A 59 ans, Jean Luc Mélenchon  est devenu l’homme le plus recherché par les Médias.

Il est partout, on n’entend que lui, il met de l’ambiance sur les plateaux télé, dans les radios, de RTL à Europe 1, en passant par France Inter et tient « blog » sur Internet.

Son langage truculent, ses insultes, ses jeux de mots passeront à la postérité et feront le régal des bêtisiers dans les années à venir.

L’incontournable  pourfendeur de DSK, et du PS (en général), depuis qu’il a quitté le Parti en 2008  s’est même « fendu », (langage Mélenchonien oblige), d’un nouveau livre dont le titre en lui même est une véritable provocation : « Qu’ils s’en aillent tous ».

Le livre fait le bonheur de son éditeur Flammarion, qui vient déjà d’en écouler 60 000 exemplaires.

L’histoire ne nous dit pas ce que le  « It Boy » du moment, fait de ses Droits d’auteur….

Cerise sur le gâteau, il vient d’annoncer sa candidature à la Présidence de la République !

Ils commencent à rire jaune, ceux qui se moquaient de lui lors de la création de son Parti de Gauche.

Ceux qui disaient : « il finira aux oubliettes ».

Aux oubliettes ?

Il n’y a pas plus médiatique que Mélenchon :

Invité chez Ardisson,  au Grand Journal, il a même posé ses fesses sur le divan rouge de Drucker.

Tous les médias se l’arrachent.

Ses coups de gueule font grimper l’audience.

Et il en rajoute, en traitant un journaliste de « petite cervelle », en qualifiant Pujadas de « laquais », mais là où le duel est succulent c’est avec Demorand sur Europe1 :

Écoutez le, et regardez comme ces deux là s’excitent mutuellement.

Une vraie scène de vaudeville :

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Mélenchon , le populiste, a compris qu’en ces temps de crise, il est de bon ton, auprès de la population de traiter les animateurs de tous les médias, de nantis, qui ignorent les souffrances de la France d’en bas.

Il tire sur tout ce qui bouge : journalistes, certes, mais aussi footballeurs milliardaires, banquiers, politiciens  (DSK : sa cible préférée !).

Et pourtant notre Méluche  a un point faible : « Les Femmes » !

Déshabillons –les… l’émission de Public Sénat nous révèle un tout autre Mélenchon, qui reconnaît devant  Hélène Risser qui  le met « à nu » , que les femmes lui font peur. (Ou presque).

« Je n’ai pas encore trouvé mon pied avec les femmes ».

A 59 ans, cher Jean-Luc, vous êtes bon pour une psychanalyse !

« Avec elles, je dois tourner sept fois ma langue dans la bouche avant de décocher ma flèche »

à méditer.., allez, allez, un peu d’imagination…

« Avec elles, pas question de castagne  même si ce ne sont pas des petits êtres fragiles. »

Il ne manquerait plus que çà, les coups !

Des caresses même verbales, rien que des caresses..

« Elles vous laissent vous avancer, puis hop, elles retournent la situation. »

Coquin, va !

Une « dure à cuire » : Marie Noëlle Lienemann avec laquelle il a travaillé, et qui ne s’en laissait pas conter :

«  Après la bombe atomique, il restera les cafards et Marie-Noëlle Lienemann »

Goujat !!

Pas assez finaude Marie-Noëlle, ou pas assez  aguicheuse ?

Recette infaillible pour intimider, le tribun du peuple :

Une jolie femme, un beau décolleté, un sourire ravageur, et hop, Méluche succombe, et nous fait grâce de ses insultes.

Populiste, et fragile en même temps ?

Sacré Méluche !!

Vidéo : Ne la ratez pas, non seulement vous retrouverez les phrases telles que je vous les ai retranscrites, mais vous verrez un Mélenchon subjugué par son interlocutrice.

Tout doux et mielleux, gestes à l’appui (qu’il a bien du mal à retenir)

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