Dans cette première décennie du XXIéme siècles,  le sport est partie intégrante de l’environnement humain. Dés le plus jeune âge, les clubs, les écoles font tout pour améliorer les conditions de vie de leurs protégés.

Mais dans cette course à la recherche de l’idéal de l’encadrement, il existe de fortes limites et différences de tous types budgétaires  mais pas seulement. 
 D’abord, on constate donc de grosses différences selon les budgets, on note qu’aux Etats-Unis, en NBA, en 2008, prés de 70 joueurs gagnent plus de 10 Millions de dollars (7.3 millions d’euro),environ 30 joueurs de NHL et MLB et 10 joueurs de NFL gagnent le même montant.
C’est déjà très impressionnant, en plus de cela en 2007, les 10 sportifs les mieux payés dans le monde était tous (sauf un !) dans des équipes de ce pays. C’est unique au monde, l’Angleterre et ses salaires impressionnants,l’Allemagne, les pays scandinaves, l’Australie tentent de suivre mais sont déjà loin.  Ensuite, Etats-Unis ne sont pas seulement l’accueil des stars mondiales, c’est également et principalement le plus grand centre de formation du monde. Evidemment, l’argent va de pair mais c’est un système très rodé depuis des décennies dans les Universités. Ces institution sont juste une mine de futurs champions. Les plus grandes stars du Football US,du Basket-ball… sont sortis de ces lieux.Il faut bien avouer que tout est à leurs dispositions, on note déjà la mise en place d’un championnat NCAA (Nationale Collegiate Athletic Association) qui a bien plus de budget que notre plus grande institution sportive, la FFF. Ce championnat est retransmis à la télévision, les joueurs sont donc des stars(ajoutons que leurs études sont payées pour leurs capacités sportives.) Ces équipes ont à leurs dispositions des très grandes enceintes, parfois aussi grande qu’un stade Olympique, des salles (comme des patinoire appelée« aera »), du matériel tout neuf, un staff avec kiné, docteur…, des actionnaires très puissants, tout ce qu’un grand club a à sa disposition.La formation pour ces champions commencent dés le plus jeunes âges, d’anciens professionnels encadrent les jeunes, ils sont protégés et directement plongé dans le système.Cette recherche de la formation et des compétitions est aussi valable pour les équipes féminines très nombreuses.Les clubs s’arrachent en payant les parents des jeunes de 8-9 ans.  Ce système est unique en sont genre, dans certaine universités ou collèges, plus de 75% de l’ « effectif scolaire »  pratique un sport. En Angleterre, en Scandinavie ou Australie on tente de reproduire ce dispositif mais le retard est trop grand.   Enfin, l’argent ne fait pas tout dans les sport, c’est bien connu ; il y a d’autres formes d’attractivités dans que celle financières. On différencie aussi l’engouement, l’amour du sport dans certaines contrées du globe.  Il y a deux échelles dans ce type de différenciations, nationale et locale.Dans certains pays, le sport est comme on le dit souvent une religion, mais on peut même dire que c’est plus que cela, c’est le mode de vie, leur identité. On compare souvent le football au Brésil comme une religion, en Italie, on le consacre comme un mode de pouvoir, de satisfaction.Il y a une forme de rattachement au sport que l’on ne connaît pas !! ou peu en France. Prenons exemple dans des sports qui remontent aux traditions  des peuples même, le football gaélique,le football australien, ces sports portent les noms des groupes de peuple qui le pratique, là on note l’identité du peuple dans le sport.Exemple avec le footy (ou football australien), aux antipodes, c’est avant tout le sport de tous le peuple. Ce sport presque aussi vieux que le rugby passionne chaque samedi ou dimanche plus de 60 000 australiens pas stade. Chaque aussie va voir le match pour d’abord prolonger la tradition de ce sport mais pour aussi faire vibrer les joueurs. C’est presque la même chose pour le rugby à XIII.Certains joueurs qui passent au XV avouent qu’ils ne connaissent pas l’amour du sport, (en Europe par ex) et cette assimilation qu’ont les supporters dans ce jeu.  Tous les grands sportifs vous le diront, il y a des quartiers ou même des villes où le sport est roi.  En France, pour le sport le plus pratiquéqu’est le football, il n’y a qu’une place où ce sport est roi : à Marseille, il n’y a qu’une place ou les supporters vibrent vraiment en France comparer au rayonnement de ce sport.Revenons à l’Australie, à Melbourne, la ville est découpée entre quartier où les clubs forgent l’identité des habitants, ex si on habite à Richmond on supporte les Tigers alors qu’à 2 Km de là on supporte les Collingwood Magpies..Il y a toujours des similitudes dans ces villes qui vivent, où même les élections locales portent sur le club de la ville.

On observe toujours un côté historique dans ces lieux,  puis aussi un côté culturel et géographique. 

 Quoiqu’il en soit,  le sport est de plus en plus en rapport étroit avec l’argent et seul les sports ancrés dans une culture et qui ont échappés à la mondialisation  parviennent  toujours à faire vibrer les foules et garder des valeurs uniques.