A la lecture des articles concernant l’irrésistible ascension de M L P m’apparut en mémoire un sonnet datant d’une deuxième place à une élection présidentielle mal digérée par la majorité des Français dont je fus. Camus devenu inspirateur, méritait ce modeste hommage. Est-il si étrange de vous le présenter maintenant ?
Toute ressemblance avec des émotions ressenties est parfaitement dépendante de votre imaginaire. D’ailleurs qui peut croire que la peste est noire ?
Regardez-les ramper ces cafards venimeux
déferlant dans les rues de nos pensées serviles
les traces de leurs fientes abondent en nos villes
sur ses murs assoupis quel ventre mou s’émeut
adorant le putride ils flairent le nauséeux
et flattent de leurs cris les instincts les plus vils
qui fardent le mensonge en gloriole civile
ils dévorent les livres aux détails trop fumeux
puis s’attaquent aux cheveux à la peau au visage
car ils sont de la mort le funeste présage
qui rôde tout le temps en quête de gangrène
ils tachent la lucarne en spectacles haineux
toute antenne dehors sales pattes à la traine
Oran avaient ses rats ses chancres bubonneux.
Bravo!
[b]Magnifique, comme à chaque fois que je lis du JACQUES MONNET.
Chacun interprètera selon son imagination ce texte qui peut être aussi bien destiné à nos Politiques, qu’à ceux qui nous entourent, et nous empêchent de vivre en « Paix »[/b]
[b]A méditer ………
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fans depuis longtemps merci pour vos applaudissements.
Juste ci-dessus, une pub pour exterminer les cafards! Faut bien gagner sa vie!