Et pourtant, elles ne cessent d’être bafouées.
Nos valeurs liberté, égalité, fraternité, laïcité, nos droits de l’homme partent avec notre égoïsme généré par nos difficultés à vivre dans un monde qui sans cesse nous interpelle. Nous Français, nous expulsons à tour de bras, ceux qui, malheureux dans leur pays croient qu’en venant chez-nous, qu’ils pourront vivre plus décemment que dans le leur, pays de misère et de guerre. Ils ont entendu depuis toujours que la France était une terre d’asile, charitable qu’elle accueillait les étrangers, alors ils viennent en confiant leur malheureuse vie à des passeurs à qui, ils donnent tous ce qu’ils ont pour ce voyage dont ils ne savent quel sera sa finalité. On ne choisit pas la France par hasard, la France le pays des lumières et des droits de l’homme, fondements de notre République. Ils sont aboutissement des siècles de combats.
C’est un article paru sur le journal électronique de Patrick Gaubert président du Haut conseil à l’intégration du 22 avril intitulé : Les valeurs républicaines ne sont pas négociables , qui me fait écrire sur ce que nous sommes devenus, par ce que cet article je le trouve juste et d’actualité. Pourquoi, fils d’immigré je le suis, comme notre président Nicolas Sarkozy, et né en France il y a plus de 80 ans. Si la France n’avait pas été une terre d’asile, mes parents ne seraient jamais venus en France après la première guerre mondiale et ceux de Nicolas aussi je présume. Je connais donc les souffrances des migrants au travers de celles de mes parents, mais aussi les insultes que nous avons reçues pendant l’occupation Allemande étant Français par naturalisation avant la guerre mais Italiens pour les Français. Beaucoup d’immigrés sont devenus célèbres en France qui est multiraciale et cosmopolite, c’est sa richesse. Certes on ne peut accepter toute la misère du monde, il nous faut combattre ce flux migratoire, mais nous montrons une inhumanité qui nous discrédite, et quand nous avons besoin des autres, de leur avis, de leur soutien, nous perdons les jeux Olympiques d’été.
Nous venons d’expulser trois malheureux Afghans dans un pays ou nous faisons la guerre, ces trois Afghans ruinaient donc notre pays pour que nous agissions avec autant d’atrocité ? Et c’est un ancien socialiste Eric Besson qui a conduit ces expulsions quelle honte ! Comment croire au socialisme qui se veut juste et équitable pour tous dans de telles conditions si ceux qui ont prétendu l’être sont pires que des fascistes. Que devient notre image, nous payerons un jour nos agissements pour ces expulsions intolérables même si l’on nous déclare qu’elles ont été faites pour que ces pauvres types ne soient dirigés que dans des zones calmes, mais il n’y a pas de zones calmes, les Talibans sont partout. On nous annonce que nous sommes obligés d’agir ainsi sinon les Afghans seraient encouragés de venir en France. Mais on marche sur la tête, on fait la guerre, il n’y a pas d’autres mots, pour libérer leur pays des Talibans, et on expulse les Afghans !
Deux des Afghans expulsés, hébergés aux frais de la France dans un hôtel, ont témoigné dans un reportage diffusé dimanche soir par France 2. Ils estiment que leur sécurité ne peut être assurée nulle part dans leur pays. «Je ne suis pas heureux d’être en vie. Il n’y a pas de place pour moi dans ce monde. Ma mère m’a dit d’aller en Europe. En France, on n’a pas voulu de moi. C’est ça l’humanité, c’est ça les droits de l’homme, la loi du monde, a dit Waheed Salim, en pleurs, selon une traduction de la chaîne». Nik Khan a raconté de son côté avoir été arrêté dans la «jungle» à Calais, sans qu’on lui laisse emmener ni ses vêtements, ni son lecteur MP3, ni son sac. Il est arrivé en Afghanistan avec les vêtements qu’il avait sur lui, dit-il. «Je ne peux pas rester ici. Il y a les Talibans et il y a des combats. Ma famille est menacée par les Talibans, il faut que je quitte ce pays», a-t-il dit.
Ils sont plus d’une centaine agglutinés sur le trottoir devant le magasin Picard de la place du Colonel-Fabien, à Paris. C’est là que chaque soir, à 20 h 30, se retrouvent bon nombre des Afghans et Irakiens qui errent dans la capitale depuis la fermeture du centre de Sangatte. Ils attendent le bus Atlas de la RATP qui les emmènera pour la nuit dans un centre d’hébergement d’urgence. Parmi eux, de nombreux mineurs, parfois très jeunes, 12 ou 13 ans. Des mineurs que «France Terre d’asile», à la lumière du réverbère, tente chaque soir de repérer pour leur proposer une mise à l’abri. Ce jeudi, l’équipe de maraude de l’association, accompagnée du ministre de l’immigration, Eric Besson, venu à la rencontre de ces mineurs étrangers isolés, repartira avec une vingtaine d’entre eux vers la Maison du partage, gérée par l’Armée du Salut dans le 19e arrondissement. Je sais bien que charitablement nous faisons tout ce que nous pouvons, mais il faudrait il politique claire pas, entre chèvre et chou, on ne peut faire la guerre en Afghanistan et ne pas accepter ceux qui fuient ce pays pour ne pas mourir.
Nos valeurs fondatrices de vivre ensemble ont disparues. Il est vrai que trop c’est trop, on n’en fait tout un monde, on monte en exergue le fait mineur pour satisfaire la politique de ceux qui se prévalent de valeurs Françaises mais qui rejettent le respect des différences.
En 2004, la Direction centrale du contrôle de l’immigration et de la lutte contre l’emploi clandestin (Diccilec) avance le chiffre de 200 000 irréguliers mais, de son côté, le Bureau international du travail estime qu’ils sont 400 000 et entre 80.000 et 100.000 supplémentaires y entreraient chaque année. Le nombre d’éloignements d’étrangers en situation irrégulière a fortement augmenté ces dernières années, près de 30 000 immigrés clandestins ont ainsi été reconduits dans leurs pays d’origine du 1er juin 2007 au 31 mai 2008. C’est en fait peu, le problème est qu’ils sont concentrés dans certaines villes et que cela fait rapidement un rejet de la population, reprit par ceux qui pensent qu’il y a qu’eux qui sont Français.
En 2005 on évaluait les clandestins à 1,6 millions en Espagne, entre 700 000 et un million en Allemagne, 600 000 en Italie, 430 000 en Grande-Bretagne, entre 250 000 et 400 000 en France, 200 000 au Portugal, 160 000 aux Pays-Bas et 90 000 en Belgique. Il est bien difficile d’obtenir des chiffres fiables et récents. Les pays européens rejettent chaque année 70 % des demandes d’asile. Jacques Barrot, le commissaire européen chargé de la Sécurité et des Libertés, demande plus de solidarité.
«Le devoir d’asile s’exerce à l‘égard des personnes qui risquent des persécutions, qui risquent vraiment des violences. Mais là, très sincèrement, quelle que soit la crise, je crois que l’Europe, avec tout le passé qui est le sien, se doit d’accueillir ceux qui sont effectivement persécutés».
La solidarité, une revendication pour les États méditerranéens.
Alors que plus de 67000 personnes ont traversé la Méditerranée pour rejoindre l’Europe l’an dernier, l’Italie, la Grèce, Chypre et Malte sont particulièrement exposés à l’immigration clandestine. Ils demandent aux 27 d’accueillir plus de réfugiés pour les soulager de cette pression. Les 27 affirment soutenir les États de la Méditerranée, mais l’accueil des migrants sur leur sol n’est soumis à aucune règlementation. Un état qui fait grincer des dents les pays les plus exposés.
