merci pour ce témoignage, très clair, il en existe peu sinon dans des sites féministes ou contre les violences faites aux femmes. Mais dans ce genre de témoignages, seules les violences maritales et conjugales sont prises en compte, les maltraitances, liées à des violences à domicile (sous pression de l’entourage),familiales, font exception et ne sont ni liées aux luttes légitimes des associations contre l’esclavage sexuel ni fait reconnu chez les femmes battues toujours par leurs conjoints et compagnons, existent d’autres formes de bourreaux, les parents bourreaux, insidieux, la psychiatrie prenant le relai des tortures endurées, dans des méthodes avouées de la torture médicale, la psychiatrisation des femmes battues, violées, systématique de nos jours, en occident, formes détournées de lynchage et de crime d’honneur des pays du Maghreb, Inde et autres dictats. Pour mieux échanger nos données, je vous invite à visiter mon mur Facebook,ci-dessus
Line Llao
sur 9 juin 2013 à 19 h 33 min
merci pour ce témoignage, très clair, il en existe peu sinon dans des sites féministes ou contre les violences faites aux femmes. Mais dans ce genre de témoignages, seules les violences maritales et conjugales sont prises en compte, les maltraitances, liées à des violences à domicile (sous pression de l’entourage),familiales, font exception et ne sont ni liées aux luttes légitimes des associations contre l’esclavage sexuel ni fait reconnu chez les femmes battues toujours par leurs conjoints et compagnons, existent d’autres formes de bourreaux, les parents bourreaux, insidieux, la psychiatrie prenant le relai des tortures endurées, dans des méthodes avouées de la torture médicale, la psychiatrisation des femmes battues, violées, systématique de nos jours, en occident, formes détournées de lynchage et de crime d’honneur des pays du Maghreb, Inde et autres dictats. Pour mieux échanger nos données, je vous invite à visiter mon mur Facebook,http://www.facebook.com/line.llao1?ref=tn_tnmn
liberti(n)us
sur 10 juin 2013 à 4 h 29 min
Et les religions font grand usage de cette manipulation ….
Mozarine
sur 10 juin 2013 à 9 h 55 min
savant ce texte!
Nathalie M.
sur 10 juin 2013 à 10 h 29 min
Line Llao, je viens de vous faire une demande sur votre page, merci 🙂
C’est vrai que l’on parle beaucoup de violence au sein du couple et moins de la violence « ailleurs ». C’est aussi parce que pendant longtemps c’est resté tabou, comme si ça ne pouvait pas exister entre mari et femme… Tellement de souffrance…Un être humain reste un être humain et quelque soit la personne avec qui elle vit ou qui elle est, le respect se doit.
Vous parlez de la psychiatrie qui prend parfois le relais des tortures. C’est si vrai… J’ai connu une nana, qui n’était pas majeur, ou qui venait de l’être, victime d’inceste, de violence, de viol. Quand elle en a parlé à ses parents, au lieu de la prendre par la main et de l’emmener au commissariat, ils l’ont emmené dans un hôpital psy où elle s’est retrouvée avec des personnes malades, avec des alcooliques, des drogués qui voulaient lui mettre des cachetons en bouche, des pyromanes, des délinquants sexuels qui venaient dans sa chambre en douce. Au lieu de punir ses bourreaux et de la consoler elle pour ce qu’elle avait subi, elle a vécu l’horreur pendant 4 mois jusqu’à ce qu’elle s’enfuit. Oui c’est du lynchage. >:(
Nathalie M.
sur 10 juin 2013 à 10 h 32 min
Libertinus, malheureusement beaucoup de religions agissent ainsi. je ne dirais pas toutes mais beaucoup oui. Je ne sais même pas s’ils arrivent à avoir conscience de ça. Est-ce une formation ancestrale ? Religion est censé vouloir dire relier. A partir du moment où on impose en direct ou de façon sournoise, j’appelle ça secte.
Nathalie M.
sur 10 juin 2013 à 10 h 33 min
Mozarine 🙂
Anton
sur 10 juin 2013 à 11 h 54 min
Malgré des éléments intéressants, il me semble que cette chronique focalise surtout sur la violence de l’homme envers la femme. Certes elle est indéniable et tout à fait inadmissible.
Néanmoins, le contraire existe aussi et est en croissance inquiétante. Or dans ce sens là, le vide juridique est tel que les poursuites ne peuvent aboutir et que de telles pratiques restent silencieuses.
Une autre forme de « violence » : [b]le déni[/b], outil essentiel du développement humain, système de défense primitif pour oblitérer des faits trop stressants que le cerveau humain ne peut gérer. Mécanisme de survie silencieux certes mais non moins redoutable quant aux conséquences parfois tragiques.
Nathalie M.
sur 10 juin 2013 à 15 h 09 min
Anton : La violence des femmes sur les hommes en croissance ? Ah bon ? C’est peut-être de l’auto-défense non ? Bon, maintenant j’imagine une femme d’1,90m avec un homme 1,60 et là effectivement ça peut devenir impressionnant. En principe l’homme est bien plus fort physiquement qu’une femme et donc peut se défendre. Mais imaginons, ça peut être un jeune homme d’une vingtaine d’années, pris d’assaut par une dame de 40 ans frisant les 100 kg. J’ai dû mal à imaginer une femme être violente gratuitement. Je ne nie pas que cela existe mais il y a bien plus de femmes battues que d’hommes battus non ? Chaque année, statistiquement, combien de femmes meurent sous les coups d’un homme et combien d’hommes meurent sous les coups d’une femme ?
