que, dans le prudent souci d'éviter de me retrouver acculé à une telle extrémité, je fasse preuve de la plus extrême prudence dans les lignes qui suivent !

Qu'on ne compte pas sur moi pour revenir sur l'apostrophe attribuée au P… N… S… lors de sa visite au S… de l'A… (« C…-toi, pauv' c… ! »), ni même, sait-on jamais, pour rappeler que dans une situation semblable, son illustre prédécesseur, le P… J… C…, avait réagi au « C… ! » de son agresseur verbal par une réplique tout aussi cinglante, mais non dénuée d'humour : « Enchanté ; moi c'est C… ».

Qu'on ne s'attende pas non plus à ce que je revienne sur l'incident survenu pas plus tard qu'hier soir sur les écrans de F…, par lequel deux personnages (par souci de clarté envers ceux des lecteurs qui n'auraient pas vu l'émission, il s'agit de F… B… et de D… C…-B…) se sont envoyé des noms d'oiseaux à la figure, le second jugeant le premier m… et le premier rétorquant par une accusation d'i…

Qu'on ne cherche pas davantage à me faire dire que le procureur C…, très injustement insulté dans un courrier anonyme où il était traité de s… et de c… (encore !), aurait de sa propre initiative, et à son seul bénéfice, mobilisé de gigantesques moyens de la section criminelle de la PJ pour en identifier l'auteur (voir Mediapart http://www.mediapart.fr/journal/france/040609/deux-lettres-font-deraper-le-procureur-courroye).

Qu'on n'aille surtout pas imaginer que je pourrais me risquer au moindre commentaire sur le fait qu'un ancien M… de P… (J… T… et son épouse X…, pour être précis) a fait appel d'une décision de justice rendue au bout de 12 ans de tergiversations et que, cet appel étant suspensif, il pourra continuer de plastronner comme si de rien n'était.

Qu'on ne rêve pas de me voir ironiser sur le cynisme avec lequel les époux B… (P… et I…), qui régentent la ville de L…-P…, affichent leur non-lieu de manière aussi ostentatoire que Madame R… D…, G… des S…, exhibe des tenues griffées D…, B… ou K…

Qu'on m'oublie s'il s'agit de railler X… B… pour son l… pastiche de karaoké dans son clip électoral !

Ah quel flair ont eu Thierry Le Luron, Pierre Desproges, Coluche de nous quitter avant que nos éminences se découvrent un épiderme tellement sensible !

Ouh là ! Je prends des risques ! Et j'en fais courir aussi à F… B…, responsable du site C…4N… ! Je rectifie donc illico : avant que nos é… se découvrent un é… tellement s…

J… v… s… u… b… j…

PS1 : si ce billet devait susciter les commentaires de J…, de V… ou même de D… D…, je leur suggère d'user de la même prudente stratégie

PS2 : je ne réclamerais aucun droit d'auteur si C…4N… décidait d'ériger en jeu-concours le décryptage des …