Alors on reparle de l’Identité nationale, moi je ne l’ai pas perdue c’est celle qui a toujours été reconnue par le peuple Français, liberté égalité et fraternité, laïcité, voir mon article l’Identité nationale ici toujours d’actualité. La suppression du service militaire par la droite a rompu notre appartenance au drapeau, et c’est un président de droite qui l’a fait !
Si la Marseillaise n’est plus assez chantée, si le civisme à disparu, si l’intégrisme se développe, c’est tout simplement qu’au plus haut niveau l’exemple n’y est pas. Le dogmatisme de la droite qui sépare la France en deux c’est lui qui détruit cette identité par la misère qu’il induit et c’est sans scrupule que la droite remet cette identité nationale sur le devant de la scène à cause de son intolérance et du populisme raciste avec la burqa comme cerise sur le gâteau. Selon Régis Meyran, l’identité nationale est un mythe aux échos nationalistes prompt à resurgir en période de crise et qui tend à flatter l’électorat d’extrême droite, estime l’anthropologue, spécialiste de la question. Chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales et auteur du «Mythe de l’identité nationale», ce terme est «très suspect» alors même que la question de savoir ce que c’est d’être Français aujourd’hui est légitime. Sur le fond, «je ne pense pas qu’il y ait une seule identité Française», a-t-il poursuivi, «c’est un mythe, ça fait partie d’un récit national». A l’inverse, il semble évident que nous sommes tous, en tant que citoyens de ce pays, traversés par différentes identités, mouvantes, et qui se mélangent. «J’y vois un appel du pied très clair à un électorat qui vote traditionnellement à l’extrême droite. C’est pour gagner des électeurs», explique-t-il.
Si les Français qu’ils soient de souche ou issus de l’immigration et naturalisés ne trouvent pas de travail, et sont rejetés par ceux là même qui ont une responsabilité, comment leur demander de respecter les valeurs de la France, nous ne respectons pas nos devoirs envers eux. Dans ces conditions ces Français immigrés et bien d’autres, ont tous les arguments pour ne pas accepter les valeurs de la république. Comment exiger à un jeune sur un stade de chanter la Marseillaise si, lorsqu’il rentre chez lui, il trouve sa famille sans emplois et dans la misère. Commençons par faire notre devoir envers eux en les reconnaissants comme des Français à part entière et pas seulement sur le papier, exigeons d’eux qu’ils aient un devoir national par une reconnaissance au drapeau, montrons l’exemple au plus haut niveau par une politique pour tous et notre identité nationale sera retrouvée.
L’identité nationale selon Michel Rocard un débat imbécile, il faut bien voir que cette logique de fabrication de la France se détruit si on la ferme. C’est une logique d’ouverture. La France se définit comme une sorte d’orgueil permanent. Moi je suis protestant. Cela veut dire que mes ancêtres sont considérés comme Français depuis ce jour mystérieux d’août 1789 où l’Assemblée constituante a fait citoyens Français successivement les protestants, les juifs, les comédiens et les gens de couleur. Dans l’idée d’arrêter ce mouvement de générosité, il y a quelque chose qui me choque. Parce qu’ouvrir le débat, c’est rechercher l’écriture d’une formalisation instantanée de la description de ce qu’est l’identité Française. Or, elle a été dans l’histoire complètement évolutive. Et après tout, si on décide que c’est à la date du 3 août 1789 que s’arrête la fabrication de la France, moi je cesse d’être citoyen? Le Nouvel Obs.com.
La déclaration universelle des droits de l’homme.
Article premier,
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Article 2,
1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
Article 3,
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Lire la suite en cliquant sur le document souligné.
Vive la France une parodie de Stéfane Guillon
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Et puis, le «9-3», un département test pour la France. Pourquoi ? Parce que se joue là une partie de notre avenir, capacité de la France à intégrer de larges populations immigrées, aptitude à déghettoïser certains quartiers, réinvention de ce que doit être la mixité urbaine, etc. A lire ici «la Seine-Saint Denis l’envers du décor» .
[b]Anido[/b],
bravo pour ton coup de gueule, ton cri du coeur, qui mériterait d’être diffusé dans ce vaste [b]débat sur l’identité nationale[/b] [ [url]http://www.debatidentitenationale.fr/[/url] et [url]http://www.debatidentitenationale.fr/participation/pour-vous-qu-est-ce-qu-etre/[/url] ] initié et voulu par [b]Éric Besson[/b], [i]Ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire[/i]…
En effet, les valeurs républicaines commencent tout simplement par notre capacité à recevoir des immigrés, mais également à reconduire certains immigrés hors de nos frontières, pourvu que ce ne soit pas dans leurs propres pays, qui sont, comme l’Afghanistan, en zone de guerre !
[b][u]Puis, il faudrait supprimer les Centres de Rétention Administratifs (CRA[/u]) :[/b] [i]ce sont de véritables hontes pour notre Pays… [/i]
[b][u]Aussi, il convient de se souvenir de cette période, où les Socialistes étaient au pouvoir pendant les Années 1930[/u] :[/b] [i]ils bâtirent également des camps de sinistre mémoire, qui servirent pendant le [b]Régime de la Dictature Pétain[/b] ![/i]
[b]L[u]e service militaire, [i]on peut en parler[/i], n’aurait peut-être jamais dû être supprimé par le Président Jacques Chirac[/u] :[/b] [i]en effet, il aurait tout simplement fallu l’aménager, ce, de manière à faire de cette obligation civique et citoyenne, une obligation, au cours de laquelle, tous les conscrits, issus de tous milieux sociaux, auraient pu, au lieu de faire des corvées inutiles et dégradantes, apprendre tout ce qui concerne notre Nation, suivre des formations militaires adaptées à leurs conditions de réservistes, suivre, le cas échéant, une formation professionnelle, poursuivre, mais au sein de nos Armées, leur cursus universitaire ou leur cursus de grandes écoles ! Pourtant, des efforts ont été faits par nos Armées à l’avantage de certains conscrits, notamment en ce qui concerne l’apprentissage de la lecture, de l’écriture, ainsi qu’en ce qui concerne la formation professionnelle ![/i]
[b][u]Alors, pour revenir au respect de nos valeurs républicaines, de nos valeurs démocratiques, il faudrait introduire, au sein de nos établissements scolaires, à partir de la Seconde et jusqu’aux Classes Terminales, des cours d’instruction civique basés[/u] :[/b]
[i]- sur l’initiation à la défense nationale, cours pouvant être donnés par des militaires (y compris des gendarmes), et pouvant enseigner le tir, la défense civile, la défense passive, les métiers offerts par nos Armées, le rôle de nos Armées au sein de notre Nation…,
– sur la sécurité intérieure et publique, cours pouvant être dispensés par des policiers ou des gendarmes (tous, officiers de police judiciaire), et pouvant enseigner le respect des lois, les rôles de la Police Nationale, de la Gendarmerie Nationale dans la sûreté publique, dans la vie de la Nation…,
– sur les Administrations, cours pouvant être donnés par de hauts fonctionnaires, pour expliquer ce que sont les Ministères…,
– sur le fonctionnement de nos Institutions, cours pouvant être dispensé par des Constitutionnalistes, par des députés et des sénateurs volontaires…,
– sur le fonctionnement de la démocratie locale, cours pouvant être donnés par des Constitutionnalistes, ainsi que par des élus locaux volontaires…,
