Faire l’amour et pas la guerre est le meilleur remède qui puisse exister en temps de crise, surtout quand les caisses de l’état sont soi disant vides au point de faire payer les contribuables. Assez vides pour tourner le dos aux populations les plus démunies qui traversent une phase sombre de leur histoire.

En Syrie on assiste à un massacre à ciel ouvert tandis que la somalie continue d’enterrer ses morts faute de pouvoir leur fournir de la nourriture en abondance. Mais tout ceci peut attendre surtout quand la bourse menace de s’effondrer à tous les étages du marché financier.

 

Les plus grandes puissances se sont baties sur la cupidité. La règle d’or d’un système capitaliste qui trannsforme les riches en gros porteurs et les pauvres en gros rêveurs.

Le capitalisme a ses avantages et le socialiste n’en sort pas mieux diront ils certainement pour leur conscience. Cela justifierait certainement la guerre en Irak !

Derrière la traque acharnée contre Kadafi se cache une réalité outre que les droits de l’homme. Lui qui a posé sa tente au parc de l’hôtel Marigny en décembre 2007. Et quand ils réussiront enfin à le dégager ils mettront certainement une marionnette à sa place dans l’unique but de le soutirer du pétrole à flot en guise de bons et loyaux services.

En attendant Kadafi continue de jouer au chat et à la sourie espérant que les forces de l’OTAN s’épuisent. Il n’a pas tort, pour une fois que les américains ne sont pas en première ligne il peut prendre son temps. Mais la guerre a un prix, 60 millions d’euros rien que la France en seulement trois mois ça laisse à réfléchir.

Il est certain que chaque Etat a ses propres interêts à défendre, il en va même de sa puissance et la survie de sa population. Mais il arrive parfois le que le peuple ne se reconaisse pas dans les interêts de l’Etat. En effet, dans une société où les prix grimpent et ne baissent quasiment jamais il est très difficile de concidérer l’Etat comme un allier.

Le monde avance vite et certains pays ont du mal à suivre la cadence. Le cas de la Grèce n’est pas un exemple isolé désormais nous sommes tous sur la sellette. L’Angleterre a adopté le plan de rigueur le plus drastique de son histoire suivie plus récemment par l’Italie tandis que la France se tâte encore probablement au vu des éléctions qui approchent. Et une fois de plus ce sont les contribuables de ces pays qui payent de leur propre poche.

On peut dire ce qu’on veut des américains notamment le montant faramineux de leur dette plublique, il n’en demeure pas moins qu’ils domine malheureusement le monde à leur guise. En Afrique on dit « Un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle » en ce nous concerne nous pouvons dire « Une grande banque américaine qui ferme c’est l’Europe toute entière qui tremble ». La faillite de Lehman Brothes en 2008 a plongée le monde dans une crise financière dont il préfèrerait éviter sans rechigner. Pourtant aucun salaire de courtier n’a été revu en baisse bien au contraire leurs primes continuent de s’enflammer.

En définitive nous vivons dans un malaise profond et cela ne semble être la faute à personne. Même pas la faute de la mondialisation ni les dirigeants qui occupent la scène politique de ce pays.

Alors qui pour 2012 ? Pour certains la réponse se trouve à Droite, à Gauche ou au Centre. Pour d’autres le simple fait de ne pas voter devient une action à mener, comme pour dire « je ne fais confiance en personne d’entre vous». Car ils sont convaincu qu’en principe qu’il s’agisse de Sarko de Martine de Borlo ou de Bayrou… cela ne changera en rien leur quotidien.

 

Victoire pour le peuple !