Les 4 otages français salariés de l'entreprise de même "nationalité" Areva, ont été libérés par leurs geôliers dans la journée de mercredi.
Enlevés dimanche par des rebelles Touareg membres du "Mouvement des Nigériens pour la Justice", mouvement qui lutte pour une meilleure répartition des richesses dues à l'exploitation de l'Uranium (dont le sous sol local est très riche), ces quatre cadres ont été remis au Comité International de la Croix Rouge, connu sous le sigle de CICR.

Leur libération était normalement prévue pour le lendemain (jeudi 26 juin), mais a finalement été avancée. Selon un communiqué de leur employeur "Ils se portent bien et devraient être rapatriés en France très prochainement".

A noter qu'un autre otage, un nigérien a été libéré en même temps que les français. En ce qui le concerne il avait été enlevé plus tôt que ses "compagnons de libération".