– sur l’Instruction civique, sur l’apprentissage de notre Hymne National, sur l’apprentissage du Drapeau National…[/i]
[b][u]Mais, ne faudrait-il pas rétablir, avant qu’il ne soit trop tard, le Service Militaire ? Je pense que oui… Au départ, ayant fait mon service militaire dans des conditions quelque peu inacceptables, j’étais favorable à sa suppression… Mais, [i]sachant que, seuls les imbéciles ne changent pas d’avis[/i], j’ai longuement réfléchi, me demandant qu’elles seraient les conséquences de la décision du Président Jacques Chirac[/u] :[/b] [i]elles ne se sont pas fait attendre, puisqu’on constate que notre Pays est victime du repli sur soi, du communautarisme, du non respect de nos lois, de l’incivisme des populations, des intégrismes religieux, sexistes, raciaux…, des inégalités ![/i]
[b][u]Donc, plutôt que de prôner un service civil obligatoire ou un service civil facultatif, il faudrait rétablir le service militaire, mais, sous certaines conditions[/u] :[/b]
[i]- les conscrits devraient, lors de leur incorporation, avoir le choix des armes, le choix de leur lieu d’affectation,
– les conscrits devraient, lors de leur incorporation, devraient immédiatement être incorporés dans des services en fonction de leur cursus universitaire, scolaire supérieur, scolaire ou, par le biais des expériences, en fonction de leur passé professionnel,
– les conscrits devraient être rémunérés à hauteur du SMIC, sachant que leur solde pourrait être prise en compte pour leur chômage ou pour leur retraite,
– les conscrits ne devraient plus être astreints aux corvées inutiles,
– les conscrits, et cela n’existait pas auparavant, pourraient très bien apprendre à piloter des avions, pour pouvoir faire leur service en tant que pilotes de transport ou de chasse,
– les conscrits devraient, au cours de leur service, devraient avoir le continuer leur cursus universitaire, scolaire supérieur ou scolaire,
– les conscrits devraient, au cours de leur service, devraient avoir le droit de continuer leur formation professionnelle,
– le service militaire pourrait très bien être ouvert aux hommes comme aux femmes,
– le service militaire pourrait durer trois ans, ne serait-ce que pour donner une bonne instruction militaire et professionnel à tous les conscrits…[/i]
Puis, [b]Anido[/b], pour illustrer quelque part ton article, il faudrait que beaucoup n’oublient pas que la [b]Loi du 9 décembre 1905, [i]relative à la séparation des Églises et de l’État[/i][/b], publiée au [b]Journal Officiel du 11 décembre 1905[/b] [ [url]http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/eglise-etat/sommaire.asp[/url] ], est toujours en vigueur…
Elle est renforcée, [u][i]de facto[/i][/u], par l'[b]Article 1er de la Constitution de la Vè République[/b], qui, en son [b]Préambule[/b], stipule très clairement : [i][b]« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandants électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales. »[/b][/i].
[b][u]Mais, à l’heure où l’on nous parle de ce Traité de Lisbonne, [i]et j’ai bien peur qu’il nous fasse perdre notre citoyenneté française au profit d’un fédéralisme européen[/i], peut-on[/u] :[/b]
[i]- Soit, encore parler d'[b]identité française[/b] ?
– Soit, dorénavant, ne parler que d'[b]identité européenne[/b] ?[/i]
Cela m’inquiète beaucoup, vu que je me sens Français à part entière et vu que je ne suis pas fédéraliste !
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
[b]Dominique[/b] bonjour,
Comme bien souvent tu es le premier à apporter ton âme à mes articles, merci.
Saches que j’ai toujours condamné la suppression du devoir national, non pas que je sois militariste mais tout simplement par ce que c’est un devoir de le faire, il apporte pour beaucoup sur la connaissance des autres.
De plus, il fait comprendre le respect de l’autorité, sa valeur d’exemple même si parfois elle est contestable, nous ne sommes pas parfait.
Mais pour celui qui vient de sa campagne et qui a encore de la paille dans ses chaussures, le service militaire est pour lui un regard sur le monde, sur les autres, et il en ressort changé, grandit, il est devenu un homme.
Mais il n’est pas que cela, il forme par son enseignement à des métiers, à des vocations, c’est une grande école de la vie.
Alors oui, il faut rétablir de service militaire, un service moderne pour nos jeunes, pour tous les jeunes.
Bien à toi,
Anido
[b]Dominique[/b],
Cette Europe nous fait perdre notre identité, [u][b]on ne peut plus être Français[/b][/u], [u]nous sommes dilués dans quelque chose que nous ne maîtrisons pas, que nous ne ressentons pas.[/u]
L’identité Européenne ne veut rien signifier, il n’y a pas d’unité il n’y a que des intérêts commerciaux, [u][b]que du chacun pour soi.
[/b][/u]
[u][b]L’Europe est morte Dominique[/b][/u], l’adhésion Tchèque n’a été faite que part des concessions, [b]ce qui montre bien qu’elle n’est qu’un club d’échange [u]sans lien communautaire humain.[/b][/u]
[u][b]Le chacun pour soi dans un organisme pour tous.
[/b][/u]
Anido
[b]Anido[/b],
[b][u]bonjour… Oui, il faut le rétablir ce service national militaire… Mais, il convient de le rétablir aux conditions que je prescris bien entendu[/u] :[/b] [i]mais, qui, à [b]Droite[/b], aura le courage de prendre cette mesure indispensable ? Puis, au [b]Parti Socialiste[/b], ou dans les [b]partis de Gauche[/b], y aura-t-il quelqu’un qui aurait le courage de prendre cette mesure indispensable si la [b]Gauche [/b]arrivait au pouvoir ?[/i]
[b][u]Puis, [i]et tu ne m’as pas éclairé sur ces points que je considère comme essentiels[/i], à l’heure où l’on nous parle de ce Traité de Lisbonne, [i]et j’ai bien peur qu’il nous fasse perdre notre citoyenneté française au profit d’un fédéralisme européen[/i], peut-on[/u] :[/b]
[i]- Soit, encore parler d'[b]identité française[/b] ?
– Soit, dorénavant, ne parler que d'[b]identité européenne[/b] ?[/i]
Cela m’inquiète beaucoup, vu que je me sens Français à part entière et vu que je ne suis pas fédéraliste !
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Anido,
bonjour… Oui, il faut le rétablir ce service national militaire… Mais, il convient de le rétablir aux conditions que je prescris bien entendu : mais, qui, à Droite, aura le courage de prendre cette mesure indispensable ? Puis, au Parti Socialiste, ou dans les partis de Gauche, y aura-t-il quelqu’un qui aurait le courage de prendre cette mesure indispensable si la Gauche arrivait au pouvoir ?
Qu’est ce qui te fait dire que [i][b]« l’Europe est morte »[/b][/i] ? Veux-tu simplement dire par là que l'[b]Union Européenne[/b] est une union [b]« morte-née »[/b], puisque de 12, elle est passée à 27 États Membres ?
Ce que tu écris, c’est très grave… Mais, cela est souhaitable à plus d’un titre ! A ton avis, ne faudrait-il pas une [b]Union Européenne[/b] basée uniquement sur une [b]Europe des États[/b], les États n’étant liés que par des accords économiques entre eux, éventuellement des accords de défense, mais totalement indépendants les uns et les autres ?
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Je m’aperçois que l’article référencé sur le 9-3 n’apparait pas.
On peut le lire ici [url]http://www.lemonde.fr/journalelectronique/donnees/protege/20091027/html/735210.html[/url]
Anido
[b]Malheureusement, Anido, je ne peux pas y parvenir, puisqu’on m’envoie sur ce lien :
[url]http://www.lemonde.fr/web/journal_electronique/identification/1,56-0,1-0,0.html?url_alm=[/url] ,
qui suppose qu’il faut être abonné !
