Quand on a eu à lutter pour les droits de l’homme et qu’on est devenu prix Nobel de la paix, ce n’est plus facile de se reposer dans ce monde rempli d’inégalité, de corruption, etc.


 Né le 18 juillet 1918 à Mvezo (Afrique du Sud), Nelson Mandela a été le dirigeant historique de la lutte contre le système politique d’apartheid (Séparation, mis à part ». C’était une politique dite de « développement séparé » affectant des populations selon des critères raciaux ou ethniques dans des zones géographiques déterminées) avant de devenir le premier président noir de la République d’Afrique du Sud en 1994 à la suite des premières élections non raciales de l’histoire de ce Pays.


Le 12 juillet 1963, il est arrêté par la police sud-africaine, puis est condamné à la prison (et aux travaux forcés) à perpétuité lors du procès de Rivonia. Dès lors, il est devenu un symbole de la lutte pour l’égalité raciale et a bénéficié des soutiens internationaux croissants.


Il fut fait vingt-sept années d’emprisonnement dans des conditions très dures. Mandela est libéré le 11 février 1990. Vingt-trois ans après, il est à nouveau prisonnier cette fois-ci de son pays en particulier (condamné à rester en vie).


« On reproche à la mort, le fait de vouloir nous l’arracher (lui prendre) et demande à Dieu d’intervenir pour le garder toujours en vie auprès de nous »

Dès que cet homme âgé de 95 ans se sent un peu mal, « On appelle directement un médecin pour réparer l’organe qui déconne et dans le pays, tout le monde panique » les gens courent vers des églises et lieux occultes, etc. pour faire des prières ou des rites secrets de guérisons demandant à Dieu de le maintenir en vie


 « Très souvent, quand on atteint quatre-vingt-cinq ans, on rêve de se reposer en paix auprès des ancêtres. Mais dans le cas de Mandela, il n’a pas droit au repos … ! »     Pourtant, cet homme souffre de la vieillesse