L’humoriste  Hédi Ouled Baballah condamné le 4 février dernier à «un an de prison et une amende de mille dinar.» pour «détention d’une matière stupéfiante» après avoir été arrêté sur l’autoroute reliant Tunis à Hammamet pour un contrôle de «routine» aurait bénéficié d’une mesure de libération conditionnelle à l’occasion des fêtes de commémoration du 52ème anniversaire de l’indépendance le 20 mars dernier d’après Quods press.

L’arrestation de l’humoriste qui est intervenu après la circulation sur internet d’un enregistrement dune fête qu’il a animé quelques jours auparavant à Sfax et dans laquelle il imitait la voix du président Ben Ali, ce qui à laissé croire à une mesure de rétorsion déguisée. Ces soupçons se sont confortés surtout lorsque on a appris qu’une autre affaire de trafic de fausse monnaie été aussi en cours d’instruction contre lui.

Après la confirmation par la cours d’appel de la peine prononcée en premier degrés des proches de l’humoriste ont révélaient qu’il n’entendait pas faire de recours en cassation contre le jugement alors que d’après d’autres sources on apprenait que l’instruction concernant la seconde affaire serait abandonnée. Ainsi l’annonce de sa libération intervient comme un correction de tir dans la stratégie de répression qui à été adopté au début contre lui.

Cette affaire qui vient confirmer les soupçons de machination politico-judiciaire au lieu de les taire, remet en lumière une autre fois de plus la pendante question sur l’indépendance de la justice en Tunisie face aux abus d’influence du pouvoir sur le cours de certains procès pour faire taire et punir certains dissidents et opposants dont le manque de garantie de leurs procès avait étés largement dénoncé à l’intérieur comme par les ONG internationaux.

L’humoriste  Hédi Ouled Baballah condamné le 4 février dernier à «un an de prison et une amende de mille dinar.» pour «détention d’une matière stupéfiante» après avoir été arrêté sur l’autoroute reliant Tunis à Hammamet pour un contrôle de «routine» aurait bénéficié d’une mesure de libération conditionnelle à l’occasion des fêtes de commémoration du 52ème anniversaire de l’indépendance le 20 mars dernier d’après Quods press.

L’arrestation de l’humoriste qui est intervenu après la circulation sur internet d’un enregistrement dune fête qu’il a animé quelques jours auparavant à Sfax et dans laquelle il imitait la voix du président Ben Ali, ce qui à laissé croire à une mesure de rétorsion déguisée. Ces soupçons se sont confortés surtout lorsque on a appris qu’une autre affaire de trafic de fausse monnaie été aussi en cours d’instruction contre lui.

Après la confirmation par la cours d’appel de la peine prononcée en premier degrés des proches de l’humoriste ont révélaient qu’il n’entendait pas faire de recours en cassation contre le jugement alors que d’après d’autres sources on apprenait que l’instruction concernant la seconde affaire serait abandonnée. Ainsi l’annonce de sa libération intervient comme un correction de tir dans la stratégie de répression qui à été adopté au début contre lui.

Cette affaire qui vient confirmer les soupçons de machination politico-judiciaire au lieu de les taire, remet en lumière une autre fois de plus la pendante question sur l’indépendance de la justice en Tunisie face aux abus d’influence du pouvoir sur le cours de certains procès pour faire taire et punir certains dissidents et opposants dont le manque de garantie de leurs procès avait étés largement dénoncé à l’intérieur comme par les ONG internationaux.

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