Avec toute mon amitié,
Dominique[/b]
[b]La république française va disparaitre corps et âme !
elle va être dissoute dans le solvant du mondialisme !
Tous les jours ce processus avance .
Il faut diviser pour regner ,
pour que le super administrateur mondial puisse apparaitre
(cf 1984 de Georges ORWELL).[/b]
[b]Dominique,[/b]
J’ai fais la correction sur l’article essaye si tu peux l’obtenir en cliquant sur la référence.
Je l’obtiens.
Anido
[b]Dominique[/b],
Il s’agit de l’EU pas de l’Europe bien entendu.
[u][b]L’Union des États Européens[/b][/u] serait plus juste [u]au moins cela aurait une réalité avec ce qui se passe.[/u]
Il faut avoir le courage de le clamer, il ne faut pas se voiler la face telle qu’elle est ce n’est qu’un vaste marché et rien d’autre, [u][b]le chacun pour soi. [/b][/u]
Anido
[b]Veritas[/b] bonjour,
Tu as toujours des commentaires à l’emporte pièce, ne pourrais-tu pas développer un peu.
Merci
Anido
[quote][b][u]Anidom Nidolga a dit[/u] :[/b]
[b][i]« Dominique,
J’ai fais la correction sur l’article essaye si tu peux l’obtenir en cliquant sur la référence.
Je l’obtiens.
Anido »[/i][/b][/quote]
Désolé, [b]Anido[/b], j’ai beau cliquer sur ta référence, j’aboutis toujours sur ce lien :
[url]http://www.lemonde.fr/web/journal_electronique/identification/1,56-0,1-0,0.html?url_alm=[/url]
Peut-être que, étant abonné au [i][b]Monde[/b][/i], tu as pu faire la correction… Moi, qui n’y suis pas abonné, je n’ai pas pu aboutir à ta référence !
[quote][b][u]Anidom Nidolga a dit[/u] :
[i]« Dominique,
Il s’agit de l’EU pas de l’Europe bien entendu.
L’Union des États Européens serait plus juste au moins cela aurait une réalité avec ce qui se passe.
Il faut avoir le courage de le clamer, il ne faut pas se voiler la face telle qu’elle est ce n’est qu’un vaste marché et rien d’autre, le chacun pour soi.
Anido »[/i][/b][/quote]
[b]Anido[/b], je serais très favorable, [i]et tu le sais très bien[/i], à la création d’une [b]Union des États Européens[/b], qui respecterait l’indépendance et la souveraineté nationale de chaque État Membre…
[b][u]Je ne suis pas sur cette Europe des marchés qu’on veut nous imposer[/u] :[/b] [i]un jour ou l’autre, cela pourrait très bien craquer, puisque les gens en auront mare de ce vaste marché où ne règne que le [b]« chacun pour soi »[/b] ![/i]
[b]Dominique[/b]
Dominique,
Je regrette que tu ne puisses obtenir cette référence, je vais donc la transcrire en plusieurs parties dans les commentaires.
Le » 9-3 » en chiffres
22,4 %
de progression du nombre d’étrangers entre 1999 et 2006 (contre 3,7 % sur l’ensemble de la France)
4 milliards d’euros
d’investissement public pour la rénovation urbaine d’ici à 2012
1 472 violences
sur dépositaires de la sécurité publique en 2008, contre 1 137 en 2005
18 800 euros
le revenu net moyen par foyer (contre 28 700 euros en Ile-de-France)
1,4 million
de m2 de bureaux construits depuis 1999
Quatre ans après la » crise des banlieues « , déclenchée par le décès de deux adolescents poursuivis par la police à Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005, la Seine-Saint-Denis connaît toujours une situation exceptionnelle. Malgré la multiplication des annonces ministérielles, le département n’a pas rattrapé son retard en termes d’emploi, d’éducation et de sécurité. La nouveauté, c’est que, à côté des zones extrêmement pauvres, se sont développés des territoires en pleine explosion économique. D’où une question cruciale pour le département et ses 1,5 million d’habitants : comment faire coexister des ghettos sociaux et ethniques et des territoires plongés dans la compétition économique mondiale ?
Radiographie en six points et sans tabous du département français le plus visité par les ministres de la République.
Suite,
L’immigration, comment faire face ?
Bobigny, lundi 19 octobre, 7 heures du matin, – 2 degrés. Comme tous les jours de la semaine, des grappes d’hommes attendent d’être embauchés devant l’entrée de Batkor, un dépôt de bricolage situé sur la nationale 3. Au vu et au su de tous, une trentaine de clandestins proposent leur main-d’oeuvre aux entreprises du bâtiment ou aux particuliers. A partir de 70 ou 80 euros la journée pour un plâtrier, un plombier ou un maçon. Moins cher encore en négociant les tarifs. La plupart attendent des heures sans succès. Trop de concurrence : » Il n’y a pas beaucoup de clients mais beaucoup de monde qui veut se faire embaucher « , se désole Hassan, Turc d’une quarantaine d’années qui essaie de se réchauffer en attendant un éventuel client. Même si le lieu est connu de la police et des élus depuis des années, les interventions n’y font rien : comme l’immigration n’arrête jamais en Seine-Saint-Denis, porte d’entrée sur le territoire français avec l’aéroport de Roissy, de nouveaux candidats se présentent tous les jours, été comme hiver, pour tenter de gagner leur vie. Et les derniers arrivés remplacent ceux qui finissent par trouver des emplois moins exposés.
Entre 1999 et 2006, malgré les politiques de restriction affichées par l’Etat, le nombre d’étrangers dans le département a encore progressé de 22,4 % alors que, dans le même temps, le nombre de Français augmentait seulement de 3,7 %. Dans certaines villes, la proportion d’étrangers dépasse désormais les 30 %, soit près de six fois la moyenne nationale, comme à Clichy-sous-Bois (37,2 %) ou Aubervilliers (34,6 %). Voilà pour les chiffres officiels. Car les autorités estiment qu’il pourrait y avoir entre 100 000 et 300 000 sans-papiers en Seine-Saint-Denis, la plupart non recensés. Soit l’équivalent de villes comme Saint-Denis et Montreuil qui s’ajoutent à la population officielle.
Suite,
» Le problème n’est pas d’arrêter les flux. C’est totalement illusoire, c’est comme de vouloir arrêter la marée avec ses bras. Le problème, c’est de savoir ce qu’on fait pour ces populations. Or, aujourd’hui, on n’a pas suffisamment de moyens pour assurer leur intégration « , relève le maire (PS) d’Aubervilliers, Jacques Salvator. Conséquence : à Aulnay-sous-Bois, Villetaneuse, Clichy, La Courneuve, Stains, Montfermeil, Aubervilliers, notamment, certains quartiers se ghettoïsent et ne comptent quasiment plus de » Blancs « . Uniquement des Maghrébins ou des Noirs, parfois des Asiatiques.
» La spécialisation du département se renforce. Tant qu’il n’y aura pas de solidarité régionale ou nationale sur l’accueil de l’immigration, je ne vois pas comment on pourra s’en sortir « , regrette Bénédicte Madelin, directrice de Profession banlieue, une des figures de la vie associative départementale. Un constat confirmé par l’Insee : entre 1999 et 2006, la Seine-Saint-Denis a absorbé autant d’étrangers que tous les autres départements d’Ile-de-France réunis, en dehors de Paris.
