Les élections régionales approchent à grands pas. Ca se sent, la nervosité monte. On arrive presque aux invectives : Dominique Bussereau, ministre en exercice, obligé de s’excuser d’avoir comparé les centristes de la liste Royal à des «harkis».
Ce n’est pourtant qu’un scrutin local. Que ce soit la gauche ou la droite, dans une région la politique n’est pas très différente.
En fait, le résultat de cette élection sera un plébiscite pour Sarkozy ou un rejet. On a vu comment, il a instrumentalisé les Européennes qui ont été perçues comme une victoire personnelle.
On sait que le gouvernement attend que ces élections soient passées pour commencer le travail de sape.
Laurent Fabius a mis en garde, jeudi soir, contre «un triple coup de bambou» que prépare le gouvernement pour l’après-régionales. Offensive sur le plan social: «les licenciements aujourd’hui différés, la précarisation de
Il sera donc important de voter à ces élections, même si la plupart des Français ne connait pas le nom de leur Président de région. Elles risquent de changer le cours des discussions sur les retraites.
Beaucoup de ministres engagés risque de sortir vaincu surtout quand dans leur propre camp, ce n’est l’entente parfaite. Le torchon brûle entre Valérie Pécresse et Eric Raoult.
Encore bien des émotions en perspective, tant mieux, on va s’amuser un peu !
Le 14 et 21 mars, allez voter et ne vous trompez pas.
La Region Languedoc-Roussillon effectivement est un cas d’école (maternelle), avec ce seul exemple, nous pouvons observer l’incapacité flagrante des dirigeants du P S, de ne pas avoir anticiper ce problème.Imaginez s’ils dirigeaient la France.
Le problème est simple: Frêche soutien Strauss-Kahn et il apportera son aide dans deux ans. Donc,avant de confier votre bulletin de vote à n’importe qui…