Musicothérapie, le bien-être par la musique

 La musique n’est pas une futilité, un simple loisir. Elle représente un langage universel, un Art à part entière. Et lorsque la véritable musique devient le fruit de l’imagination d’un artiste, chaque son produit devient le reflet de ses sentiments, un partage, une thérapie.

C’est en tout cas ce que la musique, en son art le plus pur, représente pour moi. Une thérapie. Qu’elle m’apaise ou qu’elle me permette d’évacuer l’inévitable, elle guérit tous mes maux…

Grâce à mes études et après plusieurs recherches, la musicothérapie est devenue une évidence. Véritable science du bien-être, malheureusement peu reconnue, cette musicothérapie vise à plonger quiconque vers des sensations d’un envahissement sonore régénérateur.

 

 

 

 

 

  Dans un premier temps, la musicothérapie s’est vue être définie par ces bruits de la nature qui dure plusieurs heures, ces bruits de pluie, de vent ou encore de chant d’oiseau. Mais il serait regrettable d’associer véritablement la gracieuse musicothérapie par peut-être ce manque de recherche ou d’intérêt.

 

 

Les chercheurs du CNRS (Centre National de Recherches Scientifiques) se penchent de plus en plus sur le phénomène de la musicothérapie. En effet, grâce à nos oreilles, les molécules étant fabriquées par un son, une musique, vibrent dans l’air afin de créer un influx nerveux qui sera développé dans notre système nerveux central. Ici, le cerveau traduira lui-même chaque mélodie, chaque son, chaque vibration qu’il ressentira face à une musique, pouvant produire divers sentiments ou sensations qui sont propre à chacun.

 

 

Mais la musicothérapie a pour premier but d’apporter un bien-être d’une façon simple et non nocive aux êtres vivants. Pour cela, la musicothérapie aide à contribuer au soulagement de la douleur, à améliorer son humeur, à diminuer toute anxiété, à adopter un sommeil paisible, à stimuler la mémoire, à s’apaiser, se défouler, ou que sais-je encore…

Dans le milieu hospitalier, et notamment dans le cadre des anxiolytiques, près de 150 établissements français emploient des musicothérapeutes que ce soit dans l’accompagnement en fin de vie, pendant un accouchement, en gériatrie, en psychiatrie, face aux dépendances… Elle reste une aide précieuse à ne pas négliger !

 

 

5 réflexions sur « Musicothérapie, le bien-être par la musique »

  1. Re ;D

    A chaque humeur une musique différente,
    à chaque musique un ressenti particulier,
    à chaque état d’âme un son apaisant ou euphorisant…

    Ne dit-on pas qu’elle adouci les mœurs?
    Personnellement, elle me booste, me calme, me défoule, me nourrit et tellement d’autres choses!

    Dans les centres pédiatriques, on passe de la musique aux enfants malades. C’est tellement important et salvateur, sans forcément que l’on en prenne conscience!

    Je rajouterai même que la musique permet d’apprendre à être à l’écoute de soi, je pense notamment aux enfants et ados pas forcément à l’aise avec eux même.

    Merci Lowacam de cette info positive, c’est tellement rare! 😀
    Ange

  2. Article très intéressant et qui m’inspire…Que ferions nous sans la musique? Oui,c’est une véritable thérapie!

    Je vois que mon ange aime aussi la musique!Un bonjour de la vraie mandarine!

  3. Bonjour belle Mandarine!

    Je n’aime pas la musique, elle est en moi, je ne peux pas vivre sans!
    Une vie sans musique est comme une vie sans mot, morne, triste.
    La musique me définie, elle reflète mon état d’esprit. J’ai baigné dedans depuis que je suis toute petite!

    Et les musiciens, chanteurs, auteurs, nous transmettent eux aussi un peu d’eux même à travers la musique.
    La musique rassemble, elle doit être partagée (ou pas d’ailleurs).

    Allez belle Mandarine, un petit poème « musical » à venir?

    Ange

  4. Ange, vous m’intriguez par cette passion qui ressort de vos mots quand vous parlez de musique.
    J’aime et surtout ça fait du bien! 🙂

  5. En tant que musicien je plussoie
    En tant que diplômé bac + trop en musique… la musicothérapie m’a tenté, mais au moment d’en faire un métier il y a dix ans de ça… pfioooo
    Lowacam n’avait pas encore fait son article ;o)

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