Les bureaux de cadres blancs, la face cachée du » 9-3 »
La devanture est discrète. Mais l’intérieur est chic et raffiné et on y croise des Japonais et des Américains, venus pour leur business. Comme à Singapour, New York, Pékin ou… Neuilly-sur-Seine, la chaîne de luxe Marriott vient d’ouvrir un de ses hôtels dans un immeuble moderne de 150 chambres à Saint-Denis au coeur du quartier Pleyel, non loin de la future cité du cinéma de Luc Besson. A 159 euros minimum la nuit, la chaîne vise la clientèle des hommes d’affaires qui fréquentent les quartiers autour du Stade de France, un des territoires les plus dynamiques de la région parisienne.
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Depuis dix ans, le nombre de mètres carrés de bureaux a littéralement explosé dans cette zone grâce aux transferts d’entreprises attirées par le faible coût de l’immobilier et l’importance des réseaux de transport. » On sort de décennies de marasme lié à la désindustrialisation « , relève Stéphane Peu, vice-président de la communauté d’agglomération de Plaine-Commune, qui regroupe sept villes autour de Saint-Denis. Des sociétés comme Generali, EDF, la Société générale, La Banque postale, par exemple, ont transféré une partie de leurs services ces dernières années. Soit 27 000 emplois privés de plus en dix ans sur le seul secteur de Saint-Denis. D’autres prévoient d’arriver à plus ou moins long terme, comme Orange (2 000 emplois début 2010) et peut-être la chaîne Radisson pour un immense complexe hôtelier autour d’un nouveau palais des congrès.
C’est la face cachée de la Seine-Saint-Denis, en quelque sorte. Mais aussi un nouvel enjeu pour les élus : comment faire cohabiter ces territoires en pleine expansion avec les zones défavorisées, parfois situées à quelques centaines de mètres à peine ? Et comment faire bénéficier les habitants du développement de cette » Défense bis » ? » Les entreprises sont venues en Seine-Saint-Denis avec leurs salariés. Aujourd’hui, le challenge c’est qu’elles se tournent vers les viviers locaux de diplômés, notamment nos 65 000 étudiants « , souligne Francis Dubrac, président de l’agence de développement du département.
Un défi considérable tant ces nouveaux quartiers d’affaires ressemblent aujourd’hui à des enclaves. Le matin, entre 8 et 10 heures, les RER amènent de Paris des wagons entiers de cadres blancs, qui repartent le soir par la même voie ; ils croisent les employés de nettoyage ou de sécurité, souvent noirs ou maghrébins, qui arrivent la nuit et repartent le matin aux aurores quand les bureaux se remplissent. Un indice de la puissance des ségrégations ethnique et sociale. Un signe aussi de l’extraordinaire retard de la Seine-Saint-Denis, département le plus jeune de France, en matière de formation. A peine 10 % de la population de plus de 15 ans dispose d’un diplôme supérieur. Contre 38 % à Paris. » C’est un point sur lequel rien, ou presque, n’a bougé depuis quinze ans « , regrette Bénédicte Madelin. La conséquence est logique : les entreprises qui voudraient embaucher des diplômés sur place sont parfois contraintes de se tourner vers d’autres départements
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Un département sous perfusion publique
Un immense chantier. Une nationale déviée, des tours rasées, d’autres reconstruites. Des espaces publics transformés. A Aulnay-sous-Bois, comme dans 21 autres villes de la Seine-Saint-Denis, les grues occupent le ciel et les ouvriers s’affairent dans un ballet de camions. Ça démolit, ça creuse, ça bétonne, ça reconstruit depuis des mois, et encore pour des années. Les énormes chantiers de la rénovation urbaine vont mobiliser un peu plus de 4 milliards d’euros sur le département d’ici à 2012. Si les objectifs sont tenus, près de 10 000 logements doivent être détruits, 12 000 reconstruits, 27 000 réhabilités, 33 000 » résidentialisés « , comme si une guerre silencieuse était passée par là.
Dans les villes symboles de Clichy-sous-Bois et Montfermeil, où les investissements publics atteignent près de 500 millions d’euros, les transformations positives sont en cours. » Ça dépasse nos espérances. Tout le monde voit que les grues ont envahi les quartiers et peut sentir que c’est en train de bouger « , se réjouit le maire (PS) de Clichy, Claude Dilain. Mais à peine une crise est-elle en voie de résorption qu’une autre risque de surgir : les copropriétés dégradées du bas Clichy, qui n’ont bénéficié d’aucune aide publique : » C’est là qu’arrivent tous ceux qui n’ont pas droit au logement social. Les plus pauvres, ceux qui sont sans papiers. Ils se retrouvent dans des conditions de vie intolérables et voient, en plus, qu’ailleurs c’est en train de changer. »
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De fait, la rénovation urbaine est loin de tout régler. D’abord parce que plus de 80 % des appartements démolis sont reconstruits sur place, dans les mêmes quartiers, sans que la sociologie de la population évolue. » On repeint les ghettos « , selon l’expression de Yazid Sabeg, le commissaire à la diversité. Ensuite, parce que les financements n’étant pas réactualisés, beaucoup de maires doutent de la réalisation effective de tous les travaux programmés. Enfin parce que la rénovation urbaine a aussi contribué à aspirer une bonne part des crédits publics. Les associations, en particulier, continuent de manquer de moyens et doivent se battre, au quotidien, pour décrocher des subventions. Les communes les plus pauvres ne parviennent à boucler leurs budgets qu’en réduisant au maximum leurs dépenses. Le conseil général, lui-même à court de crédits, ne s’en sort plus. La préparation du budget 2010 se révèle kafkaïenne : avec les chutes de recettes dues à la crise de l’immobilier et les transferts de charges de l’Etat vers les collectivités, le conseil général estime qu’il lui manque 100 millions d’euros sur un budget de 1,5 milliard.
Un laboratoire du futur qui manque de moyens pour le présent
Ils sont plus d’une centaine d’enseignants à manifester devant le siège de l’inspection académique de Bobigny, ce jeudi 22 octobre. Des professeurs des écoles qui protestent contre l’insuffisance des moyens dans l’éducation nationale. A commencer par le manque de remplaçants. » Aujourd’hui, il y a beaucoup de classes sans maître parce qu’il n’y a pas assez de remplaçants « , insiste François Cochain, secrétaire départemental du SNUipp, principal syndicat du premier degré. Comme beaucoup de fonctionnaires, les enseignants s’alarment du décalage entre la frénésie des » annonces » ministérielles dans le département et les moyens réels des services publics.
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Depuis 2005, il est vrai, tous les plans communication des ministres passent par le » 9-3 « , département à la mauvaise presse mais photogénique pour les hommes politiques. En 2008, la Seine-Saint-Denis a enregistré 174 déplacements ministériels, soit un tous les deux jours en moyenne. Un rythme invraisemblable qui se maintient en 2009 : rien que pour le mois de septembre, la préfecture a comptabilisé 25 visites. Tous les prétextes sont bons : la pose de la première pierre des Archives nationales (François Fillon), l’inauguration de logements étudiants (Valérie Pécresse), la lutte contre les trafics de stupéfiants (Brice Hortefeux), le plan jeunes (Martin Hirsch), une visite de collège privé (Luc Chatel)…
Présentée comme un » laboratoire » du futur, la Seine-Saint-Denis manque paradoxalement de moyens pour le présent. Année après année, les élus locaux se mobilisent pour s’opposer aux fermetures de classes, obtenir des moyens policiers, dénoncer la faiblesse de la pédopsychiatrie, défendre les postes d’adultes-relais, sauver les crédits des associations… » De tous les côtés, discrètement, presque clandestinement, l’Etat pompe de l’argent. Il y a beaucoup de communication et d’agitation médiatique. Mais, dans la réalité, les moyens sont retirés en permanence « , explique le maire (PS) d’Aulnay-sous-Bois, Gérard Ségura, contraint de se battre lors de chaque rentrée pour tenter d’éviter des suppressions de classes.