Ensuite vous parlez du déni [i] »Mécanisme de survie silencieux certes mais non moins redoutable quant aux conséquences parfois tragiques. »[/i] Pouvez-vous approfondir SVP ?
http://www.facebook.com/line.llao1?ref=tn_tnmn
merci pour ce témoignage, très clair, il en existe peu sinon dans des sites féministes ou contre les violences faites aux femmes. Mais dans ce genre de témoignages, seules les violences maritales et conjugales sont prises en compte, les maltraitances, liées à des violences à domicile (sous pression de l’entourage),familiales, font exception et ne sont ni liées aux luttes légitimes des associations contre l’esclavage sexuel ni fait reconnu chez les femmes battues toujours par leurs conjoints et compagnons, existent d’autres formes de bourreaux, les parents bourreaux, insidieux, la psychiatrie prenant le relai des tortures endurées, dans des méthodes avouées de la torture médicale, la psychiatrisation des femmes battues, violées, systématique de nos jours, en occident, formes détournées de lynchage et de crime d’honneur des pays du Maghreb, Inde et autres dictats. Pour mieux échanger nos données, je vous invite à visiter mon mur Facebook,ci-dessus
merci pour ce témoignage, très clair, il en existe peu sinon dans des sites féministes ou contre les violences faites aux femmes. Mais dans ce genre de témoignages, seules les violences maritales et conjugales sont prises en compte, les maltraitances, liées à des violences à domicile (sous pression de l’entourage),familiales, font exception et ne sont ni liées aux luttes légitimes des associations contre l’esclavage sexuel ni fait reconnu chez les femmes battues toujours par leurs conjoints et compagnons, existent d’autres formes de bourreaux, les parents bourreaux, insidieux, la psychiatrie prenant le relai des tortures endurées, dans des méthodes avouées de la torture médicale, la psychiatrisation des femmes battues, violées, systématique de nos jours, en occident, formes détournées de lynchage et de crime d’honneur des pays du Maghreb, Inde et autres dictats. Pour mieux échanger nos données, je vous invite à visiter mon mur Facebook,http://www.facebook.com/line.llao1?ref=tn_tnmn
Et les religions font grand usage de cette manipulation ….
savant ce texte!
Line Llao, je viens de vous faire une demande sur votre page, merci 🙂
C’est vrai que l’on parle beaucoup de violence au sein du couple et moins de la violence « ailleurs ». C’est aussi parce que pendant longtemps c’est resté tabou, comme si ça ne pouvait pas exister entre mari et femme… Tellement de souffrance…Un être humain reste un être humain et quelque soit la personne avec qui elle vit ou qui elle est, le respect se doit.
Vous parlez de la psychiatrie qui prend parfois le relais des tortures. C’est si vrai… J’ai connu une nana, qui n’était pas majeur, ou qui venait de l’être, victime d’inceste, de violence, de viol. Quand elle en a parlé à ses parents, au lieu de la prendre par la main et de l’emmener au commissariat, ils l’ont emmené dans un hôpital psy où elle s’est retrouvée avec des personnes malades, avec des alcooliques, des drogués qui voulaient lui mettre des cachetons en bouche, des pyromanes, des délinquants sexuels qui venaient dans sa chambre en douce. Au lieu de punir ses bourreaux et de la consoler elle pour ce qu’elle avait subi, elle a vécu l’horreur pendant 4 mois jusqu’à ce qu’elle s’enfuit. Oui c’est du lynchage. >:(
Libertinus, malheureusement beaucoup de religions agissent ainsi. je ne dirais pas toutes mais beaucoup oui. Je ne sais même pas s’ils arrivent à avoir conscience de ça. Est-ce une formation ancestrale ? Religion est censé vouloir dire relier. A partir du moment où on impose en direct ou de façon sournoise, j’appelle ça secte.
Mozarine 🙂
Malgré des éléments intéressants, il me semble que cette chronique focalise surtout sur la violence de l’homme envers la femme. Certes elle est indéniable et tout à fait inadmissible.
Néanmoins, le contraire existe aussi et est en croissance inquiétante. Or dans ce sens là, le vide juridique est tel que les poursuites ne peuvent aboutir et que de telles pratiques restent silencieuses.
Une autre forme de « violence » : [b]le déni[/b], outil essentiel du développement humain, système de défense primitif pour oblitérer des faits trop stressants que le cerveau humain ne peut gérer. Mécanisme de survie silencieux certes mais non moins redoutable quant aux conséquences parfois tragiques.
Anton : La violence des femmes sur les hommes en croissance ? Ah bon ? C’est peut-être de l’auto-défense non ? Bon, maintenant j’imagine une femme d’1,90m avec un homme 1,60 et là effectivement ça peut devenir impressionnant. En principe l’homme est bien plus fort physiquement qu’une femme et donc peut se défendre. Mais imaginons, ça peut être un jeune homme d’une vingtaine d’années, pris d’assaut par une dame de 40 ans frisant les 100 kg. J’ai dû mal à imaginer une femme être violente gratuitement. Je ne nie pas que cela existe mais il y a bien plus de femmes battues que d’hommes battus non ? Chaque année, statistiquement, combien de femmes meurent sous les coups d’un homme et combien d’hommes meurent sous les coups d’une femme ?
Ensuite vous parlez du déni [i] »Mécanisme de survie silencieux certes mais non moins redoutable quant aux conséquences parfois tragiques. »[/i] Pouvez-vous approfondir SVP ?