Le nouveau logo « C4N », moins chargé que le précédent, représente une notable amélioration.
Il n’est pas encore vraiment « tip-top » mais je m’en satisferai.
Je remercie donc celle ou celui qui a procédé à cette évolution bienvenue.

J’ai bien sûr conservé (sur mon portable) ce que j’imagine avoir été le logo initial de Come4News (rectangulaire, avec des effets de dégradé), ainsi que son successeur, très proche de l’actuel, mais plus « chargé ».
En l’état, le dernier né est convenable.

 

Il est judicieux de ne pas désorienter et donc de conserver les fondamentaux d’un logotype, du moins tant qu’il n’y a pas lieu de communiquer sur des changements majeurs.

 

L’option est donc bonne, mais tant qu’à faire, autant consentir un léger effort supplémentaire, si l’envie en prend.

Deux choses « sautent » aux yeux.
C’est d’une part le choix d’avoir des obliques supérieures parallèles tandis que les inférieures (sous la barre et la hampe descendante du 4) ne le sont pas.
C’est peut-être une option raisonnée, mais peut-être découle-t-elle d’une mise en valeur de ce chiffre central dont il semble que la barre ait été sciemment alignée sur la ligne de base du C et du N.

Un logotype se réalise sous un logiciel de dessin vectoriel (Adobe Illustrator, Corel Draw…) en ayant ou non recours à des polices de caractères pour s’épargner d’avoir à en dessiner chacun. Bien sûr, le dessin à main levée, puis soigneusement mis au point, peut convenir : sa numérisation peut suffire, sans intervention ultérieure.

Le parangonnage n’a plus tout à fait le sens qu’on lui donnait aux origines de l’imprimerie au « plomb » à l’aide de caractères mobiles, le terme est devenu quasi-synonyme d’égalisation, voire de réglages des approches entre les caractères.

Le C « colle » un peu trop à la forme incluse d’un bleu plus soutenu, et il conviendrait d’y légèrement remédier. Sans doute en réduisant de très peu le volume de cette forme à gauche.

Le choix de la police utilisée pour l’intitulé Come4News n’est pas mauvais, à cela près que le W chasse beaucoup trop. La solution consisterait à le reprendre sous un logiciel vectoriel. Et sans doute, ensuite, de le détacher légèrement du E de « News ».

Pour les titres, il est souvent recommandé de régler les approches des caractères en les espaçant légèrement (ou fortement, si par exemple on assume cet effet). Là, ces caractères semblent trop « serrés ». Peut-être conviendrait-il d’aligner le C de « Come » dans l’axe de celui du C de « C4N » et de procéder à ce que le S se « termine » à la verticale de la descendante du N. Cela se discute au cas par cas pour un logo, l’inverse (resserrement), selon la police employée, le positionnement de l’intitulé, pouvant aussi convenir.

Idéalement, ce qui pose d’autres problèmes graphiques, l’intitulé gagnerait à être « Come4News.com » ou COME4NEWS.COM (le mélange entre capitales et bas de casse n’étant plus déterminant pour les navigateurs actuels). Pour mémoire, le logo antérieur (ici dans sa déclinaison « à la marmotte » due à une proche de Sophy) affichait l’intitulé à l’identique (sans le .com) et j’imagine que ce choix a pu découler d’essais, l’extension (.com) étant difficile à « caser ».

En effet, puisqu’il s’agit d’un site, autant le signifier : un tel logo peut être repris, imprimé, dans le cadre de revues de presse (il convient d’ailleurs de fournir, sur le site, peut-être dans l’espace « presse », un ou des logos utilisables à ce propos).

Imprimé en niveaux de gris, le rouge du 4 devient à peu près équivalent au bleu du C (il est plus foncé, mais de peu). La plupart des enseignes ou marques mettent à disposition des versions couleur et niveau de gris, généralement à 72 et 300 ppp. Mais bon, les conseilleurs n’étant pas les réalisateurs…

Au final, l’amélioration est nette ; si je « chinoise » ainsi, c’est davantage en vue de sensibiliser lors d’une ultérieure refonte du logo (rien ne presse…) que pour inciter à une mise au point graphique dispensable. De plus, pour ce qui importe vraiment, ce logotype « optimisé pour la portabilité » (allégé, passé sous divers formats, .png, .gif., .jpg, en .png 8 bits et 128 couleurs pour le visuel placé ici), « tient la route ».

L’évolution est positive. C’est l’essentiel. Reste à « décentrer » légèrement la marmotte pour voir où elle jouera mieux du coude avec la nouvelle version. Le « siffleux » (autre nom, québécois, de la marmotte, qui siffle pour alerter ses congénères) saura certainement se faire à ce nouveau terrier.