» On est dans la schizophrénie la plus complète. Les ministres viennent tous pour vanter leurs plans. Mais il n’y a plus de moyens de droit commun, notamment sur l’éducation : on avait obtenu 3 000 postes avec le plan d’urgence pour la Seine-Saint-Denis en 1998. Mais, depuis, on les a reperdus « , ajoute Claude Bartolone, président (PS) du conseil général, en donnant l’exemple de la scolarisation des enfants de 2 ans dans les ZEP, qui ne concerne plus que 5 % des élèves contre 22 % en 1999.
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Sécurité : la violence, un combat jamais terminé
Dans la nuit tombante, les hommes de la police scientifique fouillent la ruelle et le petit square. On voit leurs lampes qui balaient le sol à la recherche d’indices. Deux jeunes de Saint-Ouen viennent de mourir, ce samedi 26 septembre, tués par balles, probablement à cause d’un trafic de stupéfiants. Le corps d’une des victimes est toujours allongé au sol, entre deux voitures. Un policier relève les plaques d’immatriculation des véhicules situés à proximité. Un habitant l’interpelle : » C’est pas trop pénible de ramasser les morts ? » Le policier : » Ça s’était calmé. Mais, en ce moment, il y en a un tous les trois jours. » Fin du dialogue.
L’accumulation de faits divers graves, ces dernières semaines, a relancé les interrogations sur la délinquance en Seine-Saint-Denis. Les élus de droite comme de gauche ont réagi en exigeant des moyens supplémentaires. La préfecture de police a rétorqué que les effectifs n’ont jamais été aussi importants (4 913 fonctionnaires en 2009, contre 4 340 en 2003) et que la mise en place du Grand Paris de la sécurité, depuis septembre, va permettre la reconquête des territoires.
De fait, les chiffres ne sont pas bons. Les vols avec violences et les agressions physiques, qui ont le plus gros impact sur les habitants, restent en effet nettement plus élevés que dans le reste de l’Ile-de-France. Deux fois plus fréquents, par exemple que dans les Hauts-de-Seine. » La situation n’est pas satisfaisante. Les habitants souffrent dans certains quartiers de la présence d’individus qui se sont octroyés tous les droits « , reconnaît Alain Gardère, directeur de la sécurité de proximité à la préfecture de police.
Sur le front des violences urbaines, la tension n’est jamais retombée depuis 2005, pourtant considérée comme une année exceptionnelle. Le nombre de dégradations et de destructions de voitures, notamment par incendie, n’a pas diminué. Idem pour les violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, notamment les policiers : 1 472 agressions recensées en 2008 contre 1 137 en 2005. » La situation est maîtrisée mais c’est toujours assez tendu. On sait qu’il faut toujours être vigilant et que ça peut s’envenimer pour trois fois rien « , souligne Philippe Prunier, directeur territorial de la sécurité de proximité, en faisant état d’une augmentation significative du nombre de policiers blessés en intervention
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La situation est aussi délicate pour la lutte contre la criminalité. Notamment les réseaux de drogue, que l’Etat promet de faire tomber depuis des années, mais qui sont toujours aussi présents. Il suffit d’ouvrir les yeux. A Saint-Ouen, dans les ruelles à proximité de la mairie. A Drancy, dans la cité du Nord, à côté de la gare RER du Bourget. A Sevran, aux Beaudottes, pas très loin du supermarché. A Stains, au Clos-Saint-Lazare. A Saint-Denis, près de la gare RER – mais depuis la visite sur place du ministre de l’intérieur, Brice Hortefeux, fin septembre, les trafics de crack se sont déplacés sur les villes voisines. » On va travailler sur les trafiquants et sur leur patrimoine « , prévient Christian Flaesch, directeur de la police judiciaire parisienne, en annonçant la mise en place d’un » plan stups « . Une promesse déjà entendue à de nombreuses reprises par les élus locaux : » Le problème, c’est que chaque fois que la police fait tomber un réseau, l’appât du gain et la misère sociale sont tels que d’autres prennent immédiatement la place « , remarque Claude Bartolone. Dans le » 9-3 « , les combats ne s’arrêtent jamais.
La crise, ultime paradoxe
Les hypermarchés pour pauvres ne désemplissent pas. A Villemomble, le week-end, devant un des principaux hard-discounters de la Seine-Saint-Denis, les voitures se garent par centaines, sur le parking et dans les rues aux alentours. Dans les allées, c’est une étonnante cohue pour réussir à circuler entre des rayons encombrés. Après des heures de file d’attente, les clients repartent le coffre plein de nourriture à bas coût. Souvent des produits proches de la date de péremption mais à des prix imbattables.
La Seine-Saint-Denis reste en effet un département pauvre, très pauvre : 50 000 allocataires du RSA, 12 % de la population qui bénéficie de la couverture médicale universelle (CMU), un revenu moyen de 18 800 euros par famille. » Les pauvres sont concentrés en Seine-Saint-Denis. Au fond, ça a l’air d’arranger tout le monde – sauf quand ça explose. Mais ceux qui pensent qu’il suffit d’ériger une ligne Maginot entre les villes riches et les villes pauvres se trompent complètement. Comme en 1940 ! « , prévient Claude Dilain.
Suite,
De façon paradoxale, pourtant, le » 9-3 » échappe pour l’instant, en partie, à la crise économique actuelle. Le taux de chômage n’a pas explosé depuis le début de l’année 2009. Car la vieille image d’un département industriel est fausse. Il reste certes des bastions ouvriers – comme l’usine PSA à Aulnay-sous-Bois -, mais l’industrie et le bâtiment ne représentent plus que 100 000 emplois contre 500 000 pour les services et le commerce. Le département est désormais tiré par le secteur tertiaire et les PME, y compris dans des filières porteuses comme l’assurance, la santé et l’audiovisuel.
Comme un clin d’oeil, BNP Paribas, qui vient d’installer une de ses filiales (3 200 salariés) à Pantin, communique désormais à grand renfort de publicités sur le fait d’être le premier employeur privé du département. » Il y a dix ans, je m’engueulais avec les patrons des grands groupes. Aujourd’hui, c’est eux qui viennent nous démarcher ou qui participent aux colloques sur les discriminations « , se félicite Claude Bartolone, convaincu que les entreprises ont pris le virage de la diversité et que cela peut aider son département à passer le cap de la crise. p
Luc Bronner
© Le Monde
Fin
[b]Bigre… Cela fait froid dans le dos !
Comment, dès lors, peut-on exiger que les valeurs républicaines ne sont pas négociables ?[/b]
[b]Dominique[/b],
On ne peut éviter que des liens commerciaux s’établissent entre les États dès lors qu’ils se rencontrent.
Ce qu’il faut c’est que les États aient des liens historiques qui les rapprochent comme une église dans un village, [u][b]le trait d’union en quelque sorte.[/b][/u]
Ce n’est pas le cas et comme je le déclare souvent,je n’ai rien à voir avec un Maltais ou un Letton, un Roumain bien que je les respecte tous.
Anido
[b]Dominique[/b],
La Seine-Saint Denis est le scandale de ceux qui ferment les yeux.
La poubelle de la Région parisienne celle qui reçoit les plus pauvres ceux que l’on ne veut pas voir.
