Notre Ami BERIA sur la photo est en compagnie de sa fille sur ses genoux et au fond, nous remarquons le DIEU STALINE.

 Un homme que l’on inviterait pour le Weed-end suivant.

Détrompez-vous ! Ce phénomène est né en 1899 en Géorgie, plus exactement en Abskasie. Serait-ce un Tyran lui aussi ? Pas tout à fait.
Il a accompagné la Tyrannie du DIEU STALINE avec une qualité supplémentaire, d’être un Monstre.

 

 

 

Simple militant soviétique, il devint le pivot central de la mise au pas des citoyens lambdas russes et par la suite, ceux d’Europe Centrale. Simple, sa carte de visitée retrouvée dans les mémoires de Churchill .
Il avait été présenté à Franklin D. Roosevelt par Staline comme « C’est mon Himmler ».
Notre BERIA inventa la paranoïa permanente en créant le NKVD, police politique. Un simple citoyen entrain d’éternuer pouvait être fiché.
Mais notre héros n’était pas qu’une simple marionnette de Staline, il faisait parti du Politburo, organisme central du PCUS, l’éxécutant en sorte du pouvoir éxécutif et législatif de l’URSS.
Il tiendra le premier rôle pour mettre en place le drame comme Khrouchtvev dans la pièce de théâtre: « Les purges staliniennes ».

En général, dans ce genre de club, ils finissent par se manger entrer eux…. C’est parfois pratique!

Le DIEU STALINE eût une idée géniale pour se débarrasser de BERIA par ‘Le complot des blouses blanches » mais cela n’a pas fonctionné. Pourquoi notre ami Staline désirait se passer des services de BERIA ?
Deux hypothèses possibles :

1/ Tout dictateur n’aime pas voir une tête plus intelligente ou moins conne que lui , dépasser dans le rang.

2/ J’en viens à l’un de mes propos cité au-dessus, notre ami BERIA était un monstre et cela commençait à se savoir qu’il aimait « la chair fraîche ». Beaucoup de filles disparurent à l’appel et notre héros avait tendance à pratiquer la chimie en stockant « acide chlorhydrique et chaux vive ».

Mais l’affaire fût conclue avec Khrouchtvev et Gueorgui Joukov. le Premier en sachant bien que BERIA en savait trop sur ses activités passés et le deuxième, bizarrement d’être accusé par le même de vouloir tuer Staline à une certaine période.
Notre ami BERIA eût un procès bidon et reçût en guise de remerciement, une balle dans la peau dans sa cellule. Incinéré et cendres dispersées au gré du vent, 
Souhaitons-nous  paix à son âme ?

Bref, après , Staline, Kroutchtchev , nous pouvons  placer BERIA à la poubelle de l’Histoire.