Nous constatons depuis des décennies l’essor des entreprises chinoises en Europe et dans le monde, mais nous sommes-nous vraiment posé la question sur les vrai causes de l’invasion discrète et efficace des produits « made in china » Les travailleurs chinois contrairement au Français ont une discipline stricte dans les entreprises, ne rechignent pas devant le travail et acceptent d’être moins payés pour être plus nombreux à travailler.
Le résultat est évident, les entreprises chinoises se portent bien, ne subissent pas de grèves à répétition et produisent des produits moins chers grâce à des charges salariales très faibles. Les dirigeants des entreprises chinoises, respectent les travailleurs et le travail qu’ils fournissent et cela entraine une production efficace.
Le PDG de la société LENOVO, M. YangYuanquing est un parfait exemple de l’attitude reconnaissante du patronat chinois. Conscient d’avoir dégagé cette année des résultats exceptionnels grâce au travail de ses employés, il a décidé de répartir son « Bonus » de 3 millions de dollars, qui lui a été décernée en raison de ses bons résultats, à l’ensemble de ses employés soit pas moins de 10000 chèques de 300 dollars. Si on tient compte du salaire moyen des employés dans les usines chinoises, ce chèque va correspondre à un treizième mois.
Il est inutile de préciser que ce geste généreux va être très apprécié dans l’entreprise, ce qui engendrera très certainement un respect mutuel entre les dirigeants et les ouvriers, maillons indispensables à sa bonne santé
Cela nous amène à réfléchir sur nos conditions de travail et sur nos rapports toujours plus tendus avec nos dirigeants qui ne voient que profit et négligent leurs ouvriers pour pouvoir rémunérer grassement leurs actionnaires. Nous en avons eu un excellent exemple lors de l’attribution de la prime de 1000 euros demandé par notre gouvernement et qui n’a été que très peu accordée par les dirigeants des grosses sociétés françaises.
[b]La Chine? mais c’est le pays des bisounours, voyons, vous ne le saviez pas? les enfants en âge scolaire ne travaillent pas dans certaines usines jusqu’à 60 heures par semaine et plus … (je ne parle même pas des mines!)[/b]
Nous encourageons les entreprises chinoises à continuer de travailler davantage pour donner de l’emploi . Nous voulons souligner deux éléments importants dans le succés des chinois ; il s’agit d’abord du respect des travailleurs et la repartition du bonus . C’est vraiment un exemple à suivre pour ceux qui veulent créer des entrepries .
MUSOKO MBUYI PATRICE
PRESIDENT
ASSOCIATION DES CONSOMMATEURS DES PRODUITS VIVRIERS .
Dans un contexte pareil à celui de la chine, au bout du compte le bonheur du salarié n’est pas primordial. ce dernier reste mal payé et vit dans la misère. c’est vrai que ces conditions permettent de relever le niveau des entreprises et par là celui de l’économie du pays. Mais à quoi bon vivre dans un pays riche et contribuer à son essor lorsqu’on est soi même pauvre matériellement? l’idéal serait le juste milieu. avoir un système de rapports « employé – entreprise » où la règle du gagnant règnerait. merci
[b]Je me suis laissé dire que le meilleur contrat que puisse signer un chinois avec un partenaire étranger est encore celui qui permet après la signature d’uriner dessus, c’est toujours vrai ?[/b]
[url]http://www.gizmodo.fr/2012/07/23/pdg-lenovo-prime.html[/url]
quelque soient les ressentiments que nous pouvons avoir envers les chinois qui envahissent l’Europe doucement mais surement, le geste reste beau et respectueux envers les ouvriers. Nos dirigeants et actionnaires pourraient en prendre de la graine!
heureusement quelques uns on déjà réagit dans ce sens avec la société DASSAULT entre autres qui verse tous les ans des primes exceptionnelles à tout son personnel de plusieurs milliers d’euros, quand l’usine « et c’est souvent » dégage de gros bénéfices.
Porsche à aussi donné une somme rondelette à ses employés pour les remercier d’un chiffre d’affaire exceptionnel.
rien ne les oblige à agir de la sorte. et cela encourage fortement les employer à travailler positivement pour « leur » société