[u][b]C’est notre honte.[/b][/u]
[u]Et ce département veut vivre, il est jeune.[/u]
Anido.
NIDOLGA , je te conseille de lire le livre de Pierre Hillard
[b] »La marche irresistible vers le nouvel ordre Mondial /destination Babel « [/b]
tu peux l’acheter chez Amazon ou autres.
quand tu as lu ce livre tu as tout compris !
voici une video qui résume le contenu :
[url]http://video.google.com/videoplay?docid=-1590349746148192100#[/url]
[b]JE PEUX TE DIRE QUE LA REPUBLIQUE FRANCAISE EST A L’AGONIE ![/b]
la france n’a plus de banque centrale , d’armée, de monnaie.
la banque de France est une annexe de la banque européenne
l’armée de METIER française est intégrée dans l’Otan.
La Monnaie c’est l’Euro
La langue des élites mondiales sera l’anglais : destination Babel
Pendant ce temps là, on amuse la galerie avec l’identité nationale !!!!!
C’est une conspiration.
[b]Veritas[/b] bonsoir,
Tes propos sont vrais.
Si l’on regarde de plus près mais avec du recul, effectivement nos valeurs Françaises ont disparues dans cette mondialisation, [u][b]ce qui nous différenciait des autres n’existe plus.[/b][/u]
Notre langue tout d’abord, elle reste pour le peuple mais n’est plus parlée par l’élite puisque tout devient monde le pouvoir des affaires et la technologie étant Anglophile et Américaine [u][b]ils nous est impossible de ne pas suivre sinon nous sommes largués.
[/b][/u]
A partir de là tout s’enchaîne, la puissance étant Américaine et un gouvernement de droite nous intégrons l’OTAN, [u][b]logique non ![/b][/u]
Avec l’Europe nous avons besoin d’une banque centrale et comme nous avons une monnaie unique , [u][b]notre économie ne peut être que gouvernée par cette banque.
[/b][/u]
Nous avons perdu ce qui nous était propre pour quelque chose qui ne nous appartient pas, alors comme tu l’écris cette identité nationale [u][b]n’est qu’une diversion.[/b][/u]
Mais si l’on ne peut que déplorer cet état, [u][b]c’est le peuple Français qui l’a voulu.[/b][/u]
Cela signifie aussi que quelque soit la couleur politique d’un futur gouvernement il ne peut que subir,[u][b] s’il est de droite c’est avec joie et de gauche avec des pleurs.
[/b][/u]
Anido
Le peuple français a été manipulé par l’élite
inféodée au mondialisme qui nous gouverne !
Les Jean Monnet, Attali, Pompidou , Giscard , Barre, Mitterand , Fabius , Lamy ,
Raffarin, chirac , Jospin , Schuman , Pfimlin ………
Je ne peux qu’être d’accord avec vous véritas, nous sommes inféodés et manipulés, les personnes comme Dutilloy, Anidom qui se rendent sont complices de cet état de fait, comme le sont tous les troskystes aux ordres des sionistes !
A ce jour personne n’est plus capable de défendre les intérêts supérieur de notre Nation !
Il serait temps de rentrer en résistance, et botter le fondement de tous ces collabos qui ont signé la mort programmée de la France !
@ Plussse !
Oui mais moi, je ne suis pas d’accord avec vous là dessus, ANONYMOUS :
[i] »les personnes comme Dutilloy, Anidom qui se rendent sont complices
de cet état de fait, comme le sont tous les troskystes aux ordres
des sionistes ! »[/i]
de plus les trotzkystes n’ont jamais été aux ordres des sionnistes.
En êtes vous si sur que ça, Véritas ?
Lorsque vous cesserez de croire que ce sont les élus qui ont le pouvoir, on pourra peut-être avancer.
La politique n’est que de la diversion. Le pouvoir est ailleurs.
[b]Vos chers élus se moquent de vous. Ils ont bien raison.[/b]
Ils ne sont que des marionnettes d’un grand guignol.
Le pouvoir est dans les mains de ceux qui contrôlent le capital de la Dette publique. (Pour la France, cinq fois le budget net de l’État.)
Le « capital de la Dette publique » gagne à pourrir la vie du plus grand nombre. C’est de cette façon qu’il s’est construit. (Misères et maladies)
Le capital de la Dette publique est entre les mains de ceux qui bénéficient de la loi 1905. La loi 1905 défiscalise les immenses revenus des « curés ».
Le Grand Guignol politique
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/
Le bourbier européen
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/archive/2009/05/09/le-bourbier-europeen.html
L’EUROPE
Les Français sont revenus à la situation du début des « années 40 ».
Ils sont soumis à :
– Une monnaie d’occupation ;
– Des journalistes d’occupation ;
– Des mœurs judiciaires dignes du nazisme ;
– Des collabos financés et au service de qui ? L’Europe, les Américains, ou le Vatican ?
Néanmoins, dans les moyens mis en œuvre par l’Europe pour asservir les foules on reconnaît les méthodes de curés :
– « Générer l’incompréhension, les désordres, la délinquance, la criminalité, l’injustice, la misère, les maladies, les épidémies, les conflits, les guerres, les famines, etc. »
Le tout reposant sur l’ignorance permanente et des flots de mensonges sous lesquels les médias noient les individus.
L’EUROPE des curés
http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2009/06/22/l-europe.html
[b]xray[/b] bonsoir,
[u]Vous êtes complètement hors sujet.
[/u]
Quand à Dominique Dutilloy et moi, nous ne sommes complice de quiconque, quand à défendre l’intérêt de la nation, [u][b]je le défends plus que vous.
[/b][/u]
Que faites vous pour défendre cet intérêt ?
[u][b]Ou sont vos écrits ?[/b][/u]
Bien à vous,
Anido
NIDOLGA, tu devrais regarder cette vidéo sur les « Bohemian Club » SATANIQUES qui existent en France :
[url]http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2009/06/22/l-europe.html [/url]
La video parle de l’affaire Allegre / Magistrat Pierre Roche de Toulouse.
ETAT DE DECOMPOSITION AVANCEE.
PERSONELLEMENT JE NE SUIS PAS DU TOUT SURPRIS .
Valeurs républicaines bafouées pour le moins.
[quote][b][u]Anonymous a dit[/u] :
[i]« Je ne peux qu’être d’accord avec vous véritas, nous sommes inféodés et manipulés, les personnes comme Dutilloy, Anidom qui se rendent sont complices de cet état de fait, comme le sont tous les troskystes aux ordres des sionistes !
A ce jour personne n’est plus capable de défendre les intérêts supérieur de notre Nation !
Il serait temps de rentrer en résistance, et botter le fondement de tous ces collabos qui ont signé la mort programmée de la France !
@ Plussse ! »[/i][/b][/quote]
[b]Anonymous = RESISTANT = Démocrate 76[/b] ! Eh oui, je t’ai bien reconnu, ton style rédactionnel, ta signature [i][b]« @ Plusse ! »[/b][/i], ta dialectique… Tout y passe !
Alors, tu oses, nous accuser sans la moindre preuve, nous : [b]Anidom Nidolga[/b] et moi, de multiples « méfaits », que je ne vais pas répéter, puisque c’est dans ton commentaire, que j’ai reproduit ! [b]C’est pas joli tout ça, mon vieux ! Pas joli joli !!![/b] [b]Anidom Nidolga[/b] et moi, nous serions en droit de t’attaquer en justice, et, tu le mériterais fort bien…
Par ailleurs, quels rapports y a-t-il entre le [b]Sionisme[/b] et le sujet de cet article, qui ne fait que parler des valeurs républicaines ? Visiblement, [i]et, j’ai lu l’article de [b]Anidom Nidogla[/b] en entier, ce qui m’a permis de le commenter longuement[/i], je n’ai lu que des propos ayant trait au respect des valeurs républicaines de notre Nation ! Mais, comme à ton habitude, tu ne sais pas lire en entier, n’ayant, entre autres, que le mot [b]« collabos »[/b] dans la Bouche !
