Même si les athlètes français sont loin de l’euphorie des championnats d’Europe de Barcelone en 2010 où ils avaient eu 18 podiums, ils reviennent de Corée la tête haute avec 4 médailles de bronze et d’argent et un record de France pulvérisé sur
Mais cette semaine de compétition a tout de même été très intéressante pour certains de nos athlètes et permet de faire le point sur l’état des troupes avant les Jeux Olympiques de Londres de l’année prochaine.
Si Renaud Lavillenie a paru trop confiant dans le saut à la perche en restant coincé à 5,85, derrière le Polonais Wojciechowski et le Cubain Borges, alors que d’habitude il atteint les
Autre déception, la disqualification de Yohann Diniz au
Par manque d’expérience, Myriam Soumaré a échoué aux portes des demi-finales du
Et puis cette malheureuse Antoinette Nana Djimou, spécialiste de l’heptathlon, diminuée par une vive douleur aux ischios dès la première épreuve, a poursuivi la compétition avec beaucoup de courage, mais a seulement terminé 7e.
Mais cette compétition mondiale a révélé et confirmé d’autres talents, comme Jimmy Vicaut qui est arrivé 6e au
Mahiedine Mekhissi a su tirer son épingle du jeu en terminant 3e au
Enfin Christophe Lemaitre a très nettement confirmé sa fulgurante ascension avec un prodigieux
Même s’il a laissé passer sa chance sur une finale du
Moisson favorable pour les français aux mondiaux d’athlétisme
Moisson favorable pour les Français aux mondiaux d’athlétisme
Ça serait mieux comme cela, mais hélas vous n’êtes pas la seule
Les noms (« gentilés ») désignant les habitants d’un pays, d’une province, d’une localité…. (Note de l’expéditeur : et même donc d’un quartier de grande ville !!!) prennent la majuscule initiale : les Français, les Anglais, les Poitevins, les Parisiens.
Les noms de langues correspondants gardent une minuscule : parler le français, l’anglais, le poitevin…
L’adjectif garde la minuscule : la population française, la cuisine anglaise, le
Marais poitevin, le Bassin parisien.
L’usage est incomplètement fixé et les codes typographiques diffèrent quant au traitement de l’attribut : Il est anglais (adjectif) ou Il est Anglais (nom). L’Imprimerie nationale tranche en faveur du nom, comme on le fait par exemple en allemand (Sie ist Franzüsin).
L’Académie considère que l’on a affaire à un adjectif, que l’on ne dira jamais Elle est Suissesse, mais Elle est suisse, et met donc la minuscule : Ils sont albanais, corses… Elle n’est pas parisienne.
Enfin, on distingue généralement les noms désignant proprement des habitants de leurs emplois dérivés : les Albigeois aiment leur ville ; la croisade contre les albigeois, Cathares du Midi de la France, au XIIe siècle.