Il y a incompatibilité totale entre le fonctionnarisme socialiste et le toujours plus grand, plus haut, plus vite, plus beau, plus fort, plus riche, plus amoureux, plus libre, plus merveilleux, plus généreux . . . L’état écrase l’homme ou l’emprisonne en essayant de lui faire croire que c’est pour son bien, il pourrit l’initiative, il émascule la bravoure, il freine l’audace et il tue ceux qui lui résistent.

 La confiscation du fruit du travail des travailleurs-citoyens par la nébuleuse tentaculaire des 10 MILLIONS de « fonct/assimil/territor/sécu/exnational/burétud/assoces/comithéodul/zélus&assistants . . . dont 2 millions ne servent à RIEN » décourage ceux qui aimerait entreprendre ou poursuivre ! Pourquoi risquer sa peine et sa sueur, sans oublier ses économies ou des emprunts pour être dépouillé par un monstre qui se cache derrière des étiquettes de gôche du genre pas vu, pas pris, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, la fin justifie les moyens, les lendemains qui chantent, à chacun selon ses moyens, selon ses besoins, le centralisme démocratique et autres slogans tordus, sentant la trahison des mots à chaque phrase !

Sachant qu’un fonctionnaire représente un engagement de l’état en moyenne d’une somme de 3,6 millions d’€uros qu’il faut débourser bon gré mal gré . . .
1 à 2 millions de VIRÉS représentent de 3600 à 7200 milliards d’€uros économisés disponibles pour payer la dette et ce qui reste pour irriguer des dizaines de milliers de PMI/ETI manufacturières des secteurs industriels et agri-agroalimentaires potentiellement exportatrices et surtout avec une puissance d’embauche considérable !

 Les FAINÉANTS de hauts fonctionnaires (petits Nicolas Fouquet) préfèrent "gérer" une affaire d’un milliard d’€uros* plutôt que 1000 d’un million et encore moins 10 000 dossiers de 100 000 €uros.

* qui permet de financer leurs "bonnes œuvres"

  Il est temps de prendre exemple sur les suisses et de mettre fin au statut des fonctionnaires afin de purger l’État de 2 millions d’entre eux !
 Pourquoi en France n’a-t-on pas interdit le parti communiste et ses avatars (une coopérative = un kolkhoze !) comme ça l’a été en Allemagne pendant presque 1/2 siècle ?

 Des sommes cumulées qui vont courir sur des décennies vont alimenter encore et encore une armée d’1 à 2 millions de "fonct/assimil/territor/sécu/exnational/burétud/assoces/comithéodul/zélus&assistants . . ." parfaitement inutiles ! ceci représente un enjeu de 3000 à 6000 milliards d’€uros gaspillés, là est le véritable gisement d’économies qui non seulement permettrait de rembourser notre dette mais qui plus est irriguer nos entreprises PME/PMI/ETI (pas les grosses!) ceci assorti de sanctions très dures pour les politiciens qui s’aviserait de toucher quoique ce soit de ce trésor ! l’embauche repartirait du même coup et même les sus-nommés "" pourraient travailler (enfin) !!!

 Je précise pour ceux qui seraient un petit peu sourcilleux que les "régaliens de terrain" doivent rester en place.

 En conclusion :

 Même si je suis le seul, je dis merci Emmanuel, merci Emmanuel, merci mille fois!
  Enfin le débat « fonct/assimil/territor/sécu/exnational/burétud/assoces/comithéodul/zélus&assistants . . . pour partie d’entre eux complètement inutiles et coûteux » est mis sur la place publique

 quelques aphorismes :

La suffisance d’un fonctionnaire est inversement proportionnelle à son inefficacité.
L’autosatisfaction d’un fonctionnaire est proportionnelle à sa nullité
La nécessité absolue du fonctionnariat n’est exigée que par iceux-là
Plus un agent de l’état s’autoproclame indispensable moins il l’est
un socialiste ne doute pas, surtout de lui même
un soce ne voit jamais en quoi il est nuisible
l’autocritique chez un soce consiste à se tresser des couronnes de laurier
un soce veut le bonheur des autres à toute force, y compris en les violant(ant)
le socialisme tue l’envie d’avoir envie !
un fonctionnaire socialiste (quasi-pléonasme) a tous les droits, quant aux devoirs . . .
un représentant syndical avec le couteau entre les dents, ce n’est pas une image . . .


à parfaire . . .