[b]Crois-tu pouvoir servir la France en agissant ainsi, mon pôvre vieux ?[/b] [i]J’en doute fort… Ce sont des gens comme toi qui signent la mort programmée de la France ! Ce sont des gens comme toi qui font que nos valeurs républicaines sont bafouées tous les jours ![/i]
[b][u]Alors, Anonymous = RESISTANT = Démocrate 76, il serait temps de te réveiller et d’agir correctement[/u] :[/b] [i]il en va de la vie de la Nation, car elle est en danger, envahie qu’elle est par le nationalisme, le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme ![/i]
@ te lire !
La nation française n’existe plus que sur le papier , Dominique !
la majorité de nos lois viennent de Bruxelles !
Les Français sont revenus à la situation du début des « années 40 ».
Ils sont soumis à :
– Une monnaie d’occupation ;
– Des journalistes muselés dont une partie est consentante à cette « occupation » ;
– Des mœurs judiciaires dignes du nazisme ;
– Des collabos financés et au service de qui ? de L’Europe, des Américains, et des illuminati du Vatican !
[b](N’oubliez pas que Peter Sutherland représente les interets du Vatican au Bilderberg
Peter Sutherland, né le 25 avril 1946, est un ancien homme politique irlandais.
Il est président de l’European Policy Centre, de Goldman Sachs International, de BP (British Petroleum), et aussi de la section Europe de la Commission Trilatérale. Il est également membre du comité de direction du groupe Bilderberg. Il est aussi directeur non exécutif de la Banque Royale d’Écosse.
De 1985 à 1989, il a été en poste à Bruxelles en tant que commissaire responsable de la politique de concurrence. Entre 1989 et 1993, M. Sutherland a été président de Allied Irish Banks. Il fut directeur général du GATT et de l’OMC de 1993 à 1995.)[/b]
[b]Dominique, Veritas,[/b] bonjour,
La nation c’est nous,[b] le peuple[/b], et [u][b]c’est à nous qu’incombe de faire valoir notre identité.[/b][/u]
Nos dirigeants peuvent faire ce qu’ils veulent, mais en fin de compte, [u][b]c’est nous qui décidons de ce que nous sommes ![/b][/u]
Nous pouvons nous retirer de l’UE, et pour cela il faut voter autrement, nous ne sommes pas enfermés, en prison.
[u][b]La France c’est nous.[/b][/u]
Bien à vous,
Anido
[b]Notre République est aux mains des média possédés par l’élite mondialiste :
Les français ne sont plus libres :
la france est occupée virtuellement
et nous sommes une poignée de résistants , NIDOLGA !
La France est prise en otage par les banquiers mondialistes
et leurs collaborateurs les politiques et
malheur à ceux qui se mettent en travers de leur route ![/b]
[u][b]C’est bizarre , je ressents soudain comme un vide parmi les debateurs !!!![/b][/u]
[b]Anidom[/b],
bonjour…
La chose positive dans ce [b]Traité de Lisbonne[/b], qui aurait dû être [i]ou ne pas être[/i] ratifié par référendum, est qu’un État membre de l’Union Européenne peut quitter celle-ci à tout moment…
[b][u]C’est nous qui décidons de ce que nous voulons être ; nous ne sommes pas en prison ; la France, c’est nous ![/u] :[/b] [i]tu as parfaitement raison ![/i]
Cependant, il faudra bien un jour que nos Dirigeants prennent en compte nos désirs… Mais, le veulent-ils vraiment ?
Ce qui est inquiétant, [i][u]et [b]Veritas[/b] a parfaitement raison sur ces points[/u][/i], c’est que certains voudraient nous voir abandonner nos [b]valeurs républicaines[/b] pour qu’elles soient remplacées par des [b]valeurs européennes[/b], ou pire encore, par des [b]valeurs mondialistes[/b] !
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Veritas,
Je suis toujours présent, mais j’ai des problèmes avec mon ordinateur.
C’est vrai que nous sommes aux mains des banquiers et que nous ne pouvons nous passer d’eux, [u][b]Veritas tu as raison.
[/b][/u]
D’ailleurs nous y sommes de plus en plus avec cette dette qui ne cesse de croître.
Dominique, si le traité de Lisbonne avait pour la seconde fois été ratifié par référendum, [u][b]je ne pense pas qu’il l’aurait été.
[/b][/u]
Par contre, je ne comprends pas ce que tu écris quand tu écris,
[u][b]Traité de Lisbonne, qui aurait dû être ou ne pas être ratifié par référendum [/b][/u]
Cette phrase est sibylline, que veux tu signifier par être ou ne pas être ?
Bien sur que Français, [u][b]je veux le rester[/b][/u], et je veux bien être dans l’Europe mais Français.
Quand au monde c’est une connerie, mais cela dépend des Français.
Anido
Dominique et Véritas bonjour,
Certes, Véritas n’a pas tord sur certains points.
Mais ce que je reproche volontiers à votre discours, Véritas, c’est de voir l’Europe et la mondialisation comme quelque chose de nécessairement néfaste.
Je m’explique :
L’europe était une belle idée, la mondialisation aurait pu en être une bonne également. Mais ces deux choses, qui auraient dues être des avancées ont été détournées de leur usage.
Aujourd’hui, l’Europe est utilisée pour faire accepter aux citoyens des décisions qui ne seraient pas passés dans le cadre d’une politique nationale. Et apparemment ça marche : le « c’est pas nous, c’est l’Europe » a permis aux politiciens de prendre des mesures impopulaires tout en détournant l’hostilité des électeur sur l’Europe.
Idem pour la mondialisation : elle sert à faire accepter un recul du niveau de vie aux européens les plus modestes.
Pour sortir de cette situation, je vois deux solutions :
1/ Sortir de l’Europe, ce qui permettrait effectivement d’annuler les effets néfastes précédemment décrits, mais je pense qu’un tel évènement aurait également des conséquences regrettables.
2/ Obtenir la création d’un vrai gouvernement Européen, avec un président élu par les citoyens de l’union, gouvernement qui ne pourrait plus se planquer derrière des institutions européennes, comme le font actuellement nos politiques.
Pour en revenir à un des sujets de l’article : l’immigration.
Admidom Nidolga reconnaît que l’on ne peut accueillir toute la misère du monde, et qu’il nous faut lutter contre l’immigration.
Certes, mais comment ?
Mon avis, c’est que les gouvernement occidentaux, tous autant qu’ils sont, se sont trompés de combat. On ne peut pas rendre hermétiques des frontières de plusieurs milliers de kilomètres.
On ne peut pas davantage renvoyer des millions de gens en avion. De toute façon, ils reviendront. On peut toujours qualifier la politique actuelle d’immorale, elle est surtout totalement inefficace.
Le combat contre l’immigration ne peut se gagner que dans les pays d’origine des immigrés concernés.
Ils fuient leurs pays en guerre ou plongé dans la misère.
Mais ne serait-ce pas nos politiques manipulés par les financiers qui ont plongé l’Afghanistan dans une guerre ?
Par le plus grand des hasard, les multinationales occidentales ne participeraient-elles pas au pillage des ressources naturelles en Afrique, rendant la situation toujours plus catastrophique ?