Les poupées russes, vous connaissez? Pas le film, non, les vraies poupées!

La première fois qu’on découvre une poupée russe, ou  matriochka, c’est toujours une expérience curieuse.

 

On ouvre la poupée, et là, surprise, encore une autre! Et ainsi de suite, jusqu’à trouver la petite mignonne.

Toute petite comparée à la poupée du départ.

Mais dans tous les cas, on ne s’arrête pas tant qu’on a pas découvert la fameuse petite mignonne.

Les Hommes sont un peu comme ces poupées russes.

Comme si nous nous regardions d’en haut avec une loupe.

Disons que la poupée du départ serait l’Humanité toute entière.

Puis la seconde poupée serait l’humanité repartie en différents peuples.

La troisième serait l’humanité éparpillée sur différents pays.

La quatrième serait l’humanité  présente dans différentes régions.

La cinquième serait l’humanité dispachée dans différentes villes.

La sixième serait perdue parmis différentes campagnes.

La septième serait l’humanité présente dans chaque maison.

La huitième serait l’humanité représentée dans différentes familles.

Enfin la neuvième, la petite mignonne serait l’humanité diversifiée par chaque être humain unique.

Humanité, peuples, habitants, voisins,connaissances, amis,famille,pour arriver à chaque fois , à un être unique.

La Terre est peut-être aussi la petite mignionne d’une autre poupée russe, comme le système solaire, les galaxies, l’Univers.

Ah l’Univers… rien que ce mot me fait rêver.

Encore plus puissant que le mot "Liberté". 

Ce grand vide qui nous entourre… représenté en théorie, toujours, ou grâce à l’imaginaire.

Religion, Sciences, Mathématique, Philosophie, rien n’y fait.

Depuis que l’Homme cherche pourquoi il est sur Terre, pourquoi il existe, il n’a toujours pas trouvé.

Pourtant d’ordinaire, rien ne résiste à l’homme. La terre, les airs, le feu, l’eau, les élements naturels ont été amadoués, mais le pourquoi du comment, c’est le vide total.

Aussi vide que l’espace au final.

Peut-être n’y a t-il aucune Vérité à comprendre.

Peut-être devrions-nous nous contenter de vivre ensemble sans nous monter les uns contre les autres, étant donné qu’il n’y aurait rien à prouver, rien à justifier.

L’Humanité elle-même étant une sorte de Poupée russe, cherche inlassablement à trouver sa poupée d’origine, celle dans laquelle elle se croit enfermée.